Hollande de
retour à l’Assemblée, c’est loin d'être fait
La rumeur d’une candidature de François Hollande aux
législatives enfle. L’ex-chef de l’État n’en est pas là, même si quelques
signes sont troublants.
La rumeur d’une candidature de François Hollande aux
législatives enfle. L’ex-chef de l’État n’en est pas là, même si quelques
signes sont troublants.
La
rumeur circulait depuis quelques jours dans les rangs socialistes : François
Hollande viserait un siège de député lors des législatives du printemps.
L'information est publiée dans Le Canard enchaîné, ce mercredi.
Dès mardi soir, pourtant, son entourage dément. « Ça fait partie des
spéculations, des rumeurs et des fantasmes des uns et des autres, mais pas de
la réflexion de François Hollande, qui n'est pas du tout dans cette
démarche », assure un proche, cité par plusieurs journaux. « C'est le
sujet à la mode ! » ironise de son côté un des intimes de
l'ex-chef d'État au Point, mardi en fin d'après-midi.
L'information n'est pourtant pas sans fondement. La fédération PS
de Corrèze a demandé à la direction nationale le droit de reporter son vote
dans la première circonscription, qui comprend notamment les cantons
d'Ussel et de Tulle, où François Hollande fut élu. Cette procédure dérogatoire,
acceptée par le PS, signifie que le candidat socialiste aux législatives ne
sera pas désigné par les militants corréziens en même temps que dans les autres
circonscriptions de France, mais plus tard.
Plusieurs
hypothèses
Au PS, on ne s'agite pas. « J'ai beaucoup de demandes de
report de vote », confie un dirigeant. Mais personne n'écarte complètement
une candidature de François Hollande. Toujours apprécié en Corrèze, où il a
acheté il y a peu une maison, l'ex-maire de Tulle et ancien président du
département peut très bien demander aux socialistes du cru de réserver leur
vote, s'il se décidait à revenir au Palais-Bourbon. « Il a le pouvoir de
demander à sa fédération de ne pas désigner de candidat immédiatement, pour
voir comment les choses vont évoluer », confie un proche d'Olivier Faure.
Selon une autre hypothèse, avancée par un proche de l'ex-chef de l'État,
le PS corrézien voudrait juste réserver la possibilité à l'ancien député,
Bernard Combes, battu dans cette circonscription en 2017, de briguer à nouveau
ce siège. Il a depuis quitté le PS, ce qui justifierait le temps
supplémentaire demandé pour préparer son retour dans la famille socialiste.
La volonté de François Hollande est encore imprécise, mais ses
chances de l'emporter, s'il se décidait, sont réelles. « Il gagnerait le
siège au premier tour ! » dit une parlementaire intime. Le match
serait en tout cas beaucoup plus aisé à emporter que la présidentielle, qu'il a
évoquée dimanche. « Pour l'instant, je ne suis pas candidat (à
l'Élysée) », a dit François Hollande à quelques lycéens. Une phrase que
les proches de François Hollande minimisent. « Dans sa psyché, dit l'un
d'eux, il y a le risque, et le risque calculé. La présidentielle, c'est un gros
risque, la législative, ça peut être un risque calculé. »
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Car il n’a
aucun amour propre ou honneur après avoir été le seul président qui s’est défilé
comme un pleutre avant la fin de son quinquennat pour éviter une défaite
annoncée tant sa mandature était médiocre et décevante !
Il faut
enfin que ces politiciens de tous bords qui veulent se présenter et surtout
trop nombreux cessent de se moquer des Français si stupides, au point que tous
se croient les meilleurs par égos démesurés gonflés d’orgueil et de baudruches
pleines d’air viciées par leur mensonges et promesses ou réformes fumeuses qu’ils
ne tiendront pas bien sûr, car ne désirant que ce pouvoir pseudo monarchique d’une
Vème république obsolète et usée !
Et cette
campagne électorale déplorable le montre par la profusion de candidats aussi
nuls les uns que les autres inutiles divisés car déjà subit et connus des Français
dans de précédentes fonctions dirigeantes dans nos gouvernements passés !
Si les Français
lambda ne se réveillent pas et ne font pas preuve de plus de sérieux et de demandes
précises sur ce qu’ils veulent avec détermination sans se disperser et ne
pensant pas qu’au chacun pour soi, ils n’auront rien de nouveau et surtout pas
le changement qu’ils veulent soi-disant depuis 40 ans !?
Et donc le
président sortant sera réélu, car les divisions des partis politiques ringards
et de ces politiciens divers des Français lui serve et donc il faudra attendre
2027 pour vraiment changer de président (mais les Français conservateurs trop gâtés
le veulent-ils pas si sûr ?!)
Et leur
faire comprendre cela semble peine perdue !?
Jdeclef 26/01/2022
14h55
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