Denormandie,
Borne, Le Maire… Ceux qui feront le quinquennat
Qui
pourrait s’installer à Matignon ? Quelles sont les personnalités, tous
bords confondus, susceptibles d’entrer au gouvernement ? Quelques pistes.
Macron saison 2, c'est
parti ! Le président conserve donc son fauteuil à l'Élysée, mais devrait s'appuyer
sur un gouvernement d'ouverture et composé de davantage de femmes.
Sur quelles personnalités va-t-il s'appuyer pour ce deuxième mandat ? Qui
est pressenti pour s'installer à Matignon ? Dans la galaxie macroniste, on
retrouve bien sûr quelques incontournables, comme Bruno Le Maire ou
Élisabeth Borne. D'autres ont gagné en influence, à l'instar de Julien
Denormandie ou Gabriel Attal. Ils forment la première ligne, celle des fidèles
conseillers. Mais Emmanuel Macron peut aussi compter sur un certain nombre de
maires, parmi lesquels Christian Estrosi, Olivier Klein ou Caroline Cayeux. Il
y a aussi les poids lourds, les historiques, comme François Bayrou, ou les
francs-tireurs, façon Gaspard Kœnig. Sans oublier quelques femmes et hommes
d'autres bords politiques que le président attirerait bien sur sa rive,
notamment Valérie Rabault ou Christelle Morançais. Tour d'horizon de celles et
ceux avec qui il faudra compter.
En première ligne
Julien Denormandie, l'homme clé
Clément Beaune, l'ascension du sherpa
Ancien conseiller du ministre de l'Économie, puis sherpa du
président à l'Élysée, secrétaire d'État aux Affaires européennes… Clément
Beaune ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Le très médiatique ministre,
venu du Parti socialiste, devrait pour la première fois se frotter au suffrage
lors des élections législatives, à Paris. Il se verrait bien également élargir
sa palette de compétences avec un poste stratégique, par exemple celui des
Comptes publics, à Bercy.
Clément Beaune, le sherpa d'Emmanuel Macron
Élisabeth Borne, dame de faire
Gabriel Attal, une marche en plus ?
Benjamin de l'exécutif, Gabriel Attal n'en est pas moins l'un des plus
ambitieux. L'élu des Hauts-de-Seine a fait ses preuves comme porte-parole du
gouvernement, après avoir mis sur les rails le service national universel
(SNU). Le président apprécie le talent de ce bon soldat dévoué et fidèle et
l'associe de plus en plus à son dispositif politique, y compris en petit
comité. Nul doute que cet ancien socialiste aura une place de choix dans le
prochain mandat.
Olivier Dussopt, le coup d'après
Avare en compliments, Emmanuel Macron n'en finit plus de
tresser des couronnes à son discret ministre délégué chargé des Comptes
publics. Le transfuge du PS, ancien maire d'Annonay, dans l'Ardèche, a pris la
tête de Territoires de progrès, l'aile gauche de la majorité. Certains lui
prêtent des vues sur le ministère de la Défense. « Il
a fait la plus grande réforme du quinquennat, celle qui a mis fin au statut de
fonctionnaire, et sans que cela se voit. C'est un très bon ! » s'enflamme
un conseiller officieux du président.
Dussopt, le ministre qui doit dire
« non » à 22 milliards de dépenses en plus
Sébastien Lecornu, à cent à l'Eure
Après avoir passé la moitié de sa carrière encarté à droite, l'ex-maire de
Vernon (Eure) a été propulsé ministre en 2017, puis a gagné ses galons en tant
que coorganisateur du grand débat. « Emmanuel Macron le trouve doué,
c'est l'anti-techno, il a un vrai sens politique. Une sorte de Jacques Chirac
en plus jeune », décrit un visiteur du soir de l'Élysée. Après le
ministère des Outre-Mer, l'élu local pourrait briguer la Chancellerie ou les
Armées.
