jeudi 27 janvier 2022

Ce n'est pas ce genre de primaire non démocratique que veulent beaucoup de français dit de gauche !? Cette gauche touche le fond et tous ses partis ringards de tous bords à cause de leurs leaders médiocres !

 

La primaire populaire, beaucoup de bruit pour rien ?

Près de 500 000 citoyens vont désigner leur meilleur candidat à gauche pour la présidentielle. Mais aucun des principaux concernés n’y prête attention.

Même Christiane Taubira n'a pas fait le déplacement. C'est peu dire que l'unique débat entre les candidats de la primaire populaire, organisé lundi 24 janvier sur France Info, n'a pas eu un retentissement à la hauteur au nombre d'inscrits au vote – trois fois plus que pour le choix du candidat des Républicains ou celui des écologistes.

Si l'on n'attendait pas Yannick Jadot, Jean-Luc Mélenchon ou Anne Hidalgo – les trois têtes d'affiche ayant tourné le dos à l'initiative –, l'absence de l'ex-garde des Sceaux, qui s'est engagée à prendre part au processus, a été remarquée. Résultat, en plateau, seuls les trois candidats les moins connus ont débattu avec le porte-parole de Christiane Taubira, Daniel Goldberg.

Un débat morose à l'image de cette primaire populaire, initiative inédite portée par des citoyens rêvant de réunir la gauche et fossoyée au fil des mois par les multiples candidats d'une famille politique morcelée. À partir de ce jeudi 27 janvier, et jusqu'à dimanche, les 467 000 inscrits à la primaire populaire vont toutefois devoir départager les sept noms qui leur sont soumis – Anna Agueb-Porterie, Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Pierre Larrouturou, Charlotte Marchandise, Jean-Luc Mélenchon et Christiane Taubira – en attribuant une mention à chacun d'entre eux, de « très bien » à « insuffisant ». Malgré le succès de participation, l'aventure risque bien de n'être qu'un coup d'épée dans l'eau.

Coignard – Primaire populaire : ce pseudo-scrutin qui achève la gauche

Les organisateurs y ont pourtant cru quand la candidate socialiste a rouvert la porte – qu'elle avait pourtant claquée quelques mois plus tôt – de la primaire. Le 8 décembre, sur le plateau du 20 heures de TF1, Anne Hidalgo fait le constat d'une « gauche fracturée » qui « désespère beaucoup de nos concitoyens ». « Ma responsabilité, je la prends ce soir : organisons une primaire de la gauche ! » Le lendemain matin, elle rencontre les équipes de la Primaire populaire pour leur confirmer qu'elle veut travailler avec eux.

Un nouveau souffle pour cette initiative citoyenne lancée par les militants Mathilde Imer et Samuel Grzybowski, qui ne parvenait pas à s'imposer dans une gauche morcelée par sept candidatures irréconciliables. Mais les concurrents de la maire de Paris raillent une « manœuvre politicienne » pour sauver une campagne catastrophique – à peine 3 % des intentions de vote – et se précipitent pour prendre leurs distances avec ce processus. « Une machine à perdre », tacle l'entourage de Jean-Luc Mélenchon ; une sélection « pas sérieuse, à moins de quatre mois de la présidentielle », pour les proches de Yannick Jadot.

La gauche… caviardée

Les militants de la Primaire populaire tentent de mettre la pression sur les deux réfractaires, en organisant des sit-in devant leurs QG de campagne. En vain. « Quand c'est non, c'est non ! » martèle le candidat écologiste, qui s'agace dès qu'on évoque cette « primaire dépressive ». « Mon sujet, ce n'est pas de sauver le Parti socialiste, mais de sauver le climat. »

Pire, au lieu de convaincre ses adversaires de rejoindre l'union, la socialiste fait émerger une huitième candidature à gauche. L'ombre de Christiane Taubira planait depuis quelques semaines déjà sur la campagne quand, le 17 décembre, elle sort du bois. « J'envisage d'être candidate », lâche-t-elle dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, promettant de ne pas être « une candidate de plus ». Un mois plus tard, elle officialise depuis Lyon son lancement dans la course à la présidentielle, mais confirme qu'elle se soumettra au résultat de la primaire populaire. « Si elle n'est pas retenue dimanche, elle retirera sa candidature », confirme Guillaume Lacroix, le président du PRG, qui la soutient.

Un mois, c'est le temps qu'il a fallu à Anne Hidalgo pour finalement renoncer à participer à la primaire, qu'elle a définitivement enterrée dans son meeting d'Aubervilliers le 22 janvier. « Sans la participation des Verts, la primaire de la gauche a perdu tout son sens », estime la socialiste, déclarant « la page tournée ». Quelques jours plus tôt, en meeting à Strasbourg, Yannick Jadot invitait les militants « à dépasser leur déception » et à se tourner vers sa candidature, derrière laquelle il espère toujours rassembler une partie de la gauche.

Présidentielle : Anne Hidalgo, offensive à Aubervilliers

À une semaine de l'ouverture du vote, c'est une vidéo, datant d'octobre, de l'un des fondateurs de la Primaire populaire qui sème le doute sur ses intentions. « Notre but c'est d'essayer d'empêcher […] qu'Anne Hidalgo, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel, Arnaud Montebourg [qui a depuis retiré sa candidature, NDLR] et Yannick Jadot puissent avoir les 500 signatures », lance Samuel Grzybowski. Les organisateurs dénoncent une « vidéo à usage interne sortie de son contexte », mais certains la brandissent comme la preuve que la primaire ne serait qu'un instrument au service d'une candidature de Christiane Taubira.

« Au départ, il n'y avait personne du PRG ni de son entourage dans cette affaire, se défend Guillaume Lacroix. L'opération qu'on mène avec Taubira, c'est uniquement pour œuvrer au rassemblement. » La primaire populaire est « loin d'être un système parfait » pour le président du PRG, mais « 467 000 citoyens qui s'expriment, ça n'est pas anecdotique et il faut le prendre en compte ».

Çà montre déjà la faiblesse de cette gauche divisée éparpillée qui veut faire comme LR pour simplement dire de la part de ses instigateurs, en disant « nous aussi, nous le faisons » par mimétisme, car c'est à la mode de ces politiciens de tous bords pour montrer leur incapacité simple à désigner un candidat(e) !?

En plus avec un choix de case de couleur à cocher entre le meilleur ou le moins bon comme pour noter la fraicheur des aliments dans un super marché et cerise sur ce gâteau empoisonné, des candidats pour certains qui ne veulent pas y figurer qu’ils ont mis  dans cette liste faite pour indirectement mettre en lice C.TAUBIRA aboyeuse de foire qui a troublé le quinquennat de F.HOLLANDE et démoli notre justice déjà malade et qui a surtout un passé d’empêcheuse de tourner en rond ex indépendantiste guyanaise qui a bien de la chance d’être en France si libre malgré ce que dise certains, et qui veut être présidente de notre Veme république obsolète ou l’on autorise tout, ce qui fait que la France régresse à cause de tels politiciens de tous bords médiocres ou comme elle gonflée d’orgueil et qui se considère comme un puit de culture ou elle puise des citations dans des livres en les apprenant par cœur ce qui plait tant aux français lambda ces beaux discours mais creux ( un peu comme MACRON qui utilise la même tactique pour piéger les gogos !)

Les Français sont bon public tellement ils votent si mal depuis 40 ans et en fait c’est très facile de les manœuvrer par des politiciens chevronnés qui perdront cette élection car déjà trop nombreux, le président sortant est bien parti jusqu’en 2027 !

Jdeclef 27/01/2022 10h24


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire