« Face
à un juge ou à un policier, la République, c'est bien moi », écrit
Mélenchon
VIDÉO. Le
chef de file de La France insoumise revient sur la perquisition qui avait été
menée au siège du parti en 2018 dans son livre à paraître.
MELENCHON persiste et signe. « Face à un juge ou à un
policier, la République c'est bien moi », écrit-il dans son livre à
paraître, assumant sa phrase proférée pendant la perquisition du siège de LFI
en 2018 tout en dénonçant la caricature qui, selon lui, en a été faite.
« Face à quelque juge ou policier que ce soit, la République, c'est bien
moi, et ils me doivent le respect dû à ceux que je représente, leur maître, le
peuple souverain », souligne le chef de file de La France insoumise dans Et ainsi de suite
(Plon), à paraître le 19 septembre et dont le groupe de presse
régionale Ebra publie des extraits samedi.Le livre sera publié le jour où Jean-Luc Mélenchon doit comparaître avec cinq proches à Bobigny pour les incidents ayant émaillé cette perquisition d'octobre 2018, diligentée dans le cadre d'une enquête sur des soupçons d'emplois fictifs au Parlement européen et les comptes de la campagne 2017. « La République, c'est moi », avait-il crié au visage d'un policier en faction devant les locaux perquisitionnés.
Procès politique : les conseils ironiques de Dupond-Moretti à Mélenchon
Il dénonce « un procès politique »
« J'aurais dû mieux choisir mon public », semble
aujourd'hui regretter le leader Insoumis dans son livre. « Car les
commentateurs troncs des plateaux de télé ont réduit mon propos à leur propre
dimension mesquine et à l'esprit monarchique du maître qu'ils servent en la
personne du président de la Ve République », ajoute Jean-Luc Mélenchon qui
dénonce un « procès politique » à son encontre.Lire aussi L'étrange timing de la publication du nouveau livre de Jean-Luc Mélenchon
« Je suis la République devant tout autre corps et notamment ceux du “maintien de l'ordre”, comme ils disent. Tout simplement parce que la loi qui les commande est proposée et votée par des gens comme moi, députés de la nation tout entière », argumente-t-il. « Le caractère inviolable du tribun ou du député est l'incarnation de la souveraineté du peuple », poursuit-il, concluant ainsi que « la République, c'est bien moi ».
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Nous sommes dans un pays
encore libre heureusement !
Car les extrêmes font
encore peur aux français qui ne sont pas encore murs pour les mettre au pouvoir
!
Car des aboyeurs de
foire comme cet excité de MELENCHON vieux politicien usé revanchard qui n'a
rien à envier à son vieux collègue d’extrême droite J.M. LE PEN sont des inutiles empêcheurs de tourner en
ronds qui polluent la politique française déjà assez compliquée comme cela !
Car ils n'auront jamais
le pouvoir et si par malheur, ils y arrivaient, ce serait que le pays serait en
pleine déconfiture et en marasme total et que certains français seraient plus
que désespérés pour voter pour eux et ce serait l'anarchie !
Mais puisque MELENCHON
ne manque pas d’irrespect, je me permets de dire une citation entrée dans le
langage populaire courant que l’on doit à Michel AUDIARD dans un de ses films cultes
« Les cons çà osent, c’est même à cela qu’on les reconnait » (je
m’excuse de cette trivialité, mais je n’ai pu me retenir !)
Jdeclef 15/09/2019 13h04LP