vendredi 22 novembre 2019

Logique on fait croire à ces migrants que la FRANCE est un eldorado ou on peut tout obtenir ?!


La France devient le « premier pays » d'Europe pour les demandes d'asile

L'Hexagone dépasse l'Allemagne avec 120 900 demandes en 2019 contre 119 900 de l'autre côté du Rhin. Une inversion radicale par rapport à 2018.

La France attire un nombre croissant de demandeurs d'asile. Pour la première fois depuis le début de la crise migratoire en 2015, la France dépasse l'Allemagne et devient le « premier pays » en matière de demande d'asile en Europe, a affirmé jeudi Christophe Castaner. Un phénomène décrit comme une « anomalie », un renversement « symbolique » pour le ministre de l'Intérieur. Il y a quatre ans à peine, au plus fort de la crise, nourrie par les flux créés par le conflit syrien, la France enregistrait 80 075 demandes d'asile selon les chiffres de l'Ofpra, qui attribue le statut de réfugié en France, tandis que l'Allemagne recevait quelque 890 000 demandes. Soit plus de dix fois plus.
Aujourd'hui, « on constate que la France est devenue depuis le 20 octobre le premier pays de demandeurs d'asile d'Europe, alors même que les entrées en Europe continuent de baisser. Ce qui est donc une anomalie statistique, sur laquelle nous devons travailler », a expliqué le ministre de l'Intérieur après un entretien sur la coopération migratoire avec son homologue géorgien Vakhtang Gomelauri.
Les deux pays « se tiennent dans un mouchoir de poche », mais le fait que la France dépasse l'Allemagne est « symbolique », confie-t-on à l'Agence France-Presse Place Beauvau. Selon une source au ministère de l'Intérieur, 120 900 demandes avaient été enregistrées en France au 17 novembre, contre 119 900 en Allemagne. L'an dernier encore, 184 000 personnes avaient demandé l'asile en Allemagne contre 123 000 en France.
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« Une demande de rebond » Ce renversement drastique s'explique notamment par le fait que la France accueille « une demande de rebond », à savoir que les personnes migrantes ayant « échoué ailleurs viennent introduire une requête » dans l'Hexagone, souligne cette source. « C'est la raison pour laquelle nous sommes engagés au niveau européen pour une réforme de l'asile et de Schengen. »
Dans la tête d'un juge du droit d'asile
Pour renverser la tendance et faire baisser cette demande d'asile, qui devrait augmenter de « 10 à 15 % » en 2019 en France, selon une autre source au ministère de l'Intérieur, le gouvernement a proposé plusieurs mesures début novembre dans le cadre de son plan immigration. Un mois après un débat parlementaire voulu par Emmanuel Macron et au cœur duquel figurait la demande d'asile, le gouvernement a notamment proposé d'accélérer le traitement de ces demandes, d'instaurer un délai de carence de trois mois dans l'accès à la Sécurité sociale de base pour les demandeurs d'asile ou encore de prendre des mesures d'éloignement dès le refus du dossier à l'Ofpra, sans attendre l'étude d'un éventuel recours.
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L'exemple de la Géorgie

« Ce sont des messages que nous voulons envoyer aux ressortissants étrangers pour montrer que la France veut prolonger et porter haut et fort le besoin de protection, mais pour les personnes qui doivent être protégées, pas pour les personnes qui veulent détourner le droit de protection », a souligné jeudi Christophe Castaner.
Le ministre de l'Intérieur venait d'évoquer la coopération franco-géorgienne pour juguler la demande d'asile, en insistant notamment sur le levier diplomatique. Selon lui, durant les premiers mois de 2019, la Géorgie « était le premier pays demandeur d'asile en France », avec plus de 1 000 Géorgiens venus en France par mois. Depuis sa visite à Tbilissi en mai, ce flux a chuté de « près de 50 % », s'est-il félicité, en annonçant l'arrivée prochaine à Paris de deux policiers géorgiens supplémentaires pour faciliter cette lutte, après celle en septembre de trois premiers officiers de liaison. Ce type de coopération est amené à se développer, explique-t-il, car la Géorgie est « un très bon exemple »
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De plus, même pour les déboutés de ce droit d'asile, on n'est pas capable de les refouler d’où ils viennent !?

Depuis 30 ans tous les gouvernements de quelques bords que ce soit n'ont jamais fait de vraie politique efficace pour limiter cette immigration galopante et Mr MACRON ne fait pas mieux peut être même moins !

Forcement nous sommes le pays des droits de l'homme, que bien de pays ne respectent pas et même ignorent !

Les autres pays d'Europe ont compris et resserré leurs mesures pour limiter cette immigration !

Cela ne fait rien, car nous ont fait le contraire, car on n'a pas demandé franchement aux français de se prononcer même démocratiquement sur ce problème, car nos dirigeants bien-pensant donneurs de leçons connaissent la réponse, avec leur moralité et le politiquement hypocrite qu'ils pratiquent !

Le résultat c’est que l’on passe son temps à évacuer des camps sauvages insalubres insécurisés qui se reconstituent immanquablement ou ces migrants sont laissés dans des conditions inadmissibles et bien sur les français souffrent de ces situations sans fin, car parallèlement cela coûte une fortune qu’ils paient indirectement en tant que contribuables !

Car on manque de logements sociaux déjà pour certains français lambda qui attendent depuis longtemps, ou de travail etc...

Et ne parlons pas des problèmes religieux qui se greffent avec ces flux de migrants et qui commencent à être préoccupant !

Notre état de cette V eme république usée est totalement dépassé et noyé dans sa bien-pensante de bisounours utopique !

C’est désespérant, je suis âgé, alors je ferais comme d’autres, je n’irais plus voter, car çà fait trop longtemps que l’on n’entend plus ou n’écoute pas des citoyens comme moi, pourtant j’aime mon pays !

Jdeclef 22/11/2019 09h53

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