mercredi 27 avril 2022

Si sa majesté E.MACRON pseudo monarque sans couronne de cette V eme république devenue pseudo monarchique : Et ceux qui se précipitent à la porte pour être 1ers ministres ?!

 

Denormandie, Borne, Le Maire… Ceux qui feront le quinquennat

Qui pourrait s’installer à Matignon ? Quelles sont les personnalités, tous bords confondus,  susceptibles d’entrer au gouvernement ? Quelques pistes.

Macron saison 2, c'est parti ! Le président conserve donc son fauteuil à l'Élysée, mais devrait s'appuyer sur un gouvernement d'ouverture et composé de davantage de femmes. Sur quelles personnalités va-t-il s'appuyer pour ce deuxième mandat ? Qui est pressenti pour s'installer à Matignon ? Dans la galaxie macroniste, on retrouve bien sûr quelques incontournables, comme Bruno Le Maire ou Élisabeth Borne. D'autres ont gagné en influence, à l'instar de Julien Denormandie ou Gabriel Attal. Ils forment la première ligne, celle des fidèles conseillers. Mais Emmanuel Macron peut aussi compter sur un certain nombre de maires, parmi lesquels Christian Estrosi, Olivier Klein ou Caroline Cayeux. Il y a aussi les poids lourds, les historiques, comme François Bayrou, ou les francs-tireurs, façon Gaspard Kœnig. Sans oublier quelques femmes et hommes d'autres bords politiques que le président attirerait bien sur sa rive, notamment Valérie Rabault ou Christelle Morançais. Tour d'horizon de celles et ceux avec qui il faudra compter.

En première ligne

Julien Denormandie, l'homme clé

Bosseur, loyal, discret… Le « chouchou » d'Emmanuel Macron est promis à un avenir radieux. Si ce n'est pas Matignon, le quadragénaire héritera d'un gros portefeuille ministériel. À l'Agriculture, poste exposé, il a su imprimer sa marque. Le cofondateur d'En marche ! a aussi son rond de serviette à l'Élysée, où il participe aux réunions les plus stratégiques, systématiquement à la gauche du chef de l'État. « Julien a beaucoup d'idées, loue un proche. Il est l'un des rares qui se permet de contredire le président. Lequel l'écoute beaucoup. » Une valeur sûre, mais « un brin techno », grimace un autre.

Clément Beaune, l'ascension du sherpa

Clément Beaune. © LUDOVIC MARIN / AFP

Ancien conseiller du ministre de l'Économie, puis sherpa du président à l'Élysée, secrétaire d'État aux Affaires européennes… Clément Beaune ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Le très médiatique ministre, venu du Parti socialiste, devrait pour la première fois se frotter au suffrage lors des élections législatives, à Paris. Il se verrait bien également élargir sa palette de compétences avec un poste stratégique, par exemple celui des Comptes publics, à Bercy.

Clément Beaune, le sherpa d'Emmanuel Macron

Élisabeth Borne, dame de faire

Et si c'était une femme à Matignon ? La ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion, passée par les Transports puis par la Transition écologique, polytechnicienne, coche beaucoup de cases. Les admirateurs de cette ex-préfète de la région Poitou-Charentes, qui envisage de se présenter aux législatives dans le Calvados, tenante de l'aile gauche, mettent en avant sa « fermeté », sa « rigueur » et ses « compétences ».« En plus, elle n'a pas un charisme extraordinaire, ce qui est un atout en macronie ! » dit-on en souriant. Problème : « Elle est froide comme un glaçon et risque de faire fuir les électeurs. »

Gabriel Attal, une marche en plus ?

Benjamin de l'exécutif, Gabriel Attal n'en est pas moins l'un des plus ambitieux. L'élu des Hauts-de-Seine a fait ses preuves comme porte-parole du gouvernement, après avoir mis sur les rails le service national universel (SNU). Le président apprécie le talent de ce bon soldat dévoué et fidèle et l'associe de plus en plus à son dispositif politique, y compris en petit comité. Nul doute que cet ancien socialiste aura une place de choix dans le prochain mandat.

