mardi 17 septembre 2019

Ce plan dit anti stups sur fond de guerre des polices qui a toujours existé sera comme d'habitude un pétard mouillé que l'on oubliera comme d'autres avant (C’est reparti !)


Marseille : 4 ministres vont dévoiler sur place un plan « anti-stups »

Christophe Castaner, Laurent Nuñez, Nicole Belloubet et Gérald Darmanin donneront une conférence de presse à l'hôtel de police de la cité phocéenne.

En gestation depuis plus d'un an, le nouveau plan du gouvernement contre le trafic de stupéfiants est dévoilé mardi à Marseille par un quatuor de ministres, avec à la clé une très attendue réforme de l'office « anti-stups ».
 Castaner, Nuñez : deux hommes et un coup fin


Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner et son secrétaire d'État Laurent Nuñez mais aussi la garde des Sceaux Nicole Belloubet et le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin, dont dépendent les douanes, se rendront dans un centre social et donneront une conférence de presse à l'Évêché, l'hôtel de police de la cité phocéenne. Théâtre de réguliers et sanglants règlements de comptes sur fond de trafic de stupéfiants, la ville a encore enregistré ce week-end une dizaine de personnes blessées par balle dans deux cités des quartiers nord.

Décloisonnement du renseignement criminel

Mais Marseille est aussi un territoire précurseur dans la méthode dite du « pilotage renforcé », qui s'appuie sur le décloisonnement du renseignement criminel entre différents services, avec des résultats jugés « probants » par les autorités en matière de lutte contre les stupéfiants.


 La BAC de Marseille empêche un nouveau règlement de comptes
Initiée depuis 2015 par plusieurs « figures » de la sécurité à Marseille, dont certains ont depuis rejoint les couloirs de la place Beauvau, à l'instar de Laurent Nuñez, cette approche collective pourrait servir de fil rouge au plan « stups » dont les détails n'ont pas été dévoilés par les ministères concernés.
Sécurité intérieure : Christophe Castaner et Laurent Nuñez s'expliquent


Initialement annoncé pour l'été 2018 par le président Emmanuel Macron lors de la présentation de mesures en faveur des banlieues, ce plan « anti-stups » a pâti des tempêtes politiques et sociales qui ont secoué l'exécutif depuis plus d'un an, entre affaire Benalla, démission fracassante de Gérard Collomb ou encore crise des Gilets jaunes, et ont retardé son lancement.

La DGSI en modèle

Plusieurs sources proches du dossier ont également fait valoir que ce plan avait fait l'objet d'âpres discussions entre ministères et administrations, notamment sur le projet très sensible de réorganisation de l'office « anti-stups ».
 Christophe Castaner, « l'homme qui dit toujours oui »


Éventé depuis plusieurs mois dans la presse, le projet de refonte de l'Office central pour la répression du trafic illégal de stupéfiants (Ocrtis) est attendu comme l'une des principales mesures du plan, avec à la clé changement de nom, réforme de son pilotage et désignation comme « chef de file » de la lutte antidrogue sur le modèle de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) en matière d'antiterrorisme.

Une commissaire de police à sa tête ?

C'est une commissaire de police qui est pressentie pour prendre la tête du nouvel office qui reste dans le giron de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) avec une équipe néanmoins désormais ouverte aux gendarmes, douaniers et magistrats. L'acronyme Ofast paraissait tenir la corde pour désigner le nouvel ensemble.
Laurent Nuñez, l'invité-surprise
« La clé est dans notre capacité à travailler tous ensemble, de beaucoup plus travailler en renseignements et de supprimer les concurrences stériles entre tous les acteurs », relève un haut responsable policier. La création de ce nouvel office pourrait définitivement tourner la page des récents scandales qui ont entaché la réputation du prestigieux office antidrogue sur fond de politique du chiffre, de rivalités entre services et de crise de confiance entre policiers et magistrats.
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Il aurait surtout fallu ne pas le claironner pour essayer de faire croire qu'on va s’occuper de ce problème qui traîne depuis des lustres dans cette 2 eme plus grande ville de France qu'est MARSEILLE !

Par l’incurie déjà de la municipalité clientéliste, qui n’a fait rien contre une pauvreté installée depuis des décennies dans certains quartiers connus favorisant délinquances et trafics divers toujours présents depuis si longtemps qu’on s’y est habitué jusqu’à que ce soit un folklore que l’on a mis dans les médias dans des romans policiers et même au cinéma avec des films célèbres avec des acteurs vedettes connus qui font l’apanage de ces voyous devenus criminels dangereux sans foi ni loi !

Et cela dure malgré le changement de gouvernements de présidents et de ministres de l’intérieur de tous bords depuis des années !

Quant aux maires, cela ne vaut guère mieux, le dernier toujours en place depuis 1995 poussa repu est le parfait exemple de ce laxisme pour ne pas dire plus, avec encore, ce dernier scandale sur les immeubles vétustes « cerise sur un gâteau empoisonné » !

Et qu’est ce que nous dit l’état si loin de Marseille qu’il laisse survivre, tant bien que mal avec 4 ministres Christophe Castaner, Laurent Nuñez, Nicole Belloubet et Gérald Darmanin dont on peut douter de leur compétence et surtout en nous mettant en avant le verrou de BERCY état dans l’état avec son argent roi qui manque !

Surtout une absence de volonté et de rigueur, depuis toujours !

Jdeclef 17/09/2019 10h30 LP

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