Bruno Le Maire, l'incontournable
Il est l'un des artisans du quoi qu'il en coûte, puis de la relance
économique. Depuis cinq ans comme patron de Bercy, Bruno Le Maire est
devenu le pilier du gouvernement. À défaut de Matignon, l'ex-ministre de
l'Agriculture de Nicolas Sarkozy, élu de l'Eure, pourrait conserver son poste,
voire élargir son périmètre. « Il est structuré, courageux. Je le vois
aller en 2027 », avance un cadre macroniste.
Gérald Darmanin, la sécurité
Après des débuts mouvementés à Beauvau, ce proche de Nicolas Sarkozy et de
Xavier Bertrand a réussi l'exploit d'être à la fois considéré par son
administration et par la majorité. « C'est le seul fils de femme de
ménage du gouvernement, il représente la droite sociale, Emmanuel Macron ne
pourra pas se passer de lui », encense un ami. Celui qui a mis en
place le prélèvement à la source au ministère du Budget pourrait convoiter un
ministère plus social. D'autres le pensent mûr pour Matignon.
Éric Woerth, une pièce sur le Budget
Son ralliement récent à Emmanuel Macron – en février – a joué un rôle dans
la campagne du chef de l'État. Le député de l'Oise, président estimé de la
commission des Finances à l'Assemblée et ancien sarkozyste, est cité pour le
ministère du Budget, à moins que ses poursuites judiciaires ne lui portent
préjudice. « Il n'y a pas de deal sur une place précise, mais il a
compris qu'il aurait un poste dans le dispositif », décrypte un
membre du gouvernement.
Pascal Canfin, la carte verte
À la tête de la puissante commission environnement au
Parlement européen, l'ancien dirigeant du WWF France, élu
en 2019 sous pavillon macroniste, s'est totalement converti au
logiciel du président sur la souveraineté européenne. Ministre du Développement
sous François Hollande, l'ancien dirigeant d'EELV pourrait-il rejoindre le
gouvernement Macron II ? Au moins trois postes seront consacrés à la
planification écologique. « Il faut mettre en œuvre
la deuxième écologie, comme Michel Rocard a fait la deuxième gauche », a-t-il
coutume de dire. Point positif : il s'entend bien avec Bruno
Le Maire.
Présidentielle : Emmanuel Macron, quelle
histoire !
De futures recrues ?
Damien Abad, le prix du transfuge
Si le président de la République parvenait à mettre la main sur le patron du
groupe LR à l'Assemblée nationale, évidemment, ce serait une conquête
retentissante. Un proche d'Emmanuel Macron assure qu'on aurait déjà tenté de le
débaucher lors du remaniement de 2020, mais qu'il aurait refusé. Comme on peut
s'en douter, le grognard de la droite, qui a soutenu Xavier Bertrand à la
primaire, ne passera pas le rubicon à moindres frais.
Valérie Rabault, une patronne socialiste
Les macronistes ne cessent de le dire, sûrement pour que ce
soit répété aux oreilles de l'intéressée : la patronne des députés socialistes
est bien plus compatible avec le camp du chef de l'État qu'avec celui de
Jean-Luc Mélenchon. À mesure que le PS se rapproche des Insoumis,
l'objectif est donc de ramener dans les mailles du filet de la majorité, voire
du gouvernement l'élue du Tarn-et-Garonne. « Elle est clairement
une cible », reconnaît un fidèle du président. Membre de la
commission des Finances, Valérie Rabault est réputée sérieuse, solide et
surtout non sectaire. Elle entretient de bonnes relations avec Édouard
Philippe.
Nathalie Kosciusko-Morizet, l'éternel retour
« Elle était prête à venir en 2017 et 2020, mais cela ne
l'a pas fait », croit savoir un ministre. À la faveur des
discussions entre Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron, le nom de l'ancienne
ministre de l'Écologie refait surface. Des échanges ont lieu entre
l'ex-candidate à l'élection municipale à Paris, expatriée à New York chez
Capgemini, et l'entourage du président. Après tout, le chef de l'État veut charger
son Premier ministre de la planification écologique… « Pas sûr que son
profil réponde à la demande de proximité, de concertation », prévient
toutefois un proche du locataire de l'Élysée.
