jeudi 19 septembre 2019

Notre gouvernement de bienpensant est laxiste et peut être pleutre en plus !


Trente ans après l’affaire du foulard, l’école face à de nouvelles contestations

Refus de certaines sorties, menus de cantine discutés : la laïcité en milieu scolaire est régulièrement remise en question. Dès le primaire.


Certificats médicaux pour allergie au chlore ou à la poussière afin d’excuser une sortie à la piscine ou la visite d’une cathédrale, demande de réduction sur la facture en période de jeûne… Trente ans après Creil, le port du foulard n’est plus un sujet à l’école. Certes, une minorité d’élèves tentent encore de contourner l’interdiction des signes religieux avec des bandeaux sur les cheveux ou des jupes jugées trop longues par certains chefs d’établissement, mais tous les acteurs qui veillent à faire respecter la laïcité en milieu scolaire s’accordent à dire que la question a été plutôt bien réglée par la loi de 2004. Le ministère de l’Education nationale, qui a mis en place, en 2018, une plateforme en ligne permettant au personnel de signaler, anonymement, des cas d’atteinte à la laïcité, nous confirme que les incidents liés aux tenues vestimentaires sont « vite traités ». Le problème s’est déplacé à la cantine et lors des sorties scolaires, les contestations d’enseignement ne représentant que 10 à 20 % des signalements. Le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, a d’ailleurs demandé au Conseil des sages (qui regroupe seize experts de la laïcité) de plancher sur la question de la cantine afin d’établir une même doctrine sur tout le territoire. « Il peut arriver que des dames de cantine demandent aux enfants : “Qui fait le ramadan ?” précise le politologue Laurent Bouvet, membre du Conseil des sages. Elles le font sans arrière-pensée, mais on n’a pas le droit de demander à des enfants leurs convictions religieuses. Cela relève plus de la méconnaissance des règles de laïcité que du prosélytisme. »
Parents accompagnateurs. A la cantine, si 20 % des contestations ont trait à des questions religieuses, la majorité concerne des revendications liées à des tendances alimentaires (régimes végétariens, sans gluten…). Quant aux sorties scolaires, les signalements sont à la hausse, et ces situations génèrent encore des incertitudes d’interprétation malgré la position du Conseil d’Etat (20/9/2013). « Les parents accompagnateurs ne sont pas soumis à la neutralité comme les agents publics, rappelle Jean-Louis Bianco, membre du Conseil des sages. Pour autant, ils ne doivent pas avoir de comportement prosélyte ni perturber une sortie. » Reste que c’est aux chefs d’établissement d’évaluer ce point. Pour Didier Leschi, président de l’Institut européen en sciences des religions, « en l’absence de réponse législative, il y a un risque que se rouvrent des conflits au sein des communautés scolaires ». 
Nouvelle tendance repérée par le ministère, qui doit communiquer fin septembre : il y a de plus en plus de contestations dès l’école primaire avec, là encore, des refus de participer à des activités périscolaires. Mais on observe une baisse des atteintes à la laïcité au lycée, le collège se trouvant toujours en tête – 60 % des signalements se concentrent sur six académies (Créteil en tête). Autre problème relevé par certaines équipes académiques, avant la loi sur la scolarisation obligatoire à 3 ans : le refus de quelques parents de scolariser leurs filles avant 6 ans. Rue de Grenelle, on assume la polémique soulevée par Blanquer, qui avait pointé le « fondamentalisme islamique » comme l’une des causes de ce refus d’entrer en maternelle : « Oui, cela se retrouve dans certains quartiers et c’est difficilement chiffrable. Même si cela ne concerne qu’une dizaine de fillettes, c’est un problème. » émilie trevert
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Nous perdons chaque jour sans s'en apercevoir nos libertés à cause d'incidents à consonance religieuse à cause de flux de population venues d’ailleurs qui veulent imposer insidieusement leurs religions avec leurs dogmes extrémistes dans notre pays qu'on dit laïque ?!

C'est une des raisons pourquoi les français pensent qu'il y a de trop de migrants qui entrent en France de façon régulière et surtout irrégulière !

Mais cela ne date pas d'hier, car cela fait plus de 40 ans que nous subissons des flux notamment d'Afrique du nord et de nos ex colonies africaines ex AOF/AEF qui font venir leurs familles et qui se sont regroupées dans les citées périphériques d'IDF et dans nos grandes villes de province avec leurs religions bien sûr !

En 2008, 43 % des immigrés (2,3 millions) sont originaires d'un pays d'Afrique, dont 30 % (1,6 million) du Maghreb. Cette dernière proportion est restée quasiment stable de 1982 à 2008, tandis que la part de l’Afrique subsaharienne est passée de 5 % à 13 % sur la même période, soit une hausse proportionnelle de 140 %. En 2010, sur les 13,8 millions d’Africains vivant hors du continent 19 % vivent en France (2,62 millions). La France est ainsi la première destination des habitants d’Afrique !

La France est en effet la destination naturelle des habitants du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne francophone.

(Et bien sûr il ne faut pas oublier les migrants fuyant les guerres moyen-orientales depuis 2013 et lutte contre le terrorisme !)

Et que font nos gouvernements de tous bords pas grand-chose à part faire des discours stériles à l'image de nos présidents !

Jdeclef 19/09/2019 11h34CLP

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire