samedi 21 mars 2020

Cette politicienne est d'une bêtise inqualifiable à ego démesuré car se croyant indispensable continue à faire des bourdes impardonnables, car elle en fait trop !


La descente aux enfers de Ségolène Royal

En voulant dézinguer le gouvernement pour sa gestion de la crise du Covid-19, l'ancienne candidate à la présidentielle se prend les pieds dans le tapis.

À trop souffler sur les braises, il arrive qu'on se brûle… Confinée chez elle comme l'immense majorité des Français, Ségolène Royal passe beaucoup de temps sur Twitter et devant sa télévision. Trop, sans doute. Dans un message publié le 17 mars, et qu'elle a depuis supprimé, l'ex-ambassadrice pour les Pôles étrillait le ministre de la Santé, qui venait de déclarer, sur BFM TV, que « le confinement provoque la circulation du virus ». Olivier Véran parlait, bien évidemment, du « confinement » dans des espaces clos où se retrouvent un grand nombre de personnes, pour justifier leur fermeture. Mais devant sa télévision, Ségolène Royal n'a pas compris (ou n'a pas écouté). Et d'envoyer ce message rageur : « Olivier Véran : C'est le confinement qui provoque la circulation du virus ? Bonjour les amateurs ! Incompétence et désinvolture. C'est grave. Qu'il se rachète en s'occupant de la pénurie de masques ! »
Quelques heures plus tard, le ministre lui-même répondait à l'énarque dans un tweet d'une calme ironie, du haut de sa stature de médecin neurologue : « C'est pourtant essentiel que vous compreniez. Le confinement seul chez soi, le virus ne circule pas. Le confinement à 15 000 dans une salle de concert, le virus circule. » Avant qu'elle le supprime, le message de Mme Royal s'était attiré les commentaires peu amènes – c'est un euphémisme – de 2 000 twittos. C'est peu dire que la critique est tombée à plat.

« Elle est prête à tout pour faire le buzz »

Idem pour sa tentative, dimanche, d'attiser les flammes de la polémique, au soir d'un premier tour des municipales marqué, en pleine crise sanitaire, par une forte abstention. L'échange tendu entre le ministre de la Santé, toujours, et l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle sur le plateau de TF1, où les intervenants commentaient davantage l'avancée du virus que les résultats du scrutin, a provoqué un fort malaise. « Je pense que vous faites le maximum dans le cadre des moyens qui vous sont alloués mais, honnêtement, les personnels hospitaliers en ont assez des coups de chapeau maintenant. Ils veulent des remises à niveau, vous avez enlevé plus de 900 millions d'euros à l'hôpital public en 2018  », attaque-t-elle, accusant le gouvernement d'être responsable des difficultés des hôpitaux à affronter la crise actuelle. Une attaque qui, là aussi, a tourné en sa défaveur, les téléspectateurs s'insurgeant contre ce qu'ils ont perçu comme une « basse attaque politicienne » et saluant la réponse du ministre de la Santé : « J'ai été aide-soignant en Ehpad, je n'ai pas de leçons à recevoir, je connais la difficulté que traverse l'hôpital, je la connais plus que vous. Mon message ce soir, c'est de la santé publique. Je ne suis pas venu faire de la politique. »
Le président, le virus et les urnes

« Elle a toujours fonctionné par coups, à l'intuition »

