C'est un tout cette pandémie « a mis cul par-dessus tête » le gouvernement : Cela ne peut arranger l'incompétence de ce gouvernement macronien qui cherche des excuses en ne pensant qu'à sa politique stérile

 

Coignard – Blanquer : quand le ministre fort devient maillon faible

CHRONIQUE. Hier membre vedette du gouvernement, le ministre de l’Éducation nationale est fragilisé par sa gestion contestée de l’école face au Covid.

Il est troisième dans l’ordre protocolaire du gouvernement, derrière Jean-Yves Le Drian (Affaires étrangères) et Barbara Pompili (Transition écologique), mais devant Bruno Le Maire. Il incarne depuis plus d’un an l’exception française, celle qui maintient les écoles ouvertes quand tant d’autres pays ont condamné les élèves à rester chez eux de longs mois. Il a remplacé Jean Castex quand celui-ci était à l’isolement pour cause de Covid. C’est ainsi qu’il s’est rendu à la place du Premier ministre dans la clairière de l’Armistice, entre Compiègne et Rethondes, jeudi 11 novembre. Il a également été sa doublure, cette semaine-là, à l’Assemblée nationale lors des questions au gouvernement, répondant aux parlementaires sur des thématiques qui débordaient largement le cadre de la seule éducation nationale.

Bref, Jean-Michel Blanquer était devenu un ministre en vue, un personnage qui compte dans la galaxie macroniste. Et patatras ! En deux temps, trois mouvements exécutés avec maladresse, le voici transformé en boulet du gouvernement.

En cause ? Les protocoles sanitaires ubuesques et changeants qui régissent la fréquentation des établissements scolaires. Certes, maintenir les écoles, collèges et lycées ouverts, en période de flambée épidémique, s’apparente à une gageure. Raison de plus pour ne pas effectuer de sortie de route, quand on a la charge de cette mission difficile.

Rôle des écoles dans l’épidémie de Covid-19 : ce que l’on sait

Double désaveu au sommet

Alors que le mouvement de grève des enseignants prévu ce jeudi s’annonce plus suivi que prévu par des enseignants excédés, Jean-Michel Blanquer n’a pas seulement été chahuté hier par les députés de toutes les oppositions lors des questions au gouvernement. En moins d’une semaine, il a été doublement désavoué par le président de la République et par le Premier ministre. Mercredi dernier, dans son interview au Parisien, Emmanuel Macron concède que son ministre de l’Éducation nationale n’aurait pas dû annoncer les nouvelles modalités sanitaires à l’école par voie de presse, lundi 3 janvier au matin, jour de la rentrée scolaire. Et ce lundi, une semaine plus tard, ce n’est pas lui mais Jean Castex qui vient annoncer, au 20 heures de TF1, les simplifications apportées au protocole en vigueur depuis une semaine, protocole jugé ingérable tant par les professeurs que par les parents d’élèves.

Ce double camouflet est à la mesure de l’enjeu politique. Pas question pour le président de voir un atout, celui des écoles demeurées ouvertes « quoi qu’il en coûte », se transformer en handicap. Les enseignants ne se contentent pas de faire grève. Ils votent aussi. Et ils sont très nombreux. Les parents d’élèves le sont encore plus…

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Et tous ces ministres nos dirigeants 1er ministre et bien sûr le président monarque donneur de leçon qui est aussi dépassé et attend en faisant des paris que cette crise sanitaire cesse par une hypothétique d'immunité collective !

Avec en plus nos sommités de scientifiques dit émérites qui pataugent depuis le début de cette pandémie mondiale mal gérée globalement ainsi que la vaccination désordonnée qui défilent dans les médias télévisuels disant tout et son contraire tant ils sont perdus dans leurs hypothèses !

Alors Mr BLANQUER n’est pas meilleur ministre de l’Enseignement que ceux passés dont on a changé maintes fois depuis des années sous tous gouvernement de tous bords quelque fois même plusieurs dans un quinquennat ou mandature de cette Vème république !

Car ce ministère est extrêmement politisé, quel que soit le pouvoir en place et aussi les enseignants fonctionnaires champions de la grève pour tout et n’importe quoi ainsi que les associations de parents d’élèves qui ne sont pas les dernières à jeter de l’huile sur le feu !

Ce qui se ressent sur le niveau d’enseignement diffusé à nos jeunes qui a baissé en France ou on voit par exemple des enfants de 6 ans à leur entrée au collège ne pas savoir correctement écrire, lire et compter et en fin d’étude secondaire en 3eme désarmé pour entrer dans la vie professionnelle et une vie normale !

Donc, ne cherchons pas d’excuse à ces gouvernements à cause de cette pandémie c’est trop facile, ou seule la politique politicienne compte surtout dans cette campagne électorale pour l’élection présidentielle médiocre !

Jdeclef 12/01/2022 09h16