samedi 29 janvier 2022

De toute façon nos dirigeants, scientifiques, ministre de la Santé n'ont rien à proposer de nouveau :

 

« Je tiendrai, je tiendrai, je tiendrai… » : avec les anti-pass vaccinal

Par peur du vaccin anti-Covid ou au nom de la défense des libertés publiques, plus de 4 millions de Français vivent sans pass vaccinal. Témoignages.

Je n'ai jamais été une rebelle… Mais pour la première fois de ma vie, je pense que désobéir est la meilleure chose à faire », confie Chloé. Posément, la trentenaire, juriste de formation et fille de chirurgien-dentiste, raconte son existence paisible de jeune femme « dans les clous ». Jusqu'à ce qu'elle s'oppose à la stratégie sanitaire du gouvernement contre l'épidémie. Comme 4,5 millions de Français non vaccinés, Chloé n'a pas de pass vaccinal, entré en vigueur le 24 janvier. Ce dispositif, qui a succédé au pass sanitaire, est requis pour accéder aux activités de loisirs, restaurants, bars, foires, centres commerciaux et transports publics interrégionaux.

« Il faut faire la distinction entre antivax et antipass », insiste la trentenaire, qui dit « souffrir » d'être « réduite à une antivax » et « considérée comme une bête noire et une hors-la-loi, par l'exécutif et une partie de la société ». Particulièrement depuis les propos du président de la République, Emmanuel Macron, qui a assumé « avoir très envie d'emmerder les non-vaccinés ». « Je crois en la médecine, j'ai fait faire à mon enfant tous les vaccins qui s'imposaient. Mais je refuse d'avoir à brandir un QR Code pour prendre un café. Que personne ne s'en émeuve me paraît cauchemardesque. La liberté, pour moi, ce n'est pas sous condition ! » justifie ainsi Chloé, dont les positions ont « mis sur pause » une amitié de vingt ans et créent des dissensions familiales.

Covid-19 : qui sont les Français non vaccinés ?

« Je serais plus malheureuse d'aller au cinéma en présentant un pass, que je ne le suis de ne pas y aller, tout court », poursuit la jeune femme. Déjà privée de vacances avec son fils en raison de ses positions, elle l'assure : « Je ne céderai pas, non plus, au faux pass [300 000 circuleraient en France, NDLR] », une « solution de facilité », qui, estime-t-elle, viendrait « corroborer les décisions de l'exécutif ». « J'ai toujours espoir que l'on revienne à la normale, et qu'il faut pour cela montrer au gouvernement qu'il y a contradiction… »

Une « hystérie collective »

Alexandre, lui, insiste sur « les dérives auxquelles tout cela peut aboutir ». Ce chef d'entreprise de 36 ans, installé dans les Bouches-du-Rhône, explique penser à l'avenir : « Si demain, une maladie plus contagieuse encore apparaît, à quoi ressemblera notre quotidien ? Le principe du pass est périlleux… Je veux pouvoir regarder mon fils dans les yeux et lui dire que je n'avais pas accepté ça. »

« Je ne suis pas à risque et le vaccin n'empêche pas la contamination, alors quel intérêt aurais-je à le faire ? » interroge-t-il, avec agacement. « L'irresponsabilité que l'on me fait porter est parfaitement arbitraire, estime-t-il. On me considère comme irresponsable car je refuse de me faire vacciner, mais je peux aussi considérer mon voisin comme irresponsable car il le fait [se faire vacciner] sans certitude… »

Risque de nouveaux variants : les scientifiques sur le qui-vive

Manifestement résolu – « je cède rarement à la pression » –, le trentenaire, qui voit dans cette mesure le produit d'une « hystérie collective », le concède : « J'ai l'impression que le monde marche à l'envers, et ce n'est pas tous les jours simple, je me sens parfois profondément seul… »

« Je suis regardée comme une pestiférée »

Marie*, 46 ans, confie des « baisses de moral épouvantables ». Cette avocate parisienne hyperactive est l'unique membre de sa famille opposé au vaccin. Elle raconte : « Mon mari est vacciné, mes enfants veulent l'être. Non pas parce qu'ils ont peur de la maladie, mais parce qu'ils veulent vivre une vie normale, j'estime que ce n'est pas une raison valable. Bien sûr, cela a donné lieu à un bon nombre de disputes… »