Dans la majorité, on soupire : « Elle est prête à tout pour faire le buzz », constate un député qui la connaît bien, par ailleurs ancien socialiste. « Elle n'existe plus. Elle n'a plus de mandat, plus de travail, elle est sous le coup d'une enquête du Parquet national financier (pour ses activités en tant qu'ambassadrice des pôles, NDLR)… Mais elle reste prête à tout pour remonter sur scène, et pour faire parler d'elle. Elle rêvera jusqu'à sa mort d'être présidente de la République. Les sorties complotistes ou populistes, c'est sa méthode depuis 20 ans, et ça ne fait que s'aggraver. »
Après avoir couvert de louanges Emmanuel Macron, qui l'a nommée ambassadrice, Ségolène Royal a radicalement changé de ton, éreintant le gouvernement de critiques depuis plusieurs mois, notamment sur sa politique sociale et sa gestion de la crise des Gilets jaunes. Dans la perspective de la présidentielle de 2022, elle a ravivé en janvier une structure destinée à soutenir une éventuelle candidature, Désirs de France, Avenir de la Planète, une coquille vide pour l'instant qu'elle espère voir se remplir si elle redevenait populaire. « Mais aujourd'hui, elle ne l'est pas du tout », tranche le politologue Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos. « Elle n'arrive qu'à la 21e place dans notre baromètre de février, avec 22 % seulement d'opinions favorables, et 69 % d'opinions défavorables. Même les électeurs de La France insoumise ont une mauvaise opinion d'elle à 61 %, et les sympathisants sociales à 46 %, preuve que sa stratégie ne prend pas », juge-t-il. « Cette idée que Ségolène Royal resterait populaire est très largement fausse. » Qu'est-ce qui l'accrédite ? Le buzz médiatique, peut-être.
Le fait que, sans mandat, sans parti ni fonctions, Ségolène Royal reste régulièrement invitée des plateaux de télévision. L'un de ses anciens soutiens confie : « Elle a toujours fonctionné par coups, à l'intuition. Quand la société penchait à droite, Ségolène droitisait son discours avec des propositions-chocs, comme de demander que l'armée s'occupe des jeunes délinquants. Là elle penche plus à gauche, alors elle tape sur le grand capital, les retraites chapeau, l'ISF supprimée par Macron. Quand les écolos grimpent, elle fait une sortie sur les pesticides qui donneraient le cancer. Et quand on la critique, elle dégaine les accusations d'antiféminisme ou de complot. » Mais ses intuitions « restent justes », estime ce vieux routier de la vie politique. De fait : après avoir supprimé les messages polémiques de ces derniers jours, Ségolène Royal n'en martèle plus qu'un seul : « Urgence pour les masques. Où sont-ils ? Où sont passés les masques réquisitionnés ? » Oubliant au passage que c'est en 2013, sous la présidence de François Hollande, qu'a été prise la décision de ne pas renouveler les stocks de masques FFP2, les seuls aujourd'hui efficaces…
Le pays se resserre plutôt derrière l'exécutif. Elle ne gagne aucun point, au contraire, en l'attaquant frontalement.
Le politologue Bernard Sananès s'interroge : « Qui vise-t-elle exactement ? À quel électorat s'adresse-t-elle ? Ce n'est pas clair. Je pense qu'elle prend date pour la suite » en appuyant sur une plaie douloureuse à l'heure actuelle : il y a effectivement un problème de masque, le gouvernement actuel n'étant pas revenu sur la doctrine, validée en 2013, de réserver le port de masques FFP2 aux seuls personnels à risque. « Je pense que cette stratégie est contre-productive, estime Brice Teinturier. Nos sondages montrent que les Français jugent globalement que le gouvernement prend les bonnes décisions pour répondre à la crise. Le pays est inquiet, il demande des mesures de protection, et se resserre plutôt derrière l'exécutif. Elle ne gagne aucun point, au contraire, en l'attaquant frontalement. »
Mais elle gagne en notoriété, ce qui est – il faut le souligner – un petit exploit en période de confinement, à l'heure où plus personne ne se rend sur les plateaux télé.
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Car encore là, à polémiquer pendant cette crise sanitaire mondiale pour se faire remarquer, çà ne la gêne pas, elle n’a aucun amour propre !

On peut la considérer comme une professionnelle de la politique, mais malgré les rejets des français de cette ancienne classe politique sclérosée, elle veut revenir en lice faisant tout pour se faire remarquer, car même si on lui ferme la porte, elle rentrera par la fenêtre !

Quand on pense que cette dame donneuse de leçon s’est présentée à la présidence de la république, çà fait frémir avec le recul, et qu’elle a été ministre, présidente de région qu’elle a ruinée par sa mauvaise gestion, sans compter les mauvaises décisions qu'elle a prise qui ont coûté des fortunes en tant que ministre et que l’on lui a offert des postes bidons comme le dernier d’ex ambassadeur des pôles qui n’existait pas avant, pour lui faire croire qu’elle était utile etc...

Les français qui l’ont élu depuis des décennies ou mise sur les rails de la politique, montre qu’ils votent toujours aussi mal pour certains !?

Mais ce qui est inconcevable, car avec sa langue bien pendue, elle continue ses inepties et péroraisons, alors il n’y a personne dans le gouvernement ou nos dirigeants ne lui ont dit en face qu’elle était une empêcheuse de tourner en rond et qu’il fallait (enfin) qu’elle prenne sa retraite, et se taise, car elle a l’âge !?

Quelle s’occupe de ses enfants ou qu’ils s’occupent d’elle (s’ils arrivent à la supporter !?)

Jdeclef 21/03/2020 10h37LP

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