Audrey Azoulay, sans frontières
Un retour au gouvernement de la patronne de l'Unesco ? Cela fait partie
aussi des possibilités, dont bruissent les cercles du pouvoir. Femme de gauche,
avec un rayonnement international, l'ancienne ministre de la Culture et de la
Communication de François Hollande est un profil évidemment recherché. Mais elle
a été réélue – haut la main – à la tête de l'Unesco en novembre dernier pour un
nouveau mandat de quatre ans.
Christelle Morançais, droite dans ses bottes
Brillamment réélue à la tête de la région Pays de la Loire à l'issue d'une
campagne très difficile face à l'écologiste Matthieu Orphelin, cette
entrepreneuse, nouveau visage et étoile montante de la droite LR, pourrait être
une recrue de choix dans un gouvernement d'ouverture. Mais Christelle Morançais
devra pour cela rompre politiquement avec Bruno Retailleau, qu'elle a remplacé
à la tête de la région.
Robert Ménard, le joker
Virage sur l'aile pour le maire de Béziers qui, après avoir été (très)
proche de Marine Le Pen et Marion Maréchal, s'est montré (très) conciliant,
surtout depuis la crise ukrainienne, avec le pouvoir en place. L'ex-président
de Reporters sans frontières multiplie les signaux « pour rejoindre le
camp des modérés », constate un pilier de la macronie. Robert Ménard,
tout comme son épouse Emmanuelle, députée, pourraient tout à fait incarner la
droite dure dans un gouvernement d'union nationale.
L'invitée surprise
Amélie Oudéa-Castéra
Son profil en fait une candidate sérieuse pour le poste de
ministre des Sports. Cette condisciple d'Emmanuel Macron à l'ENA y songeait à
l'issue de la campagne de 2017, à laquelle elle a contribué. Et si, dans
l'optique des JO 2024, ce rêve devenait réalité ? Cette ex-championne de
tennis – elle a été numéro un des juniors françaises aux côtés d'Amélie
Mauresmo – a une vraie vision de la pratique sportive affûtée à la tête de la
FFT, dont elle est la directrice générale. Ancienne de la Cour des comptes,
Amélie Oudéa-Castéra bénéficie aussi d'appuis solides. « Elle a un service-volée spectaculaire,
elle est toujours àl'offensive », déclarait son oncle, Alain
Duhamel, dans un récent portrait du Point
de cette femme dynamique, par ailleurs épouse du patron de la Société générale.
Les francs-tireurs
Gaspard Kœnig, à cheval ?
Ils n'ont pas que la passion de Montaigne en commun ! Dans sa longue
confession au Point, le chef de
l'État ne tarit pas d'éloges sur l'essayiste libéral, engagé dans une croisade
contre la complexité administrative et l'inflation des normes. « Je
veux le faire travailler, il a de très bonnes intuitions », nous
a-t-il confié. Où qu'il soit Gaspard Kœnig n'abdiquera pas sa liberté de
penser.
Gaspard Kœnig, l'antidote au bureaucratistan ?
Rachel Khan, la vigie laïque
Juriste, actrice, écrivaine, elle s'est fait remarquer avec Racée, vigoureux essai contre le
repli identitaire. Fille d'une juive polonaise et d'un
Sénégalo-Gambien animiste, issu d'une famille autrefois catholique devenue
musulmane par l'islamisation, comme elle aime à le souligner, Rachel Khan est
aujourd'hui une figure de la lutte pour l'émancipation. Une voix qui pourrait
incarner une ligne laïque et universaliste.
Les maires
Olivier Klein, vue sur la Ville
Il est peu connu, mais les esprits avisés ont bien vu qu'il
était de plus en plus présent aux derniers déplacements de campagne du
président-candidat, de Dijon à Marseille. Le maire de Clichy-sous-Bois et
président de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine, qui a fait ses
premières armes au Parti communiste avant de passer au PS puis à la
Fédération progressiste, nouvellement créée par François Rebsamen, fait partie
des nouveaux visages pour incarner la gauche de la macronie. L'élu ne cache pas
ses vues sur le ministère de la Ville.
