mercredi 5 janvier 2022

Pourquoi ATTAL se croit obligé de défendre son seigneur et maitre ce gentil minet servile inféodé ? Si ce président se croit obligé d'insulter des français sans vergogne ou va-t-on !?

 

« Qui emmerde la vie de qui ? » : la réponse sèche de Gabriel Attal à la polémique

Le porte-parole du gouvernement a pris la défense du chef de l’État, englué dans la polémique après des propos jugés insultants à l’égard des non-vaccinés.

Emmanuel Macron est plus que jamais englué dans la polémique après ses propos jugés insultants à l’égard des non-vaccinés. « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout. C’est ça, la stratégie », a clamé le chef de l’État dans un entretien au Parisien, mardi 4 janvier. Une petite phrase qui a ulcéré les oppositions, en plein examen tendu du projet de loi transformant le pass sanitaire en pass vaccinal. Le locataire de l’Élysée a toutefois pu compter sur le soutien de ses cadres, à l’instar de Gabriel Attal.

Très irrité, le porte-parole du gouvernement a remis les pendules à l’heure. « Qui emmerde la vie de qui aujourd’hui ? Qui gâche la vie de nos soignants ? Qui gâche la vie des personnes âgées ? Ce sont ceux qui s’opposent au vaccin, et les propos du président me semblent très en deçà de la colère d’une grande majorité des Français », a-t-il fulminé lors d’une conférence de presse tenue ce mercredi en marge du conseil des ministres. Selon Gabriel Attal, il y a « beaucoup » de Français « qui vous disent que les personnes qui font le choix de ne pas se faire vacciner, on ne devrait même pas les soigner ». « Nous avons toujours fait le choix avec nos soignants de soigner tous les Français qui étaient frappés par la maladie et nous continuerons à faire ce choix », a-t-il précisé. Face à la crise sanitaire, « on agit, on explique et on assume », a ajouté le porte-parole en citant des propos d'Emmanuel Macron pendant le conseil des ministres.

« Propos indigne et irresponsable »

La tempête politique déclenchée par Emmanuel Macron a eu pour conséquence la suspension, dans la nuit de mardi à mercredi, des débats à l’Assemblée sur le projet de loi instituant le pass vaccinal. Les discussions avaient déjà été suspendues une première fois dans la nuit de lundi à mardi après un vote à main levée salué par les oppositions. L’interview du chef de l’État a remis le feu aux poudres et, après de multiples suspensions de séance et une demande, vaine, des oppositions de voir le Premier ministre Jean Castex venir dans l’hémicycle, les débats ont de nouveau été suspendus.

Les candidats à la présidentielle et les oppositions ont rapidement fustigé les « propos insultants » du chef de l’État, qui devrait « rassembler » plutôt que « cliver ». « Réunir la France », avait laconiquement tweeté la candidate PS à la présidentielle Anne Hidalgo ; « propos indigne et irresponsable », selon le candidat PCF Fabien Roussel ; « faute politique » pour le candidat EELV Yannick Jadot ; et, pour le candidat LFI Jean-Luc Mélenchon, c’est un « aveu sidérant de Macron » : « Le pass vaccinal est une punition collective contre la liberté individuelle. »

Macron, le bruit et la fausse « rechute »

À droite, la candidate Valérie Pécresse a appelé à « mettre fin au quinquennat du mépris ». À trois mois de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron est tombé « dans le camp des populistes avec Marine Le Pen et Éric Zemmour », a accusé, mercredi matin sur Sud Radio, le patron des députés LR, Damien Abad. « Je ne peux pas cautionner un texte qui a pour seul objectif d’emmerder les Français », a abondé le président du parti, Christian Jacob.

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Cela voudrait dire que le président de la France ne pourrait-il pas se défendre tout seul c’est bien lui qui pourtant lui qui a insulté une partie des Français encore libres qui ne veulent pas se faire vacciner !?

Sa pensée semblait claire, même si la forme pouvait logiquement porter à contestations et polémiques, mais a mis en exergue son caractère de faux bourgeois hypocrite bon chic bon genre qui a perdu son calme et a fait craquer le vernis dont il était recouvert !

Et il est vrai à fait ressortir une indignité regrettable de la part d’un président de la République de cette France quelque fois arrogante s’y donneuse de leçons car gouvernée par des bien-pensants souvent enclins à pratiquer le politiquement correct hypocrite même envers le peuple français que ce président utilise depuis le début de son quinquennat qu’il a dédaigné, comme « ses gens de peu » une de ses expressions par exemple qu’il a employé ce croyant plus érudit ou intelligent !

Aussi je me permets de lui dire que ce petit Monsieur bourgeois devrait comprendre qu’il y a bien plus de Français de toutes classes plus érudit ou intelligent que lui et il en a même qui sont honorés dans notre Panthéon qui ont marqué notre histoire !

Pour en revenir à cette déplorable histoire de vaccination ou gestion de cette crise sanitaire mondiale de cette Covid qui a été mal gérée, c’est lui qui décidait entouré de conseillers qu’il a choisi, et en terme de décisions, il n’a pas été à la hauteur, mais le plus grave, c’est d’avoir confondu la santé des français prioritaires avec de la basse politique politicienne surtout que nos services de santé bien que l’on est dit le contraire sont en déliquescence depuis de nombreuses années avec des alertes faites à tous gouvernements de tous bords dont on n’a pas tenu compte !

Alors qu’il se taise ce monsieur mal élevé comme d’autres !

Jdeclef 05/01/2022 16h54


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