mardi 4 janvier 2022

Avec nos dirigeants ministres de la santé et scientifiques qui siègent à ces fumeux conseils de défense présidé par notre monarque sans couronne ! (Hélas ils croient tout savoir gonflés par leurs égos?!)

 

Covid : au Royaume-Uni, quatrième dose et laisser-faire !?

CHRONIQUE. Notre correspondant a reçu une nouvelle dose contre le Covid, dans un pays qui compte sur la vaccination pour éviter de nouvelles restrictions.

C’est par un SMS que le cabinet médical m’a invité à recevoir une quatrième dose. La proposition m’a pris au dépourvu, puisque j'avais reçu mon dernier rappel début septembre, mais le rendez-vous a été pris ce lundi 3 janvier dans la matinée à l’hôpital Saint-Charles, qui jouxte Portobello Road, à Notting Hill (ouest de Londres).

C’est un jour férié, le premier bank holiday de l’année, et l’affluence est, de loin, supérieure à la normale. Personnes âgées (à 70 ans, groupe auquel j’appartiens) pour une quatrième dose, jeunes travailleurs pour la troisième, adolescents et enfants pour les deux premières. À l’instar de mes trois vaccinations précédentes, j’ai droit au Pfizer, comme pour la plupart des vaccinations anti-Covid de rappel.

Kate Bingham : l’impératrice de la vaccination britannique

Vaccination et laxisme

D’un côté, une véritable course a été lancée pour vacciner le plus grand nombre de personnes afin de prendre de vitesse le variant Omicron et d'empêcher la saturation des hôpitaux. De l’autre, le gouvernement refuse d’étendre les restrictions afin de ne pas perturber davantage une vie économique déjà fortement pénalisée par le manque de main-d’œuvre. Telle est la gageure qu’entend réaliser le Premier ministre Boris Johnson pour sortir son pays de l’ornière.

A priori, le chef du gouvernement conservateur semble bien placé pour réussir son pari. En Angleterre et au pays de Galles, le nombre des cas s’élevait dimanche à 123 583 (contre 219 126 en France), soit une chute de 25 % par rapport au 1er janvier. Un succès à relativiser toutefois, vu les retards dans la compilation des statistiques, dus au long congé du Nouvel An. Le plan « B » (encouragement du travail à domicile, port du masque obligatoire dans les stades ou dans les écoles…) restera en vigueur jusqu’à nouvel ordre, a d’ailleurs confirmé Boris Johnson.

Pourquoi BoJo cauchemarde

Reste que le voyageur débarqué de l’Eurostar doit éprouver une sorte de vertige. Si le masque est obligatoire dans les transports en commun, nombreux sont les passagers qui refusent de le porter. Les restaurants, cafés et pubs n’exigent pas de pass sanitaire. Et rares sont les clients qui portent le masque pour se rendre aux toilettes ou quitter l’établissement. Dans les grands magasins et les musées, le port du masque est de rigueur, mais, après l’entrée, les contrôles sont peu nombreux.

Des non-masqués en nombre

Un test de dépistage négatif était, par exemple, exigé pour assister à la représentation du cirque La Clique sous une tente plantée sur Leicester Square. Toutefois, personne ne m’a contrôlé. Dans la salle sous chapiteau, très exiguë, une bonne moitié des spectateurs ne portaient pas de masque. À Londres, au St Mary's Hospital, une connaissance, qui avait été admise en étant négative pour une infection liée à son diabète, est morte du Covid-19. Les non-masqués déambulaient sans le moindre contrôle dans les chambres communes.

En outre, les tests de dépistage distribués gratuitement par le service national de santé sont quasi introuvables. La demande explose en raison de l’augmentation importante du nombre de cas contacts les deux dernières semaines de décembre. Quant à l’offre, essentiellement importée de Chine, elle souffre des goulets d’étranglement des ports britanniques et des problèmes de distribution.

Comment le Brexit est en train de rattraper Boris Johnson

Verso de la politique de laisser-faire, les hôpitaux sont à la peine en raison de la hausse des contaminations du personnel soignant. Les opérations non urgentes sont souvent annulées et obtenir un rendez-vous chez un généraliste est un vrai parcours du combattant.

Malgré les aléas, il est hors de question pour le gouvernement de resserrer la vis en suivant l’exemple des exécutifs écossais, gallois ou nord-irlandais. La marge de manœuvre de Boris Johnson est limitée par le refus de son aile droite, au sein du gouvernement, comme du groupe parlementaire, d’accepter de nouvelles restrictions. Résumant le sentiment général des élus torys, le député Bob Johnson a estimé qu’il fallait vivre avec le virus, « comme c’est le cas avec le rhume ou la grippe. On ne peut pas constamment changer notre existence à cause d’une poignée de non-vaccinés ».

Un an après, les conséquences du Brexit sur le secteur automobile

Par ailleurs, sensible à la vulgate libertaire, le Premier ministre estime que les Britanniques sont parfaitement capables de se protéger individuellement en prenant les mesures sanitaires adéquates.

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Sans oublier notre 1er ministre et ses conférences de presse périodiques de bavardages soulants dénués de résultats probant !

Et comme tout ce beau monde est complètement dépassé ce qui n’a pas vraiment changé depuis le début et parce que l’on imite souvent, ce que font les autres notre voisin anglais dont on moque leur 1er ministre, voire aussi les USA ave leur président Joe BIDEN !

Avec une petite dose d’Israël pays test si l’on veut !?

On n’est plus à cela près imiter la grande Bretagne avec une population similaire avec une fameuse 4 eme dose (ou rappel miracle ?)

Et laisser aller c’est une valse de virus en tout genre !

Ce qui prouve s’il le fallait la faiblesse générale de notre gouvernance de bien-pensant donneurs de leçons qui courent « après leur queue comme des chiens perdus » et ce n’est pas la première fois depuis mars 2019 !

Avec en plus nos députés de tous bord qui se crêpent le chignon à l’assemblée à cause de ce fameux pass vaccinal (aussi miraculeux…)

Désespérant ces politiciens élus de tous bords sans amour propre qui se fichent totalement de la santé des Français par leur manque d’amour propre se battant pour un pouvoir suprême qu’on leur donne mais qu’ils utilisent si mal !

Les Français en fait sont trop gâtés et peut être pas assez malades, car ils votent toujours aussi mal et ont perdu leur bon sens !?

Jdeclef 04/01/2022 13h56


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