Caroline Cayeux, sillon droit
La maire de Beauvais creuse discrètement son sillon depuis longtemps chez
les élus. Filloniste de la première heure et fidèle jusqu'au bout, après avoir
rompu avec LR en 2018, elle a rallié la macronie sans coup d'éclat mais avec
efficacité. À la tête de l'association des villes moyennes, elle est
devenue une interlocutrice obligée du pouvoir central sur tous les dossiers
concernant ces territoires de plus en plus prisés par les Français depuis la
pandémie. Pour un gouvernement de tempêtes, son calme et sa fermeté sont des
atouts.
Nathalie Nieson, sillon gauche
Elle agit dans l'ombre, mais cette élue locale expérimentée, maire de
Bourg-de-Péage (Drôme) depuis quatorze ans, est appréciée du président. Il
avait d'ailleurs choisi sa commune de quelque 10 000 âmes pour un grand
débat national surprise, en janvier 2019, en présence de Gilets jaunes.
Ancienne députée socialiste, elle s'est investie dans la campagne d'Emmanuel
Macron et pourrait incarner cette fibre territoriale qu'il entend mettre en
avant.
Karl Olive, Monsieur Loyal
Avec ses cravates bariolées et sa gouaille d'ancien animateur télé, le maire
de Poissy (Yvelines) ne passe pas inaperçu dans l'univers macroniste. Venu de
la droite, l'élu a rencontré Emmanuel Macron en 2014 et s'est
rapproché du président au moment de la crise des Gilets jaunes, au point de
quitter son ancienne famille politique pour le soutenir en 2019. En octobre, le
chef de l'État lui a remis l'insigne de chevalier de la Légion d'honneur. Avant
de le nommer ministre de la Ville ?
Christian Estrosi, poisson-pilote
Ancien ministre sous Jacques Chirac puis de Nicolas Sarkozy, le maire de
Nice pourrait reprendre du service gouvernemental, même s'il s'en défend.
D'aucuns parlent même d'un portefeuille régalien pour ce poisson-pilote de la
décentralisation qui a fait de sa métropole un grand laboratoire d'innovations.
Ce sarkozyste historique a rompu avec LR, rejoint Horizons, le parti d'Édouard
Philippe, et s'est donné pour tâche, avec son mouvement La France audacieuse,
de fédérer de grands élus derrière le président.
Delphine Bürkli, la pragmatique
Proche de Bruno Le Maire et d'Édouard Philippe, la maire du 9e
arrondissement de Paris a été réélue sous l'étiquette de la majorité présidentielle
en 2020, actant sa rupture avec son parti d'origine, LR. Elle a depuis rejoint
Horizons, et revendique le pragmatisme tant au niveau local que national.
À la recherche de personnalités féminines, Emmanuel Macron pourrait la
promouvoir au gouvernement, dans une démarche d'ouverture.
Arnaud Péricard, but en or
Macroniste et philippiste, très engagé dans les réseaux d'élus de la
majorité, mais aussi dans les milieux sportifs par son métier d'avocat, le
maire de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) est aussi un candidat sérieux pour
conduire le plan de relance économique avec les collectivités, dont il connaît
bien les dirigeants et les rouages.
Les historiques
Alexis Kohler, la tour de contrôle
Il est l'alter ego d'Emmanuel Macron, son bras droit. Après
cinq ans comme secrétaire général de l'Élysée, ce haut-fonctionnaire, qui fuit
la lumière, est pressenti pour rempiler au même poste. « Son obsession ? Tout contrôler,
parce qu'il sait que s'il y a un pépin, c'est sur lui que ça tombe »,
observe un dirigeant de la majorité. Le chef de l'État a une confiance absolue
en son ancien directeur de cabinet à Bercy, décrit comme un bourreau de
travail. Les deux hommes ne sont toutefois pas alignés sur tout et le président
a conscience des critiques visant son collaborateur, perçu comme un technocrate
rigide et froid, son « mauvais génie ».
