Affaire
des « écoutes » : Nicolas Sarkozy condamné à 3 ans de
prison, dont 1 ferme
Le Parquet
national financier avait requis quatre ans de prison, dont deux avec sursis, à
l’encontre de l’ex-chef de l’État. Son avocate plaidait la relaxe.
Dans
l'affaire des « écoutes », l'ancien président Nicolas Sarkozy a été
déclaré coupable de corruption et de trafic d'influence par le tribunal
correctionnel de Paris, qui rendait son jugement ce lundi 1er mars.
Il est condamné à trois ans de prison, dont un an ferme.
Le Parquet national financier (PNF) avait requis contre
l'ex-président de 66 ans quatre ans d'emprisonnement, dont deux ferme,
estimant que l'image présidentielle a été « abîmée » par cette
affaire aux « effets dévastateurs ». Nicolas Sarkozy était accusé
d'avoir tenté, avec son avocat Thierry Herzog, d'obtenir d'un haut magistrat,
Gilbert Azibert, des informations couvertes par le secret dans une procédure
judiciaire. En échange, la promesse d'un soutien pour un poste à Monaco. Son
avocate plaidait la relaxe.
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C'est
tout de même un événement pour un politicien de haut niveau ex-président de la
république (encore jeune !)
Qui a
utilisé toutes les ficelles pour y échapper !
La
justice est passée, heureusement, car les français réclament souvent cette
justice qu'ils trouvent laxiste ou trop faible pour ses magouilleurs politiciens
si protégés que sont nos élus se croyant intouchables, assortis de kyrielles
d'avocats spécialisés qu'ils peuvent s'offrir !
Le
problème, étant que çà fait mauvais effet pour notre France et ses élus au plus
haut de l'état donneurs de leçons pendant qu'ils exerçaient leurs mandats!
D'ailleurs
SARKOZY n'en n'a pas fini, il va repasser devant celle-ci pour ses frais de
campagne électorale à la présidentielle, douteux ..!?
Jdeclef
01/03/2021 14h43
Lamentables modérateurs du point qui ont censuré mon commentaire alors que la justice n'a fait que son travail pour une fois alors que la liberté d'expression permet de dire la vérité sur un fait qui méritait sanction n'en déplaisent au bien pensant du point pleutres et indignes comme journaleux qui n'honorent pas leur hebdomadaire quelque fois frileux par peur de leurs ombres !
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