samedi 14 septembre 2019

Ça c'est étonnant car souvent on ne peut les expulser du fait que les pays d’où ils viennent n'en veulent pas !?


Un réfugié afghan expulsé de France en raison d'intentions terroristes

INFO LE POINT. Après une enquête de la DGSI notamment sur les réseaux sociaux, le jeune homme a été expulsé vers Kaboul le 7 septembre.

Noor S. était arrivé en France en 2016 après un long périple qui l'avait mené de la capitale de l'Afghanistan jusqu'en Europe. Après une pause en Italie, il avait franchi la frontière française. Il avait alors déposé une demande d'asile politique auprès de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA). Au terme d'entretiens serrés, il n'avait pas pu obtenir le statut de réfugié qui lui aurait permis de bénéficier entre autres d'une carte de résidence de dix ans et de s'installer durablement dans son pays d'accueil. Il avait en revanche été placé sous la protection subsidiaire de l'OFPRA, un statut un peu moins « favorable » pour des gens réellement persécutés dans les pays qu'ils fuient.
Selon l'OFPRA, « la protection subsidiaire est accordée à toute personne dont la situation ne répond pas à la définition du statut de réfugié, mais pour laquelle il existe des motifs sérieux et avérés de croire qu'elle courrait dans son pays un risque réel de subir des atteintes graves comme la peine de mort ou des tortures ». Noor S. a par conséquent obtenu un permis de séjour d'un an renouvelable en juillet 2017. Mais plutôt que de chercher une vie meilleure, il va adhérer à un projet funeste, selon les enquêteurs de la centrale du renseignement français qui l'a repéré sur les réseaux sociaux. Il est dès lors tenu pour un partisan du djihad international.

Interpellé avant de passer à l'acte

Au fur et à mesure de sa surveillance, les limiers de la DGSI découvrent sa volonté de perpétrer une action violente en Europe. Aidée par une efficace coopération internationale, des services étrangers l'ont également repéré, il est interpellé avant de passer à l'acte. Début août, il est placé en centre de rétention administrative après un arrêté d'expulsion pris par Christophe Castaner, le ministre de l'Intérieur. Les recours épuisés, Noor S. a embarqué pour Kaboul le 7 septembre.
Selon nos informations, la récente décision de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), prise fin avril, autorisant les expulsions vers l'Algérie de condamnés algériens pour des faits de terrorisme va faciliter les retours en général. Dans la mesure où les pays d'origine ne sont plus censés pratiquer la torture. 


Selon la CEDH, l'Algérie rattrape les standards de l'État de droit. Place Beauvau, tous les dossiers mettant en cause des Algériens vont être systématiquement réétudiés.
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Par contre l'article reprenant l'autorisation d'expulser des algériens pour des faits de terrorisme est un progrès pour faire un peu de ménage en France !

Ceci étant, il ne faut pas qu'ils reviennent en France ?!

Il reste toutefois tous les migrants illégaux simples, mais notre président E.MACRON n'a-t-il pas dit que l'on allait (enfin) s’occuper de l'immigration en France, çà fait plus de trente ans qu'on ne fait à peu près rien !?

Ne rêvons pas trop !

L'immigration galopante est une plaie dans tous les pays de l'Union Européenne que l'on n'arrive pas à cautériser à cause de la politique migratoire laxiste de nos dirigeants bien-pensant donneurs de leçon !

Et puis nous sommes dans le pays des droits de l'homme, çà n'aide pas, car il faut donner l'exemple, mais qui marche à sens unique, car fort peu respecté par d'autres pays connus !

Jdeclef 14/09/2019 11h54

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