Le président E.MACRON n'est pas à la hauteur de la tâche et de la fonction qu'il occupe grâce aux français, mais pas majoritaires qui l'ont élu !

Macron : la laïcité à (très) petits pas

CHRONIQUE. Le président a profité de son discours au congrès de l'Association des maires de France pour évoquer ce sujet brûlant sans toutefois trop s'exposer.

L'erreur de 2018 est réparée. Le chef de l'État s'est rendu au congrès de l'Association des maires de France, dès son ouverture, après avoir passé son tour l'an dernier et se l'être vu beaucoup reprocher. Plus d'une heure trente pour s'adresser aux élus préférés des Français, leur faire un numéro de charme à sa façon, mais aussi s'écarter de son texte pour lancer quelques petites phrases bien senties. Sur les difficultés qu'il y a à gérer l'héritage de son prédécesseur ou sur la nécessaire responsabilité qui doit accompagner toute décentralisation.
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En filigrane, derrière l'exercice de réconciliation, le président a profité de l'occasion pour s'adresser à l'ensemble de ses concitoyens. Quand il explique aux maires qu'il a besoin d'eux pour « recoudre cette France déchirée », il invite aussi tout le monde à participer au ravaudage : « jamais je ne me résoudrai à ce que la France se réduise à un archipel, notre rôle est de faire bloc pour rassembler », assure-t-il.
« Faire bloc », une expression que le président a déjà employée à diverses reprises ces dernières semaines. « Faisons bloc et ne nous divisons pas, pour lutter avant tout contre la radicalisation dans notre société », déclarait-il depuis Toulouse, le 15 octobre, à propos de la polémique autour du voile. Une semaine plus tôt, lors de la cérémonie d'hommage aux quatre fonctionnaires tués par un de leurs collègues dans la préfecture de police de Paris, il appelait aussi à « faire bloc » pour combattre « l'hydre islamiste ».

Pas de côté

Par petites touches, depuis quelque temps, Emmanuel Macron évoque un sujet sur lequel il remet toujours à demain une prise de position fondatrice : la laïcité. Plutôt que de s'exposer frontalement sur cette thématique à haut risque, il préfère l'aborder çà et là. Ce mardi après-midi, il a déploré que l'on confonde « bien souvent la laïcité, la civilité et l'ordre public ». Mais il redit ce qu'il entend combattre : le communautarisme qui nourrit « des projets de séparation de la République ». Comment le juguler ? Il faudra encore attendre pour le savoir. Le président a plutôt insisté sur ce qu'il ne veut pas : l'interdiction des listes communautaires aux élections municipales, réclamée entre autres par le président du groupe LR au Sénat Bruno Retailleau. De telles listes, selon lui, seront difficiles à identifier, car elles n'avanceront pas à visage découvert…
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« Ceux qui ont des projets de séparation d'avec la République se cachent et se dissimulent, mais je sais que je peux compter sur les maires de France pour les débusquer et les combattre, pour fermer les associations et les écoles qui ne répondent pas exactement aux principes républicains », conclut-il. C'est formidable de pouvoir s'appuyer sur les maires pour défendre la laïcité. Ce serait encore mieux si l'État, autre « mur porteur de la République », y prenait sa part au plus vite.

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Le système électoral de cette V eme république à 2 tours est obsolète et ne représente plus ce que pense les français, ni leur choix pour élire leurs dirigeants au plus haut de l'état !

Le président dit vouloir rassembler les français, mais en fait, ils les divisent par son indécision et manque de volonté !

On disait de F.HOLLANDE qu'il était mou, indécis en plus après avoir confirmé sa décision de jeter l'éponge à la fin de son quinquennat médiocre !

Là, en ce qui concerne la laïcité et cette religion hégémonique qui trouble la sérénité des français par ses dérives et dogmes moyenâgeux extrémistes, il en a peur ce qui explique peut-être pourquoi, il n'est pas capable de prendre des décisions fermes et rigoristes !

C'est préoccupant, car il a été élu pour gérer la France et protéger tous les français, même ceux qui pratique normalement cette religion pour éviter que certains dérapent vers des dogmes extrémistes de celle-ci !

Car s'il ne fait rien pour montrer la détermination de la république pour préserver ses valeurs et liberté, cela risque de finir en guerre civile !

Et de mettre au pouvoir l’extrême droite du RN de M.LE PEN par exemple, car on note dans nos pays même démocratiques et libres une tendance aux peuples à glisser vers des démocratures pour avoir des dirigeants forts pour se sentir protégés même au détriment d'une partie de  leurs libertés !

Beaucoup trop de nos concitoyens ne vont plus voter, car ils ne trouvent pas de leaders chez leurs politiciens correspondant à leur aspiration qui les écoutent en les respectant !

C'est désespérant, depuis 30 ans environ de voir notre pays aller à vau l'eau à cause de dirigeants médiocres qui ne pensent qu'à eux comme des monarques sans couronne digne de l'ancien régime car ayant trop de pouvoir qu'on leur a donné et dont il faut un mauvais usage !

La France va mal, les français aussi, les manifestations de colères fréquentes le prouve !

Jdeclef 20/11/2019 10h57LP