dimanche 10 novembre 2019

Cette marche une de plus, comme beaucoup aime en faire pour entraîner de pauvres gogos qui s'y laissent prendre !


Manifestation contre l'islamophobie : la marche qui divise

La manifestation contre l'islamophobie est prévue ce dimanche à partir de 13 heures, gare du Nord. La classe politique se déchire.


Très controversée, la manifestation contre l'islamophobie, qui veut dénoncer les actes antimusulmans, divise la gauche et suscite de vives critiques de la part du Rassemblement national (RN). Le RN estime notamment qu'il s'agit d'une alliance avec les « islamistes ». Quoi qu'il en soit, la manifestation contre l'islamophobie s'élancera ce dimanche 10 novembre à Paris en milieu de journée. À l'appel de plusieurs personnalités et organisations comme le NPA ou encore le Collectif contre l'islamophobie en France, la manifestation doit commencer à 13 heures de la gare du Nord pour arriver vers 16 heures place de la Nation, avant une dispersion prévue vers 18 heures.
Un appel a aussi été lancé pour une manifestation à Toulouse. Le message initial était de dire « STOP à l'islamophobie », à la « stigmatisation grandissante » des musulmans, victimes de « discriminations » et d' « agressions », dont « l'attentat contre la mosquée de Bayonne [...] est la manifestation la plus récente ». Mais depuis l'appel à manifester lancé le 1er novembre dans le quotidien Libération, quatre jours après l'attaque de Bayonne et sur fond de débat ravivé sur le port du voile et la laïcité, la classe politique se déchire autour de cette participation à ce
L'appel de 101 musulman(e)s contre le voile
La notion même d' « islamophobie » ainsi que l'identité de certains signataires de l'appel ont conduit une partie de la gauche à ne pas s'y associer, au PS ou au PRG, ou encore à relativiser leur soutien initial, comme l'eurodéputé EELV Yannick Jadot et le député LFI François Ruffin. Le PCF a rappelé l' « extrême urgence de dire stop » à l'islamophobie, malgré les réserves de son secrétaire national Fabien Roussel, mal à l'aise avec le mot d'ordre.

« Une volonté de saboter la manifestation » ?

Pour la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen, « tous ceux qui vont se rendre à cette manifestation seront main dans la main avec les islamistes, c'est-à-dire ceux qui développent dans notre pays une idéologie totalitaire qui vise à combattre les lois de la République française ». « Il y a une volonté de saboter la manifestation, évidemment », dénonce le conseiller municipal de gauche à Saint-Denis, Madjid Messaoudene, un des initiateurs de l'appel.
« Depuis la tribune, nous faisons face à une alliance d'une nature surprenante, entre le PS, le RN, ou encore le gouvernement, qui sont tous vent debout contre une marche antiraciste, c'est hallucinant », s'insurge l'élu auprès de l'Agence France-Presse. L'élu pense « qu'il y aura beaucoup de monde » à cette « marche progressiste », car « il y a un contexte où les gens ont besoin de dire ça suffit ». De nombreuses personnalités, notamment politiques, doivent participer à la manifestation, comme Jean-Luc Mélenchon. « J'observe qu'en partant d'un désaccord sur un mot, certains refusent en réalité aux musulmans le droit d'être défendus par des gens qui ne sont pas musulmans et qui veulent faire cesser l'ambiance actuelle contre eux », a estimé le chef des Insoumis.
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Cela ne peut produire que l'effet contraire et faire grandir la fracture entre les français de toutes confessions et même ceux qui ne croient à rien !

Cela devient vraiment préoccupant ces problèmes de religions notamment pour celle-ci, car oublier le djihadisme et le prosélytisme ambiant qui est bien présent et çà aussi est plus dangereux !

Il ne se passe pas de semaine sans incidents divers à cause de dogmes extrémistes dans notre domaine public nous sommes dans un pays très libre, mais ils en profitent, ceux qui pratique cet islam extrême militant salafiste ou autres !

Donc pour résumer si la majorité des musulmans veulent pratiquer leur religion avec discrétion comme les autres qui existent dans notre pays depuis des millénaires, il n'y aura pas de problème !

Mais hélas nos gouvernements passés leur ont accordé trop de dérogations et maintenant certains extrémistes de plus en plus nombreux en abusent jusqu'à infiltrer la société française par leur dogmes extrémistes moyenâgeux et obscurantistes !

En France on a un défaut pour tous problème sérieux, c’est de ne pas les traiter avant qu’il y ait des incidents graves !

Pour cette manifestation elle aurait dû, être interdite, en espérant qu’elle ne dégénère pas !

Car quand une religion veut prendre le pas sur le domaine public et politique d’un pays s’en est fini de la liberté des peuples qui y vivent, on en a l’exemple dans le monde, ouvrons les yeux, un peu de bon sens si possible, car nos dirigeants bien-pensants se contente de pousser la poussière sous le tapis...

Jdeclef10/11/2019 10h20LP


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