samedi 14 mars 2020

Ça y est les clivages de ces anciens partis politiques inutiles renaissent ils ont beau cacher leur sigle sur les professions de fois des candidats aux élections municipales hypocritement !


Municipales – Verts vs RN : les prémices d'un nouveau clivage ?

Les intentions de vote des Français aux municipales indiquent une forte dynamique d'EELV dans les grandes villes et du RN dans les petites.

À quelques jours des élections municipales, la menace du coronavirus éclipse une question capitale concernant le vote des Français : ces élections annoncent-elles un nouveau clivage structurant la vie politique française entre le Rassemblement national et Europe Écologie-Les Verts ? Si le parti de Marine Le Pen peine à déposer des listes partout où il peut gagner, il engrange des intentions de vote extrêmement élevées dans les petites villes et les villes moyennes, considérées comme les territoires exclus de la mondialisation.
Plus nouveau, ce n'est plus La République en marche, mais les Verts qui ont le vent en poupe dans les grandes villes inclusives. Trois cas de figure illustrent cette tendance. Dans les villes où un maire sortant socialiste se représente, les Verts ne semblent pas en mesure de l'emporter, mais ils progressent. C'est par exemple le cas à Paris ou à Nantes. En revanche, dans les villes où le maire sortant de gauche ne se représente pas, les écologistes sont en mesure de l'emporter. C'est le cas à Strasbourg, à Besançon, à Lyon ou encore à Rouen. Le troisième cas de figure concerne les villes où le maire sortant est de droite. Dans ce cas, les écologistes sont généralement favoris pour devenir la première force d'opposition.

« 44 % des Français pourraient voter pour une liste EELV »

Le très bon score de Yannick Jadot aux européennes (13,47 % des voix) n'est donc pas éphémère : la tendance verte semble s'inscrire sur la durée : « Concernant les verts, jamais un enseignement des européennes n'avait été suivi lors du scrutin suivant », confirme Frédéric Dabi. Le directeur général adjoint de l'institut de sondage Ifop donne un autre chiffre important qui va dans le sens d'un changement durable de mentalité des électeurs : « 44 % des Français pourraient voter pour une liste EELV. » Il semblerait donc que la prise de conscience des enjeux climatiques et sanitaires soit devenue un élément désormais incontournable du vote des Français. Par ailleurs, dans de nombreux pays d'Europe comme l'Autriche, l'Allemagne, la ou Suisse, le nouveau clivage entre écologistes et populistes est en train de s'imposer.
Si ces éléments sont des faisceaux d'indices, il faut évidemment les relativiser pour plusieurs raisons. Déjà parce qu'il est beaucoup trop tôt pour annoncer que La République en marche a dit son dernier mot. Ses mauvais scores annoncés aux municipales s'expliquent aussi en partie parce qu'elle ne possède pas de maires sortants, la plupart du temps favoris. Et par l'impopularité de la majorité et du président, qui n'est pas gravée dans le marbre, surtout en période de grave crise sanitaire du coronavirus. Un président qui, précisons-le, a annoncé que l'écologie serait une des priorités de l'acte II de son quinquennat. Et il n'est pas le seul à verdir son discours : tous les partis font actuellement de l'écologie une priorité.
Enfin, les traditionnelles querelles d'EELV mettent en doute la capacité du parti à assumer cette prise de conscience collective : la stratégie « waechterienne » de Yannick Jadot – en référence au candidat des verts à la présidentielle de 1988, qui devint député européen, Antoine Waechter – qui tente d'imposer une écologie ni de droite ni de gauche, s'oppose à celle de Julien Bayou et de la majorité de son parti, à gauche toute. Il faudra donc attendre les élections régionales, où les électeurs s'attachent davantage à l'étiquette politique qu'à la personnalité du candidat, pour confirmer ou infirmer ce constat.
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Car les français sont bornés et ne peuvent se passer de leurs vieux partis politiques de tous bords et leurs leaders et politiciens médiocres qui ne pense qu'à eux !

On ne s'en sortira jamais en FRANCE avec ses vieux démons et divisions qui hélas persiste !

Quant à la crise ce n'est de la faute de personne (sauf peut-être à ne pas avoir assez lutté sur ces multiples virus qui traversent notre pays et le monde depuis des décennies que l'on a laissé aller à vaux l'eau) car après que ces crises épidémiques diverses soient passées on oublie, jusqu'aux suivantes !

Donc résumons cette pandémie montre la faiblesse de nos dirigeants de tous états démocratiques libres et évolués techniquement, par la gabegie de leurs gestions par nos dirigeants au quotidien trop occupés à de la basse politique politicienne pour préserver leur place et avantages divers !

Mr MACRON ne déroge pas à cela, il fait de beaux discours et des promesses pour essayer de rassurer le peuple lambda, c’est son rôle en faisant croire qu’il va casser sa tirelire avec l’argent des français (ceci en passant) qu’il n’a pas su bien utiliser avant !

Comme d’autres, il n’a fait que son job de communication, élu pour çà c’est tout, car il est dépassé et devra attendre au mieux comme fait la CHINE que ce virus disparaisse en protégeant les français avec du gel et des masques que l’on n’arrive même pas à se procurer partout !?

Cette crise exceptionnelle qui devient indirectement économique en plus devrait faire réfléchir dans l’avenir les français en s’unissant vraiment pour le choix de leurs dirigeants avec une refonte en profondeur de nos institutions et de cette V eme république obsolète qui ne répond plus aux attentes du peuple en exigeant cela par leurs votes des changements efficaces en ne laissant pas trop de pouvoir à un seul dirigeant qui n’ a même pas été capable de prendre une décision de bon sens en reportant des élections municipales qui pouvaient attendre (on sait pourquoi : encore le coté pervers de la politique politicienne!)

Car en 2022, s’il a déçu nos concitoyens, il ne sera pas réélu (peut-être) !?

Et ne plus faire du neuf avec du vieux !

Car là, c’est une pandémie problème de santé, mais que ferait-on en cas de guerre, on n’est même plus en sécurité dans notre vie quotidienne, c’est préoccupant !?

La France déraille, mais le monde aussi, cette pandémie vient de mettre en exergue nos faiblesses et défauts dans nos sociétés dites évoluées, il est temps que les peuples et surtout leurs dirigeants se remettent en question !

Jdeclef 14/03/2020 09h41LP

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