dimanche 27 janvier 2013

NÉGOCIER AVEC DES TERRORISTES ISLAMISTES, C’EST PERDRE SON TEMPS ET NE RÈGLE RIEN HÉLAS !

Des soldats maliens attendent de partir vers le front avec l'armée française, le 23 janvier 2013 à Diabali

Mali: Les islamistes du Mujao veulent négocier la libération d'un otage français

GUERRE - Les islamistes subissent un revers...

Soldats français et maliens ont pris samedi le contrôle de l'aéroport de Gao, un des principaux bastions des islamistes dans le Nord du Mali dont un groupe a annoncé au même moment vouloir «négocier la libération» d'un otage français.
Parallèlement, une colonne de soldats et blindés tchadiens stationnés au Niger a quitté Niamey pour se diriger vers Ouallam, près de la frontière avec le Mali, où est déjà cantonné un contingent nigérien. Tchadiens et Nigériens sont censés rejoindre Gao, à moins de trois heures de route de la frontière.
Après avoir repris trois localités dans le centre et l'ouest du Mali, les militaires français et maliens se sont lancés depuis vendredi dans la reconquête du Nord, occupé par les groupes islamistes depuis plus de neuf mois, se dirigeant vers les métropoles de Gao et Tombouctou.
Négociations pour un otage français
Les positions des islamistes à Gao ont été pilonnées par l'aviation française, notamment par des avions de combat Rafale, qui visaient «des camps d'entraînement, des infrastructures et des dépôts logistiques constituant les bases arrière des groupes terroristes», selon Paris.
Gao est un bastion des islamistes du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao). Ce groupe a annoncé samedi matin à l'AFP qu'il était prêt à «négocier la libération» de l'otage français qu'il détient depuis deux mois.
«Le Mujao est prêt à négocier la libération de l'otage Gilberto», a déclaré Walid Abu Sarhaoui, porte-parole du Mujao, en référence au Français Gilberto Rodriguez Leal, enlevé en novembre 2012 dans l'ouest du Mali

Il faut maintenant les repousser et si possible les éradiquer en dehors des frontières maliennes en maintenant une forte pression sans faiblir jusqu'au bout!

Quant à des négociations c'est une façon pour ces terrorismes de gagner du temps, il ne faut pas céder sur quoi que ce soit et faire du "sans condition" c'est tout!

Et après quand le gouvernement Malien aura repris le contrôle de son pays, il faut s'en aller rapidement!


Et laisser l'Afrique aux africains ! 

(En essayant, si possible de ne plus accepter trop d'immigration chez nous en France...)


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