Manifestation
contre l'islamophobie : le PS ne participera pas
Le parti
annonce ne pas vouloir « s'associer à certains initiateurs de
l'appel », lancé après l'attaque d'une mosquée à Bayonne il y a quelques
jours.
Le Parti socialiste « ne participera pas à la manifestation
du 10 novembre » à Paris contre l'islamophobie, car « nous
ne voulons pas nous associer à certains des initiateurs de l'appel »,
indique le parti dans un communiqué publié mercredi. « Nous ne nous
reconnaissons pas dans ses mots d'ordre qui présentent les lois laïques en
vigueur comme “liberticides” », indique une résolution du PS, adoptée
mardi soir par son bureau national.Coignard – Islamophobie : l'aveuglement de la gauche
Une cinquantaine de personnalités ont lancé un appel à manifester le 10 novembre à Paris pour dire « Stop à l'islamophobie » et à la « stigmatisation grandissante » des musulmans, après l'attaque d'une mosquée et de nouvelles tensions autour du voile. Parmi les personnalités appelant à défiler à Paris, on trouve le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, la journaliste et réalisatrice Rokhaya Diallo, l'avocat Arié Alimi, la journaliste Aida Touihri ou encore Esther Benbassa, sénatrice EELV de Paris.
Arthur Chevallier – Islam en France : l'exemple de Napoléon et du judaïsme
Le PS ne reprend pas non plus le terme d'« islamophobie » dans sa résolution. Selon lui, « l'attentat perpétré il y a quelques jours à la mosquée de Bayonne est un acte odieux contre nos concitoyennes et concitoyens de confession musulmane et donc contre la République ». « Des insultes quotidiennes à l'attentat de Bayonne, nos compatriotes sont la cible de l'extrême droite identitaire. Nous condamnons toutes celles et tous ceux qui arment par leurs discours la haine à leur encontre », insiste-t-il. « Nous nous reconnaissons au contraire dans la France républicaine où la laïcité garantit la liberté de conscience et la liberté religieuse à chacune et chacun, comme le droit de critiquer les religions. » « Le combat contre la haine des musulmans doit être celui de la République tout entière, nous appelons l'ensemble des organisations républicaines à se retrouver pour porter ensemble ce combat », ajoute la résolution.
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Car là, on tombe indirectement sur les guerres de religions qui continuent à diviser déjà les hommes dans certaines régions du monde et font ressortir le spectre de nos guerres de religions que nous avons subi dans notre histoire ancienne, arrêt de l'invasion des arabes en 732 à Poitiers et après remontant aux moyen-âge par nos croisades et une série de huit conflits (guerres civiles, guerres de religion et opérations militaires) qui ont ravagé le royaume de France dans la seconde moitié du XVI e siècle et où se sont opposés catholiques et protestants (appelés aussi huguenots).
Et maintenant semble-t-il avec ces guerres moyen orientales depuis 2001 entre l'occident judéo chrétien et le monde islamiste extrémiste qui renaît et devient préoccupant depuis l’avènement de DAESH et avant AL QUAIDA qui veulent instituer par la force aveugle et le terrorisme une religion à variante extrémiste avec leur dogmes moyenâgeux qui veulent aliéner nos libertés démocratiques !
Donc il ne faut pas tomber dans le piège de ses manifestations contre l'islamophobie qui ne servira qu'à ceux qui sont pour un islam d'un autre temps rigide et intolérant !
Il serait plutôt utile d'interdire ce type de manifestation pour la paix civile et éviter le désordre !
Les hommes se font la guerre depuis + 2000 ans pour souvent des problèmes religieux n'en rajoutons pas si possible par pitié, pour la paix fragile du monde, car nous sommes au XXI eme siècle ne régressons pas !
Jdeclef 06/11/2019 13h30LP
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