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Présidentielle : Gabriel Attal moque la campagne « en chaussons » de Le Pen
Pour le
porte-parole du gouvernement, invité sur LCI, la candidate RN fait campagne
« dans des salons d’hôtel, en conférence de presse ».
- Un déplacement consacré à l'écologie pour Emmanuel Macron, le
premier grand meeting de l'entre-deux-tours dans le sud pour Marine Le
Pen : les deux finalistes de la présidentielle remontent au front
dans une campagne menée tambour battant avant le second tour.
- Jeudi, Emmanuel Macron sera accueilli au Havre par son ancien
Premier ministre Édouard Philippe, mais pas tout à fait en terrain conquis
puisque la cité portuaire a placé le leader Insoumis Jean-Luc Mélenchon en
tête des suffrages, près de trois points devant Emmanuel Macron.
- Longue journée en perspective aussi pour Marine Le Pen :
la candidate du RN répondra en début d'après-midi aux lecteurs de La Provence avant de tenir un meeting à Avignon. Sur
France 2 jeudi matin, elle a évoqué l'idée d'un référendum sur
la question de la peine de mort.
- Selon Ipsos, 59 % des électeurs de Jadot au premier
tour pourraient voter le 24 avril pour Macron, 47 % de
ceux de Valérie Pécresse et 37 % des électeurs Insoumis. Du
côté d'Éric Zemmour : 81 % d'entre eux choisiraient Marine
Le Pen contre seulement 4 % Emmanuel Macron.
09 h 19 - François Hollande au 20 heures de TF1
François Hollande sera ce jeudi soir au 20 heures de
TF1. L'ex-président de la République répondra aux questions de Gilles Bouleau
sur le second tour de la présidentielle. Nicolas Sarkozy, son prédécesseur à
l'Élysée, a appelé à voter pour Emmanuel Macron. Trois anciens Premier
ministres socialistes ont également annoncé leur soutien au président sortant
(Lionel Jospin, Jean-Marc Ayrault et Bernard Cazeneuve).
Le
retour de François Hollande
09 h 03 - Le Pen et sa campagne « en chaussons » selon Gabriel Attal
Invité sur LCI jeudi matin, Gabriel Attal s'en est pris à la
campagne « en chaussons » de Marine Le Pen. Pour le porte-parole du
gouvernement, la rivale d'Emmanuel Macron ferait campagne « entre des
salons d'hôtel pour faire des conférences de presse et des déplacements dans
des endroits où elle a fait ses meilleurs scores ». « La politique,
c'est aussi aller se confronter », a estimé le secrétaire d'État face à
Élizabeth Martichoux.
08 h 44 - Le Pen tacle « l'autoritarisme » d'Emmanuel Macron
Sur France 2 jeudi,
Marine Le Pen s'en est prise à Emmanuel Macron, estimant que la France n'aurait
jamais connu « un président qui a fait preuve d'autant
d'autoritarisme ». L'occasion pour la candidate du RN de rappeler que la
France se positionne en 34e place du classement Reporters sans frontières de la
liberté de la presse. Dans l'émission 4 Vérités, elle a également regretté que
le président ait imposé « une restriction massive » en raison de
l'épidémie de Covid-19.
08 h 28 - Des crimes de guerre en Ukraine et non « un génocide »,
selon Le Pen
À l'occasion d'une interview
sur France 2, Marine Le Pen a évoqué la guerre en Ukraine. Pour la candidate du
RN, la situation manque de recul pour pouvoir utiliser le terme de
« génocide ». « À partir du moment où des civils et des armées
sont ainsi assassinés, ce sont à l'évidence des crimes de guerre »,
a-t-elle expliqué, affirmant avoir demandé une enquête de l'ONU sur « les
responsables de ces horreurs ». Et d'ajouter : « Je pense que
ceux qui sont coupables de cela doivent être écartés du concert des
nations. »
08 h 17 - La pique de Philippe Poutou à Pécresse
En difficultés financières
depuis sa défaite, Valérie Pécresse a lancé un appel aux dons pour éponger sa
dette personnelle de 5 millions d'euros. Une cagnotte dont s'est
moqué Philippe Poutou. « Pour aider mon ex-collègue Pécresse qui doit
faire face à de grosses difficultés financières, liées à une surestimation de
ses capacités, si ça peut l'aider, je veux bien lui prêter
ma 308 pendant quelques jours », a publié le militant
anticapitaliste, ex-candidat NPA au premier tour de la présidentielle, sur
Twitter.