Gabriel Attal, un sniper si bien élevé

Olivier Dussopt, le coup d'après

Olivier Dussopt. © XOSE BOUZAS / Hans Lucas / via AFP

Avare en compliments, Emmanuel Macron n'en finit plus de tresser des couronnes à son discret ministre délégué chargé des Comptes publics. Le transfuge du PS, ancien maire d'Annonay, dans l'Ardèche, a pris la tête de Territoires de progrès, l'aile gauche de la majorité. Certains lui prêtent des vues sur le ministère de la Défense. « Il a fait la plus grande réforme du quinquennat, celle qui a mis fin au statut de fonctionnaire, et sans que cela se voit. C'est un très bon ! » s'enflamme un conseiller officieux du président.

Dussopt, le ministre qui doit dire « non » à 22 milliards de dépenses en plus

Sébastien Lecornu, à cent à l'Eure

Après avoir passé la moitié de sa carrière encarté à droite, l'ex-maire de Vernon (Eure) a été propulsé ministre en 2017, puis a gagné ses galons en tant que coorganisateur du grand débat. « Emmanuel Macron le trouve doué, c'est l'anti-techno, il a un vrai sens politique. Une sorte de Jacques Chirac en plus jeune », décrit un visiteur du soir de l'Élysée. Après le ministère des Outre-Mer, l'élu local pourrait briguer la Chancellerie ou les Armées.

Bruno Le Maire, l'incontournable

Il est l'un des artisans du quoi qu'il en coûte, puis de la relance économique. Depuis cinq ans comme patron de Bercy, Bruno Le Maire est devenu le pilier du gouvernement. À défaut de Matignon, l'ex-ministre de l'Agriculture de Nicolas Sarkozy, élu de l'Eure, pourrait conserver son poste, voire élargir son périmètre. « Il est structuré, courageux. Je le vois aller en 2027 », avance un cadre macroniste.

Gérald Darmanin, la sécurité

Après des débuts mouvementés à Beauvau, ce proche de Nicolas Sarkozy et de Xavier Bertrand a réussi l'exploit d'être à la fois considéré par son administration et par la majorité. « C'est le seul fils de femme de ménage du gouvernement, il représente la droite sociale, Emmanuel Macron ne pourra pas se passer de lui », encense un ami. Celui qui a mis en place le prélèvement à la source au ministère du Budget pourrait convoiter un ministère plus social. D'autres le pensent mûr pour Matignon.

Éric Woerth, une pièce sur le Budget

Son ralliement récent à Emmanuel Macron – en février – a joué un rôle dans la campagne du chef de l'État. Le député de l'Oise, président estimé de la commission des Finances à l'Assemblée et ancien sarkozyste, est cité pour le ministère du Budget, à moins que ses poursuites judiciaires ne lui portent préjudice. « Il n'y a pas de deal sur une place précise, mais il a compris qu'il aurait un poste dans le dispositif », décrypte un membre du gouvernement.

Pascal Canfin, la carte verte

Pascal Canfin. © KENZO TRIBOUILLARD / AFP

À la tête de la puissante commission environnement au Parlement européen, l'ancien dirigeant du WWF France, élu en 2019 sous pavillon macroniste, s'est totalement converti au logiciel du président sur la souveraineté européenne. Ministre du Développement sous François Hollande, l'ancien dirigeant d'EELV pourrait-il rejoindre le gouvernement Macron II ? Au moins trois postes seront consacrés à la planification écologique. « Il faut mettre en œuvre la deuxième écologie, comme Michel Rocard a fait la deuxième gauche », a-t-il coutume de dire. Point positif : il s'entend bien avec Bruno Le Maire.

Présidentielle : Emmanuel Macron, quelle histoire !

De futures recrues ?

Damien Abad, le prix du transfuge

Si le président de la République parvenait à mettre la main sur le patron du groupe LR à l'Assemblée nationale, évidemment, ce serait une conquête retentissante. Un proche d'Emmanuel Macron assure qu'on aurait déjà tenté de le débaucher lors du remaniement de 2020, mais qu'il aurait refusé. Comme on peut s'en douter, le grognard de la droite, qui a soutenu Xavier Bertrand à la primaire, ne passera pas le rubicon à moindres frais.