« Aujourd'hui le sujet est tabou, si j'ai le malheur d'en parler, on me hurle dessus ! » poursuit la quadragénaire, qui ne cache pas plus ses positions hors de la sphère familiale : « Je suis regardée comme une pestiférée, je ne suis plus invitée aux dîners, aux fêtes… » Et trouve dans les manifestations anti-pass auxquelles elle se rend régulièrement un « grand réconfort » : « Elles m'aident à me sentir moins seule. »

« On est pas mal d'antivax à se réunir pour s'entraider »

Sophie a du mal à le reconnaître, mais « c'est lourd à porter… » Contrôleuse conformité dans la finance, à Paris, la quadragénaire se rappelle le jour où, lors d'une réunion, face au « tollé général », elle « prend la défense » d'une collègue non vaccinée : « Depuis, on nous appelle les rebelles du service et on nous glisse sur un ton faussement drôle que l'on n'est pas sûr de vouloir déjeuner avec nous… C'est usant. »

« Parfois, je m'interroge : est-ce que ma vie va longtemps se résumer à aller au travail et faire faire les devoirs à mes enfants ? Je paye tout de même mes impôts… » poursuit dans un rire nerveux la mère de famille, qui, forcée de renoncer aux compétitions sportives de ses fils, passe désormais seule la majeure partie de ses week-ends.

« On s'encourage entre mis au ban ! »

Attablé à la terrasse d'un bar parisien dont le patron s'abstient de « demander le pass » à ses « habitués », Cyril, 37 ans et assistant administratif dans un garage de banlieue parisienne, pianote sur son téléphone. C'est dans la boucle WhatsApp qu'il a rejoint il y a peu et qui compte plusieurs dizaines de connaissances anti-pass qu'il trouve le « soutien dont [il a] besoin ». « On s'y échange des articles et s'encourage entre mis au ban ! » raconte-t-il dans un sourire.

Laurent Marcangeli : « L'immunité vaccinale est notre seul salut »

Ce fils de pharmacien qui a toujours fait ses vaccins et refuse d'être qualifié d'« antivax » – « on ne devrait l'imposer qu'aux personnes vulnérables » – se définit comme « résolument anti-pass » : « La nouvelle société hygiéniste qu'on nous propose, où la santé prévaut sur tout le reste, me fait peur… Je m'inquiète pour ma liberté et celle de mes enfants. »

Et l'assure : « Je ne changerai pas de position sur le sujet. Si je dois me priver de cinéma ou de sortir du territoire pendant des années, je le ferai. » Puis de parler bas, comme on formule un mantra : « Je tiendrai, je tiendrai, je tiendrai… » Le pass vaccinal devrait rester – sous réserve de l'évolution de la situation sanitaire – en application jusqu'au 31 juillet 2022.

Dans notre pays chantre de la liberté à tout va, mais pas sans défaut car non encadrée!?

Et çà depuis le début de cette pandémie car dépassé par l’ampleur de cette crise sanitaire et à la traine des autres pays occidentaux car n’ayant pas produit rapidement des vaccins dans le pays de Pasteur ce qui est un comble décevant !

Avec en plus des politiciens au pouvoir faisant de la mauvaise politique et qui maintenant avec cette campagne présidentielle lamentable et un candidat non déclaré hypocritement qui ne lèvera pas le petit doigt attendant un miracle que la pandémie s’évapore mais qui perdure et en augmentation au niveau des contaminations !?

Avec enfin la venue de ces vaccins multiples (mais pas français) à efficacité variables mais pas définitives et cette vaccination désordonnée dans la population française indisciplinée frondeuse avec la création fumeuse macronienne de ses passes sanitaires devenus vaccinal avec amendes à la clef comme pour ceux qui n’en veulent pas ou en font des faux par dizaines de milliers ou qui dépassent les limites de vitesse dans les routes équipées de radars !

La fronde et indisciplines diverses est une spécialité ancienne héritée de l’ancien régime sous LOUIS XIII maitrisée par certain Cardinal Richelieu, donc c’est dans nos gènes de français et nos dirigeants actuels pleutres qui auront toujours une Frange de ces citoyens lambdas en dehors des clous stupides, même s’il s’agit de leur santé !

N’espérons pas que les Français votent mieux que d’habitude car ils sont ignares et incurables c’est une chose acquise depuis 40 ans tant pis pour la France et surtout les Français !

2022 ne sera pas meilleure que 2017 surtout si on n’en change pas au niveau de nos dirigeants jusqu’en 2027 et çà c’est une certitude !

Jdeclef 29/01/2022 13h01


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