Là le président sortant a réintroduit la grande peur de l'extrême droite et du : RN/FN LE PENISTE ringard !? (on ne change pas ce qui marche avec les gogos lambda !)

 

Coignard – Emmanuel Macron : une « nouvelle méthode », mais quelle méthode ?

CHRONIQUE. Le président candidat a improvisé hier soir sur le thème de l’ouverture à ceux qui veulent faire barrage au RN. Mais comment faire ?

Le président sortant arrive en tête du premier tour, mais, comme il l'a souligné hier soir lors de son discours porte de Versailles, « rien n'est joué ». Les premiers sondages le donnent au coude-à-coude avec Marine Le Pen au second tour, contrairement à 2017, quand les prévisions tournaient autour de 60 % contre 40. Et la menace du « tout sauf Macron », écartée ce dimanche 10 avril, continue de planer. Habile, Marine Le Pen a appelé les électeurs à s'exprimer pour « la grande alternance », un mirage toujours tentant pour les mécontents.

Quatre candidats, Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Valérie Pécresse et Fabien Roussel, ont appelé clairement à voter pour le chef de l'État. Jean-Luc Mélenchon, qui ne semble pas capable de s'y résoudre, est toutefois allé beaucoup plus loin qu'il y a cinq ans. « Nous savons pour qui nous ne voterons jamais », a-t-il déclaré, avant de répéter à plusieurs reprises : « Vous ne devez pas donner une seule voix à madame Le Pen. » Cela va mieux en le disant puisque son électorat se répartit en trois tiers à peu près équivalents entre l'abstention et les duellistes qualifiés pour le second tour. Or le candidat LFI est, et de loin, celui qui détient le plus grand réservoir de voix.

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D'où la nécessité, pour le président sortant, d'élargir et son allusion à une « nouvelle méthode ». Parmi ceux qui lui apporteront leur suffrage, « certains le feront pour faire barrage à l'extrême droite, et cela ne vaudra pas soutien, je le respecte », dit-il dans son allocution. « Je souhaite tendre la main à tous ceux qui veulent travailler pour la France. Je suis prêt à inventer quelque chose de nouveau pour rassembler les convictions et les sensibilités. » Quelque chose de nouveau ? Oui, mais apparemment pas au prix d'accommodements programmatiques : « Je veux les convaincre dans les jours à venir que notre projet répond bien plus solidement que celui de l'extrême droite à leurs peurs et aux défis du temps. »

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Nouvelle approche contre vieilles recettes

De quoi s'agit-il, alors ? « J'ai montré durant ces cinq années que je savais élargir. J'ai fait venir dans les gouvernements successifs des talents qui n'étaient pas avec moi il y a cinq ans. Et je souhaite que l'on puisse dès maintenant réunir le plus largement possible », a-t-il précisé dans une interview à LCI, juste après son discours. Par avance, Emmanuel Macron signale ainsi qu'il ne se comportera pas comme Jacques Chirac en 2002, quand le président très largement réélu face à Jean-Marie Le Pen n'avait pas fait le moindre geste pour prendre en compte les nombreux votes qui ne s'exprimaient pas pour lui mais contre son adversaire.

Cependant, l'ouverture telle que pratiquée par Nicolas Sarkozy semble insuffisante. D'une part, parce qu'elle n'a rien de nouveau et date précisément de 2007. D'autre part, parce que le président sortant l'a lui-même pratiquée dès son arrivée à l'Élysée, nommant dans son gouvernement plusieurs ministres – dont le premier – issus de LR mais aussi du Parti socialiste. Il n'a jamais arrêté depuis.

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Convaincre, comme il a promis de s'y employer pendant les douze jours de campagne, est également trop commun, puisque ce n'est rien d'autre que le rôle premier d'un candidat. Reste alors le projet, qui pourrait être amendé ici, verdi là, adouci peut-être. Mais c'est courir le risque de se banaliser et de perdre sa singularité. La « nouvelle méthode », donc, reste à inventer si elle doit devenir autre chose qu'un vain slogan de campagne.

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RN ex FN  de cette extrême droite qui ne se fait même plus appeler comme cela puisque sa chef de file M.LE PEN a acquise une notoriété aussi fréquentable que ses adversaires pratiquant le politiquement hypocrite  car il n'est pas tranquille d'être réélu si facilement qu'il le croyait car en fait détesté par pas mal de français déçus de son action ou inaction voire ses tergiversations ponctuées de discours alambiqués dont il a le secret  dans son quinquennat qui n'a pas été un succès loin de là !

S’il n’est pas réélu se sera sa faute car avec les ralliements de toute part y compris même SARKOZY le traineur de casseroles judiciaires et la kyrielle d’élus LR qui retournent leur veste en sa faveur sur la ruine de leur parti LR ou MELENCHON l’aboyeur de foire de cette autre extrême mais de gauche qui beugle comme il a l’habitude de le faire en demandant à ces fans de ne pas voter pour M. LE PEN ?!

Et même avec cet « empêcheur de tourner en rond » JADOT écolo EELV les verts qui demande à ces électeurs de son parti de voter pour lui ainsi qu’HIDALGO et ROUSSEL PS/PC !

Sans oublier bien sur les pétochards de français encore nombreux qui ont peur du lendemain tant ont leur a dit que si c’était M.LE PEN qui était élue ce serait une catastrophe et avec ceux qui ont peur de cette crise militaire affreuse Ukrainienne à nos portes bien que n’étant pas la faute de la France mais dont il faut avoir un homme président déjà en place malgré qu’il n’y connaisse rien pour nous défendre !

Avec de tels Français qui rejouent à chaque fois ce même scenario éculé avec une classe politique aussi lamentable on se demande pourquoi le président sortant se fait du souci !?

Le changement c’est pour 2027 peut être va savoir si la France n’a pas sombré !?

(En fait ce qu'il faut savoir est-ce que ce sont les Français qui votent ou les leaders élus hypocrites de ces partis ringards ?!)

Pauvre FRANCE et Français désespérants !

Jdeclef 12/04/2022 13h00