Valérie Rabault, une patronne socialiste

Valérie Rabault. © PASCAL GUYOT / AFP

Les macronistes ne cessent de le dire, sûrement pour que ce soit répété aux oreilles de l'intéressée : la patronne des députés socialistes est bien plus compatible avec le camp du chef de l'État qu'avec celui de Jean-Luc Mélenchon. À mesure que le PS se rapproche des Insoumis, l'objectif est donc de ramener dans les mailles du filet de la majorité, voire du gouvernement l'élue du Tarn-et-Garonne. « Elle est clairement une cible », reconnaît un fidèle du président. Membre de la commission des Finances, Valérie Rabault est réputée sérieuse, solide et surtout non sectaire. Elle entretient de bonnes relations avec Édouard Philippe.

Nathalie Kosciusko-Morizet, l'éternel retour

« Elle était prête à venir en 2017 et 2020, mais cela ne l'a pas fait », croit savoir un ministre. À la faveur des discussions entre Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron, le nom de l'ancienne ministre de l'Écologie refait surface. Des échanges ont lieu entre l'ex-candidate à l'élection municipale à Paris, expatriée à New York chez Capgemini, et l'entourage du président. Après tout, le chef de l'État veut charger son Premier ministre de la planification écologique… « Pas sûr que son profil réponde à la demande de proximité, de concertation », prévient toutefois un proche du locataire de l'Élysée.

Audrey Azoulay, sans frontières

Un retour au gouvernement de la patronne de l'Unesco ? Cela fait partie aussi des possibilités, dont bruissent les cercles du pouvoir. Femme de gauche, avec un rayonnement international, l'ancienne ministre de la Culture et de la Communication de François Hollande est un profil évidemment recherché. Mais elle a été réélue – haut la main – à la tête de l'Unesco en novembre dernier pour un nouveau mandat de quatre ans.

Christelle Morançais, droite dans ses bottes

Brillamment réélue à la tête de la région Pays de la Loire à l'issue d'une campagne très difficile face à l'écologiste Matthieu Orphelin, cette entrepreneuse, nouveau visage et étoile montante de la droite LR, pourrait être une recrue de choix dans un gouvernement d'ouverture. Mais Christelle Morançais devra pour cela rompre politiquement avec Bruno Retailleau, qu'elle a remplacé à la tête de la région.

Robert Ménard, le joker

Virage sur l'aile pour le maire de Béziers qui, après avoir été (très) proche de Marine Le Pen et Marion Maréchal, s'est montré (très) conciliant, surtout depuis la crise ukrainienne, avec le pouvoir en place. L'ex-président de Reporters sans frontières multiplie les signaux « pour rejoindre le camp des modérés », constate un pilier de la macronie. Robert Ménard, tout comme son épouse Emmanuelle, députée, pourraient tout à fait incarner la droite dure dans un gouvernement d'union nationale.

L'invitée surprise

Amélie Oudéa-Castéra

Amélie Oudéa-Castéra. © STEPHANE ALLAMAN / DPPI VIA AFP

Son profil en fait une candidate sérieuse pour le poste de ministre des Sports. Cette condisciple d'Emmanuel Macron à l'ENA y songeait à l'issue de la campagne de 2017, à laquelle elle a contribué. Et si, dans l'optique des JO 2024, ce rêve devenait réalité ? Cette ex-championne de tennis – elle a été numéro un des juniors françaises aux côtés d'Amélie Mauresmo – a une vraie vision de la pratique sportive affûtée à la tête de la FFT, dont elle est la directrice générale. Ancienne de la Cour des comptes, Amélie Oudéa-Castéra bénéficie aussi d'appuis solides. « Elle a un service-volée spectaculaire, elle est toujours àl'offensive », déclarait son oncle, Alain Duhamel, dans un récent portrait du Point de cette femme dynamique, par ailleurs épouse du patron de la Société générale.

Les francs-tireurs

Gaspard Kœnig, à cheval ?

Ils n'ont pas que la passion de Montaigne en commun ! Dans sa longue confession au Point, le chef de l'État ne tarit pas d'éloges sur l'essayiste libéral, engagé dans une croisade contre la complexité administrative et l'inflation des normes. « Je veux le faire travailler, il a de très bonnes intuitions », nous a-t-il confié. Où qu'il soit Gaspard Kœnig n'abdiquera pas sa liberté de penser.

Gaspard Kœnig, l'antidote au bureaucratistan ?