« Alexis, c'est l'homme-verrou des sujets de la campagne », peste
un Marcheur historique, qui l'accuse d'avoir imposé le marqueur de la retraite
à 65 ans dans le programme du président.
Richard Ferrand, l'intendant
Rare élu à avoir soutenu Emmanuel Macron en 2017, le président de
l'Assemblée nationale s'est affirmé comme un grognard incontournable.
Manœuvrier, le député du Finistère, admirateur de François Mitterrand, pilote
en coulisses les discussions autour de la création d'un nouveau parti
pro-Macron et des investitures aux législatives. Il ne dirait pas non à
Matignon, si le président voulait envoyer un signal à gauche. Mais le plus
probable serait qu'il tente de conserver sa stature institutionnelle au même
poste, s'il est réélu par les députés.
François Bayrou, le parrain
Trois fois candidat à l'élection présidentielle, le maire de Pau et
président du MoDem vit à travers Emmanuel Macron le rêve de sa vie, celui du
centre au pouvoir et de l'effondrement des partis traditionnels de droite et de
gauche. Haut-commissaire au Plan, pilier de la majorité depuis qu'il a soutenu
le fondateur d'En marche ! en février 2017, il jouit d'un statut
d'indéboulonnable auprès du chef de l'État. Il aspire durant ce second
quinquennat à consolider « l'espace central » en œuvrant au
rapprochement de LREM et du MoDem, sans toutefois adhérer au projet de parti
unique du président. Et n'a pas renoncé à Matignon.
Macron-Bayrou, histoire d'un compagnonnage politique : LE PIRE DU LOT !
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Par les Français
qui lui ont donné trop de pouvoir sans s’en apercevoir au fil de ces
quinquennats depuis 20 ans qui leur ont fait revoir à chaque fois une classe
politique devenue déplorable par une qualité de ces élus de tous bords de plus
en plus médiocres et d’une incompétence remarquable !
Choisira un 1er
ministre super godillot sur mesure inféodé à sa botte qui renforcera son
pouvoir personnel que lui ont donné les Français mais perdra en sincérité sur
le programme de son quinquennat qu’il veut (soi-disant appliquer !)
Comme il n’a
que 5 ans pour diriger le pays suivant notre constitution qui n’autorise que 2
mandats il peut faire ce qu’il veut sans se soucier d’une éventuelle réélection !?
Cela prouve
comme avait dit un de ces prédécesseurs SARKOZY (qui lui aussi a soutenu sa réélection
en retournant sa veste) s’il le fallait que le 1er ministre devienne
vraiment un collaborateur servile !
Ces partis ringards
et leurs leaders ne valent plus rien usés comme cette V eme république qu’il
faudrait au moins modifier rien que pour sa gouvernance !
Il faudrait
que le président se garde bien de nommer par exemple E.BORNE car les français
ne supporteraient pas « une mère fouettarde » ou aussi par exemple
ATTAL « son fou du roi » qui
fait la roue comme un paon seul peut être LEMAIRE le technicien pourrait faire
peut-être l’affaire !
Quant aux législatives
et ses partis usés ringards et cette usine à gaz à élection proportionnelle au
2eme tour dont les Français lambda n’y comprenne rien et ne
savent déjà pas voter correctement pour leurs chefs d’état à 2 tours alors étant
donné leur divisions et individualismes et culture du chacun pour soi il
ne faut pas rêver !?
Pour leurs
députés c’est pire, on a vu avec la REM parti fantôme du président cette V eme
république qui s’est dégradée qui n’est faite que pour ces politiciens élus de
tous bords pas pour les Français lambda !
Si les Français
veulent du changement il faut changer ce système électoral qui ne correspond plus
à ce qu’attendent les Français et érode notre démocratie (comme d’autres dans
le monde ce qui est préoccupant !)
Jdeclef
27/04/2022 11h01
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