Le président a dérapé car il a été piégé par une opposition pour une fois unie à l'assemblée et une majorité qui a commis une erreur technique grossière : (Il n'est plus dans le coup c'est un fait établi !?)

 

Coignard – Emmanuel Macron : chassez le naturel…

CHRONIQUE. Incroyable mais vrai : le président affirme vouloir « emmerder les non-vaccinés » ! Un dérapage peut-être plus contrôlé qu’il y paraît.

(Enfin qui se sent morveux qu’il se mouche…)

Retour du refoulé ou stratégie assumée ? Face à sept lecteurs du Parisien, le chef de l’État s’est livré à une cascade verbale qui pourrait ressembler à un dérapage à propos des non-vaccinés : « C’est une toute petite minorité qui est réfractaire. Celle-là, comment on la réduit ? On la réduit, pardon de le dire, comme ça, en l’emmerdant encore davantage. Moi, je ne suis pas pour emmerder les Français. Je peste toute la journée contre l’administration quand elle les bloque. Eh bien, là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout. C’est ça, la stratégie. Je ne vais pas les mettre en prison, je ne vais pas les vacciner de force. Et donc, il faut leur dire : à partir du 15 janvier, vous ne pourrez plus aller au restau, vous ne pourrez plus prendre un canon, vous ne pourrez plus aller boire un café, vous ne pourrez plus aller au théâtre, vous ne pourrez plus aller au ciné… »

Cette affirmation sans filtre, terriblement clivante, voire choquante dans la bouche d’un président, est prononcée moins d’un mois après l’interview fleuve d’Emmanuel Macron sur TF1, au cours de laquelle il a voulu montrer qu’il avait changé, mûri, et qu’il regrettait certaines phrases blessantes. Alors, est-ce le naturel qui revient au galop ? Le caractère irrépressible d’un homme qui ne supporte pas que des limites lui soient imposées, pas même par la fonction présidentielle ?

Fautes de com – Les « macronades » d’Emmanuel Macron

L’adieu à la nuance

C’est une hypothèse, mais ce n’est pas la seule. Impossible, en effet, de détacher la réponse du président de la réflexion que lui fait une lectrice : « Mais tous ces gens-là qui ne sont pas vaccinés sont ceux qui occupent à 85 % les réanimations… Et, par contre, il y a des gens qui sont atteints de cancer dont on reporte les opérations, à qui on ne donne pas l’accès aux soins, et qui sont vaccinés ! » Avant d’avouer son envie irrésistible d’emmerder les non-vaccinés, il lui assure : « Ce que vous venez de dire, c’est le meilleur argument. En démocratie, le pire ennemi, c’est le mensonge et la bêtise. Nous mettons une pression sur les non-vaccinés en limitant pour eux, autant que possible, l’accès aux activités de la vie sociale. D’ailleurs, la quasi-totalité des gens, plus de 90 %, y ont adhéré. »

Covid-19 : les non-vaccinés majoritaires en réanimation, vraiment ?

Et si Emmanuel Macron, par le caractère provocant de ses paroles, reprenait à son compte l’exaspération d’une partie non négligeable de ces 90 % ? S’il entendait, par le caractère inapproprié des mots employés, répondre à ceux qui, oubliant que les mots ont un sens, hurlent à la « stigmatisation », voire à la « ségrégation » des non-vaccinés ? N’avait-il pas, en termes plus choisis certes, annoncé la couleur dans son allocution du 12 juillet dernier sur l’extension du pass sanitaire : « Partout, nous aurons la même démarche : reconnaître le civisme et faire porter les restrictions sur les non-vaccinés plutôt que sur tous » ?

Les oppositions n’ont pas tardé à manifester leur stupéfaction, et c’est bien naturel. Mais sont-elles bien certaines que celle-ci est partagée par les citoyens ordinaires ? En tout cas, cette tirade présidentielle donne une indication forte sur la campagne électorale qui s’annonce : elle risque de se dérouler sous le sceau de la transgression, voire de la violence verbale. Valérie Pécresse pensait peut-être avoir fendu l’armure en accusant le chef de l’État de « cramer la caisse ». Elle est largement distancée !

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Par manque de professionnalisme parlementaire d’une partie de ces députés pas présent ou novices !

Et il a suivi son 1^er ministre CASTEX qui lui aussi avait manifesté sa véhémence et colère envers les députés qui avait commis cette erreur impardonnable sur ce sujet de santé hyper prioritaire !

Ce Mr si bien élevé bien-pensant hypocrite a craqué le vernis dont il est recouvert par son attitude qui n’est pas digne d’un président de la République française si donneuse de leçon !

Le titre de l’article représente bien ce personnage fat touché dans son orgueil il fait penser à certain président sud-américain sur la gestion chaotique de cette pandémie et de son pays !

La principale erreur de ce président qui veut sans cesse donner des leçons croyant tout savoir et accumulant les erreurs depuis le début de son quinquennat en tant que président est de ne pas avoir su se contrôler et là il vient de le prouver et depuis le début de se servir de cette pandémie meurtrière (ne l’oublions pas) pour faire de la mauvaise politique de caniveau en insultant en plus certains français et ignorant les autres en fait qui subissent cette crise sanitaire mondiale !

Il s’est dégonflé en n’instituant pas la vaccination obligatoire et pour finir en la détournant avec ce pass vaccinal le mal est fait !

Et notre pays soi-disant ayant le meilleur service de santé du monde est sous l’eau et cela ne date pas d’hier mais de 40 ans comme pour le reste de ce qui fonctionne si mal en France ce n’est pas que de sa faute mais il n’a rien fait de plus pour ameliorer celui-ci  !

Les Français vont peut-être enfin mieux voter que pendant le 40 ans passés c’est tout ce que l’on peut souhaiter, car ce président il n’aime pas les Français car il ne les comprend pas il faut pour cela plus d’intelligence qu’il n’a pas !

Donner trop de pouvoir a un seul homme dans cette Vème république çà donne cela !

Jdeclef 05/01/2022 10h42LP