Rachel Khan, la vigie laïque

Rachel Khan. © THIERRY STEFANOPOULOS / REA

Juriste, actrice, écrivaine, elle s'est fait remarquer avec Racée, vigoureux essai contre le repli identitaire. Fille d'une juive polonaise et d'un Sénégalo-Gambien animiste, issu d'une famille autrefois catholique devenue musulmane par l'islamisation, comme elle aime à le souligner, Rachel Khan est aujourd'hui une figure de la lutte pour l'émancipation. Une voix qui pourrait incarner une ligne laïque et universaliste.

Les maires

Olivier Klein, vue sur la Ville

Olivier Klein. © SIMON LAMBERT /HAYTHAM - REA

Il est peu connu, mais les esprits avisés ont bien vu qu'il était de plus en plus présent aux derniers déplacements de campagne du président-candidat, de Dijon à Marseille. Le maire de Clichy-sous-Bois et président de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine, qui a fait ses premières armes au Parti communiste avant de passer au PS puis à la Fédération progressiste, nouvellement créée par François Rebsamen, fait partie des nouveaux visages pour incarner la gauche de la macronie. L'élu ne cache pas ses vues sur le ministère de la Ville.

Caroline Cayeux, sillon droit

La maire de Beauvais creuse discrètement son sillon depuis longtemps chez les élus. Filloniste de la première heure et fidèle jusqu'au bout, après avoir rompu avec LR en 2018, elle a rallié la macronie sans coup d'éclat mais avec efficacité. À la tête de l'association des villes moyennes, elle est devenue une interlocutrice obligée du pouvoir central sur tous les dossiers concernant ces territoires de plus en plus prisés par les Français depuis la pandémie. Pour un gouvernement de tempêtes, son calme et sa fermeté sont des atouts.

Nathalie Nieson, sillon gauche

Elle agit dans l'ombre, mais cette élue locale expérimentée, maire de Bourg-de-Péage (Drôme) depuis quatorze ans, est appréciée du président. Il avait d'ailleurs choisi sa commune de quelque 10 000 âmes pour un grand débat national surprise, en janvier 2019, en présence de Gilets jaunes. Ancienne députée socialiste, elle s'est investie dans la campagne d'Emmanuel Macron et pourrait incarner cette fibre territoriale qu'il entend mettre en avant.

Karl Olive, Monsieur Loyal

Avec ses cravates bariolées et sa gouaille d'ancien animateur télé, le maire de Poissy (Yvelines) ne passe pas inaperçu dans l'univers macroniste. Venu de la droite, l'élu a rencontré Emmanuel Macron en 2014 et s'est rapproché du président au moment de la crise des Gilets jaunes, au point de quitter son ancienne famille politique pour le soutenir en 2019. En octobre, le chef de l'État lui a remis l'insigne de chevalier de la Légion d'honneur. Avant de le nommer ministre de la Ville ?

Christian Estrosi, poisson-pilote

Ancien ministre sous Jacques Chirac puis de Nicolas Sarkozy, le maire de Nice pourrait reprendre du service gouvernemental, même s'il s'en défend. D'aucuns parlent même d'un portefeuille régalien pour ce poisson-pilote de la décentralisation qui a fait de sa métropole un grand laboratoire d'innovations. Ce sarkozyste historique a rompu avec LR, rejoint Horizons, le parti d'Édouard Philippe, et s'est donné pour tâche, avec son mouvement La France audacieuse, de fédérer de grands élus derrière le président.

Delphine Bürkli, la pragmatique

Proche de Bruno Le Maire et d'Édouard Philippe, la maire du 9e arrondissement de Paris a été réélue sous l'étiquette de la majorité présidentielle en 2020, actant sa rupture avec son parti d'origine, LR. Elle a depuis rejoint Horizons, et revendique le pragmatisme tant au niveau local que national. À la recherche de personnalités féminines, Emmanuel Macron pourrait la promouvoir au gouvernement, dans une démarche d'ouverture.

Arnaud Péricard, but en or

Macroniste et philippiste, très engagé dans les réseaux d'élus de la majorité, mais aussi dans les milieux sportifs par son métier d'avocat, le maire de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) est aussi un candidat sérieux pour conduire le plan de relance économique avec les collectivités, dont il connaît bien les dirigeants et les rouages.

