dimanche 3 juillet 2011

Nafissatou Diallo, « victime » serait en fait l’araignée qui avait tissée une toile trop fragile ?

Cyrus vance, district attorney (procureur) de New York, s'apprête à parler à la presse, le 1er juillet 2011 à New York, juste après l'audition levant les conditions de la libération sous caution de Dominique Strauss-Kahn

Affaire Strauss-Kahn: Nafissatou Diallo, une victime sur le grill

La plaignante concentre maintenant les interrogations dans l'affaire DSK...

Si les récentes révélations ne remettent pas en cause les accusations de viol de Nafissatou Diallo à l'encontre de DSK, elles éclairent d'un jour nouveau la personnalité de la plaignante et jettent le doute sur sa parole.
Le New York Times revient vendredi sur les incohérences du témoignage de la femme de chambre qui accuse Dominique Strauss-Kahn d'agression sexuelle, soulignant que les soupçons des procureurs sont apparus une semaine environ après l'arrestation du patron du FMI.

Coup de téléphone en peul

Des soupçons sont apparus relativement vite sur les liens de la femme avec certains milieux, écrit le journal. Ainsi, une semaine après l'arrestation de Strauss-Kahn le 14 mai, les autorités ont appris l'existence d'un enregistrement d'une conversation entre un homme visé par une enquête pour trafic de drogue et un autre individu qui disait connaître indirectement la femme impliquée dans l'affaire Strauss-Kahn.
>> Revivez en direct la journée de la libération de DSK

Les enquêteurs du tribunal de Manhattan ont appris en outre que 28 heures après l'agression sexuelle présumée, la femme de chambre avait téléphoné à un homme emprisonné pour possession de drogue. La conversation a eu lieu en peul, et la traduction n'a été achevée que mercredi.

Crédibilité

C'est ce jour-là que les enquêteurs ont constaté qu'elle avait alors dit au détenu: «Ne t'inquiète pas, ce type a plein de fric. Je sais ce que je fais».
Peu à peu, la crédibilité de la plaignante s'est effritée, poursuit le New York Times. Diallo a menti sur les conditions de son immigration aux Etats-Unis et n'a pas révélé qu'elle avait des liens avec des personnes soupçonnées de délits.

Il y a plein de choses bizarres dans cette affaire mais on peut se poser quelques questions  FAISONS SIMPLE SI POSSIBLE :

Bon DSK est un homme à femme qui a semble-t-il de gros besoin de sexe (son talon d’Achille) et il a eut recours déjà à des prostituées/call girls etc, pour satisfaire son penchant ce qui n'est pas répréhensible.

Mais on ne parle pas beaucoup du SOFITEL lieu du présumé délit qui semblait fournir discrètement ce genre de prestation pour VIP, car ils s'empressent de dire que son employée est sans histoire...

DSK semble vraiment s'être fait piéger par cette femme, mais elle a du être peut être commandité pour cela,mais par qui ?

Ou alors plus simplement, elle ne savait pas du tout qui était DSK  et elle l'a roulé comme elle l'aurait fait pour un simple client fortuné gogo, mais la notoriété du directeur du FMI lui est revenu dans la figure du fait de la médiatisation du à sa fonction internationale

Car rappelons nous la photo de DSK comme le veut la règle des VIP n'était pas affiché dans les locaux communs au personnel du SOFITEL comme c'est la règle dans cet hôtel du fait que son séjour dans celui-ci était court et qu'il devait le quitter le jour de l'incident

Ce qui expliquerait aussi le coup de téléphone de la guinéenne à ce détenu?

Les enquêteurs du tribunal de Manhattan ont appris en outre que 28 heures après l'agression sexuelle présumée, la femme de chambre avait téléphoné à un homme emprisonné pour possession de drogue. La conversation a eu lieu en peul, ou il était question de la façon de gagner d'argent suite à cette affaire !

Après elle s'est enferrer dans ses mensonges jusqu'à craquer et seul le viol quelle semble maintenir n'est plus qu'un fait inventé de plus pour se défendre? 

Mais il est à douter que cela ne tienne pour obtenir une condamnation de DSK 

(Car c'est parole contre parole et celle de la supposée victime qui est vraiment sujette à caution)
Et par la même risque évidemment au minimum une condamnation pour faux témoignage envers le grand jury

Donc cette femme est vraiment très suspecte de faits délictueux, le jour des faits  
(sans compter son passé chargé semple-t-il qui n'ont rien à voir avec l'affaire présente mais qui donne un reflet nouveau de la plaignante !)

DSK à néanmoins commis une erreur, c'est de ne pas avoir dit qu'il avait eut des rapports consentis avec elle (car les analyses ADN l'ont prouvé)

Si j'osais pour plaisanter un peu ? Je dirais que DSK c'est trouvé là, au mauvais endroit au mauvais moment

jdeclef 03.07.2011 

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