samedi 9 avril 2022

Sans vouloir vexer certains corses trublions indépendantistes : ce ne sont que des délinquants incurables qui veulent plus de liberté qu'ils ont déjà comme tous français

 

En Corse, les indépendantistes menacent le scrutin présidentiel

Ils appellent à un « boycott actif » de l’élection. Alors que l’île est en proie à de vives tensions, les services de renseignements redoutent des « perturbations. »

Une élection présidentielle sous tension en Corse. Le climat de violence qui s'est installé sur l'île depuis l'agression mortelle du nationaliste Yvan Colonna, le 2 mars à la prison d'Arles, continue de nourrir les inquiétudes des autorités. Dans la nuit de mercredi, de nouveaux affrontements ont eu lieu dans les rues de Bastia. Une cinquantaine d'émeutiers, vêtus de noir et cagoulés, ont attaqué la préfecture, la Banque de France et le commissariat avec des cocktails Molotov. Des heurts qui s'ajoutent aux 47 actions ou manifestations recensées sur l'île au cours des cinq dernières semaines.

À l'approche du scrutin présidentiel, les autorités redoutent que ces mobilisations prennent une autre forme, alors que les négociations censées s'ouvrir ce vendredi entre le gouvernement et les élus insulaires ont été ajournées en raison des violences. « On s'attend à des débordements dans certains bureaux de vote, glisse un haut gradé du renseignement dans l'île. Peut-être même des blocages des urnes. Dans le climat actuel, on ne peut rien exclure. » L'idée de voir des hommes cagoulés pénétrer dans les bureaux de vote n'est plus de l'ordre de l'hypothèse.

Vers un blocage des urnes ?

Davantage que des manifestations, les services du renseignement territorial craignent des « actions spontanées » visant à empêcher la tenue du scrutin, voire un « coup d'éclat » en marge de l'élection, ce dimanche pour le premier tour. Il faut dire que les autorités ont des raisons de s'inquiéter. Ce vendredi, lors d'une conférence de presse à Ajaccio, le mouvement indépendantiste Core in fronte, qui compte six élus à l'Assemblée de Corse, a renouvelé son appel à un « boycott actif » du scrutin « face au blocage politique actuel et au mépris affiché par l'État pour le fait démocratique en Corse ».

De l'affaire Érignac à « l'affaire Colonna » : une tragédie corse

Des militants avaient ouvertement envisagé de faire obstruction au processus électoral avant de se raviser, face au risque de susciter une réprobation de l'opinion. « Le signal envoyé aux Corses et à l'Europe ne serait pas bon, estime un cadre du parti. On ne peut pas reprocher à Paris de ne pas respecter la démocratie et y faire nous-mêmes obstacle. Mais on reste déterminés, et convaincus que cette élection doit être l'occasion de marquer les esprits. »

Des appels à voter… Yvan Colonna

Si les autonomistes conduits par le président du conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, n'ont pour l'heure pas pris position, l'autre parti du courant indépendantiste, Corsica Libera, qui compte une seule élue dans l'hémicycle territorial, appelle à « ne pas participer activement au vote. » « Nous invitons les Corses qui se reconnaissent dans l'idée nationale à ne pas se rendre aux urnes, appuie Pierre-Antoine Tomasi, porte-parole de Corsica Libera. Cette position n'est pas nouvelle, elle s'inscrit dans la constance de notre engagement indépendantiste. Mais, au regard du contexte actuel, elle gagne encore en cohérence face au mépris de Paris pour notre peuple et la démocratie corse. Il serait contre-productif de cautionner l'apparence de l'existence d'une démocratie française sur notre terre. »

En coulisse, certains cadres indépendantistes soufflent aux militants d'aller voter… Yvan Colonna. Il se murmure même dans la frange la plus radicale que des petites mains du mouvement ont passé de longues heures à imprimer des bulletins à l'effigie du nationaliste, condamné pour l'assassinat du préfet Érignac, en 1998. Ce contexte tendu et les appels au boycott auront-ils une influence sur les électeurs ? En 2017, l'abstention avait été forte sur l'île : 32 % des Corses ne s'étaient pas rendus aux urnes au premier tour de la présidentielle, soit dix points de plus que la moyenne nationale.

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Pour qui ce prennent-ils ces voyous délinquants ce n'est pas le nombre de votants inscrits de ces 340000 iliens (même s'ils veulent faire voter les morts) qui peuvent changer le résultat de cette élection de la présidentielle !?

Ils ne veulent plus voter pour l'élection présidentielle française pour montrer qu'ils ne respectent pas les lois de la Veme république et bien que l'on leur donne cette indépendance qui réduira à la misère les iliens qui sont instrumentés par des poignées de mafieux qui n'hésitent pas à tuer ou faire des attentats !

Mais bien que ce serait dommage pour ceux des Corses qui sont encore raisonnables surement en majorité !

On traine ce boulet depuis des décennies sous tous gouvernements de tous bords de cette V eme république qui ne peut rien de plus malgré déjà un statut particulier de l'ile diffèrent des autres régions métropolitaines !

La France a déjà bien d’autres problèmes plus graves que ceux de ses corses qui se regardent le nombril mais si l’on leur accorde cette indépendance à ces iliens qu’ils ne viennent pas demander de l’aide ni celle de l’U.E. après puisqu’ils n’aiment pas la France !?

Quand on voit ces pauvres Ukrainiens qui se battent pour leurs libertés et leurs vies quotidiennes ces trublions ils devraient avoir honte car ils font partie d’un pays libre et démocratique ils ne veulent même pas une autonomie (comme la Polynésie française par exemple) eh bien tant pis pour eux !

Jdeclef 08/04/2022 10h28LP


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