08 h 09 - Les référendums doivent être plus fréquents, selon Le Pen
Invitée sur France 2, Marine Le Pen a plaidé pour l'instauration de référendums
d'initiative citoyenne, qui devront être plus fréquents si elle est élue au
second tour de la présidentielle. « Je veux que le référendum devienne un
outil classique de fonctionnement. Je ne veux pas qu'il serve à dire oui ou non
à quelqu'un, mais oui ou non à quelque chose », a estimé la candidate du
RN dans l'émission Les Quatre Vérités, précisant que certaines révisions
de la Constitution pourront, au cas pas cas, passer par ces
référendums. Elle a notamment évoqué l'idée d'un référendum sur la peine
de mort. « Tout pourrait passer par un référendum d'initiative
citoyenne », selon la députée d'extrême droite, sauf ce qui serait
contraire à la Constitution.
Le
référendum, profonde ligne de fracture Macron-Le Pen
07 h 58 - Jean-François Kahn – Ce que nous dit ou nous révèle un
séisme électoral
Deux piliers structuraient traditionnellement notre vie politique.
Or les deux, la social-démocratie, le conservatisme libéral, et même le
troisième, l'écologisme politique, se sont effondrés, quasi autodissous. Est-ce
qu'après un tremblement de terre, on peut se contenter de reconstruire à
l'identique, avec les mêmes matériaux, ce qui s'est écroulé ?
Ce
que nous dit ou nous révèle un séisme électoral
07 h 35
- Plus de 7 Français sur 10 comptent aller vote
D'après un sondage CSA pour CNews,
plus de 7 Français sur 10 comptent se rendre aux urnes
le 24 avril (72 %). Plus les personnes interrogées sont âgées et
plus elles ont l'intention de voter au second tour (82 % des plus
de 65 ans contre seulement 59 % des 25-34 ans). À noter
également des disparités en fonction du genre, l'abstention étant estimée
à 30 % pour les femmes et à 25 % pour les hommes. Si les
électeurs d'Emmanuel Macron et de Marine Le Pen ont l'intention en majorité de
voter (89 % des sympathisants LREM et 86 % du RN), les électeurs
de La France insoumise ne sont que 47 % à vouloir se déplacer dans
les bureaux de vote et seulement 23 % des sympathisants LR et
EELV.
07 h 15 - Passe d'armes entre Le Pen et Darmanin
La
conférence de presse de Marine Le Pen a été marquée par l'expulsion d'une
manifestante ayant brandi une pancarte en forme de cœur où figuraient Vladimir
Poutine et la candidate du RN. Cette dernière a assuré sur BFMTV qu'il
s'agissait des « policiers de M. Darmanin ». En réaction, le ministre
de l'Intérieur a dénoncé « le mépris » de la députée. « Ayez
plutôt l'honnêteté de dire que l'individu qui traîne la manifestante sur le sol
est un membre de votre service d'ordre privé », a-t-il répondu.
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Et
supporter en plus ce petit minet d'ATTAL toutou du président pseudo monarque « fou
du roi » une véritable tête à claque c'est trop !
Puisque
les Français n’ont pas été capable de trouver chez tous ces politiciens de tous
bords souvent médiocres car ne sachant pas renouveler cette classe politique sclérosée
inutile jusqu’à rejouer ce mauvais scénario à chaque élection présidentielle !
Les Français
sont des électeurs incurables râleurs versatiles partisans du chacun pour soi ne
sachant plus voter et surtout réfléchir manquant d’imagination car en fait trop
gâtés habitués à être assistés par un dirigeant quel qu’il soit à qui il ont
donné trop de pouvoir par cette Vème république obsolète devenue monarchique
(et peut être pire encore dans l’avenir !)
Dans ce
lot de Français qui soi-disant voulaient le changement depuis 40 ans il ne faut
pas oublier les pleutres qui craignent le lendemain !
Ils
auront ce qu’ils méritent après cette campagne électorale insipide surement la
plus mauvaise depuis que l’élection au suffrage universel existe qui fait le
bonheur de tous ces politiciens qui ne pensent qu’à eux-mêmes mais en donnant
toujours le pouvoir au même (il suffit qu’il soit beau parleur opportuniste et
promette tout et n’importe quoi avec détermination volonté et malice !)
Jdeclef 14/04/2022
10h05
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