Les historiques

Alexis Kohler, la tour de contrôle

Alexis Kohler. © BENOIT TESSIER / POOL / AFP

Il est l'alter ego d'Emmanuel Macron, son bras droit. Après cinq ans comme secrétaire général de l'Élysée, ce haut-fonctionnaire, qui fuit la lumière, est pressenti pour rempiler au même poste. « Son obsession ? Tout contrôler, parce qu'il sait que s'il y a un pépin, c'est sur lui que ça tombe », observe un dirigeant de la majorité. Le chef de l'État a une confiance absolue en son ancien directeur de cabinet à Bercy, décrit comme un bourreau de travail. Les deux hommes ne sont toutefois pas alignés sur tout et le président a conscience des critiques visant son collaborateur, perçu comme un technocrate rigide et froid, son « mauvais génie ». « Alexis, c'est l'homme-verrou des sujets de la campagne », peste un Marcheur historique, qui l'accuse d'avoir imposé le marqueur de la retraite à 65 ans dans le programme du président.

Richard Ferrand, l'intendant

Rare élu à avoir soutenu Emmanuel Macron en 2017, le président de l'Assemblée nationale s'est affirmé comme un grognard incontournable. Manœuvrier, le député du Finistère, admirateur de François Mitterrand, pilote en coulisses les discussions autour de la création d'un nouveau parti pro-Macron et des investitures aux législatives. Il ne dirait pas non à Matignon, si le président voulait envoyer un signal à gauche. Mais le plus probable serait qu'il tente de conserver sa stature institutionnelle au même poste, s'il est réélu par les députés.

François Bayrou, le parrain

Trois fois candidat à l'élection présidentielle, le maire de Pau et président du MoDem vit à travers Emmanuel Macron le rêve de sa vie, celui du centre au pouvoir et de l'effondrement des partis traditionnels de droite et de gauche. Haut-commissaire au Plan, pilier de la majorité depuis qu'il a soutenu le fondateur d'En marche ! en février 2017, il jouit d'un statut d'indéboulonnable auprès du chef de l'État. Il aspire durant ce second quinquennat à consolider « l'espace central » en œuvrant au rapprochement de LREM et du MoDem, sans toutefois adhérer au projet de parti unique du président. Et n'a pas renoncé à Matignon.

Macron-Bayrou, histoire d'un compagnonnage politique : LE PIRE DU LOT !

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Par les Français qui lui ont donné trop de pouvoir sans s’en apercevoir au fil de ces quinquennats depuis 20 ans qui leur ont fait revoir à chaque fois une classe politique devenue déplorable par une qualité de ces élus de tous bords de plus en plus médiocres et d’une incompétence remarquable !

Choisira un 1er ministre super godillot sur mesure inféodé à sa botte qui renforcera son pouvoir personnel que lui ont donné les Français mais perdra en sincérité sur le programme de son quinquennat qu’il veut (soi-disant appliquer !)

Comme il n’a que 5 ans pour diriger le pays suivant notre constitution qui n’autorise que 2 mandats il peut faire ce qu’il veut sans se soucier d’une éventuelle réélection !?

Cela prouve comme avait dit un de ces prédécesseurs SARKOZY (qui lui aussi a soutenu sa réélection en retournant sa veste) s’il le fallait que le 1er ministre devienne vraiment un collaborateur servile !

Ces partis ringards et leurs leaders ne valent plus rien usés comme cette V eme république qu’il faudrait au moins modifier rien que pour sa gouvernance !

Il faudrait que le président se garde bien de nommer par exemple E.BORNE car les français ne supporteraient pas « une mère fouettarde » ou aussi par exemple ATTAL  « son fou du roi » qui fait la roue comme un paon seul peut être LEMAIRE le technicien pourrait faire peut-être l’affaire !

Quant aux législatives et ses partis usés ringards et cette usine à gaz à élection proportionnelle au 2eme tour dont les Français lambda n’y comprenne rien et ne savent déjà pas voter correctement pour leurs chefs d’état à 2 tours alors étant donné leur divisions et individualismes et culture du chacun pour soi il ne faut pas rêver !?

Pour leurs députés c’est pire, on a vu avec la REM parti fantôme du président cette V eme république qui s’est dégradée qui n’est faite que pour ces politiciens élus de tous bords pas pour les Français lambda !

Si les Français veulent du changement il faut changer ce système électoral qui ne correspond plus à ce qu’attendent les Français et érode notre démocratie (comme d’autres dans le monde ce qui est préoccupant !)

Jdeclef 27/04/2022 11h01

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