dimanche 9 décembre 2012

UN SOMMET DE PLUS POUR SE DONNER BONNE CONSCIENCE COMME D’HABITUDE LOGIQUE ET NORMAL HÉLAS…



Ouverture du sommet sur le climat des Nations unies, le 26 novembre 2012 à Doha, au Qatar.

Sommet sur le climat: Un accord à l'arrachée à Doha (si peu…!)

CLIMAT - Un accord à minima sur la lutte contre le changement climatique marque la fin d'un sommet dont personne n'espérait une issue positive...

Un accord faible, mais un accord quand même

Alors que les négociations traînaient en longueur et avaient déjà plus d’une journée de retard sur le calendrier prévu, Abdallah al-Attiya est monté à la tribune et a adopté, en rafales, la série de textes en discussion depuis le 26 novembre. L’acte II de Kyoto engage l’Union européenne, l’Australie et une dizaine d’autres pays industrialisés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) d’ici 2020. Ce chapitre, dont la portée sera essentiellement symbolique car les pays engagés ne représentent que 15 % des émissions de GES dans le monde, est la pièce maîtresse de l’accord négocié par plus de 190 pays dans la capitale qatarie.
L'autre gros dossier de l'accord était l'aide financière aux pays du Sud pour faire face au changement climatique. L'accord n'est «pas à la hauteur», a regretté le ministre des Affaires étrangères de Nauru, Kieren Keke, au nom de l'Alliance des petits Etats insulaires (Aosis), sans pour autant dénoncer l'adoption du texte. «Ce processus ne produit que des mots et pas d'action», a-t-il dit, regrettant amèrement que les pays du Nord ne se soient pas engagés sur de nouveaux montants d'aide. Les pays du Sud attendaient des pays développés qu'ils s'engagent à verser 60 milliards de dollars d'ici 2015, pour assurer une transition entre l'aide d'urgence de 30 mds USD pour 2010-2012, et la promesse des 100 mds par an d'ici 2020.
Connie Hedegaard, commissaire européenne pour le climat, s’est félicitée de l’entrée dans une nouvelle ère du protocole de Kyoto, mais regrette la lenteur des négociations internationales. 


Les progrès techniques et autres, depuis le 19eme siècle industriel ont engendré une pollution toujours plus grandissante et nous ne reviendrons pas en arrière, car ce serait une régression que les hommes ne supporteraient pas!

Dans un monde ou le profit et l'argent est la priorité ou l'être humain est égoïste et qui en fait ne partage pas grand chose avec les autres, notamment entre riches et pauvres sans compter le fait qu'ils s’entretuent pour plus de pouvoir ou pour garder celui qu'ils ont, ces sommets climatiques on très peu d'effet sur leurs habitudes!

Parallèlement, le raisonnement de beaucoup, est que ces mesures ou contraintes utiles ne peuvent être faites maintenant et sont toujours remises à plus tard du style "après moi le déluge" car celles-ci sont décidées (quand elles le sont) à échéances trop lointaines, car tout le monde ce dit que de toute façon (qu’ils seront tous morts d'ici là alors...)

Les raisons évoquées ont les connait depuis que ce genre de sommet existe et n’aboutit à presque rien, les gros pollueurs qui sont aussi les plus riches et plus puissants ne changeront pas leur politique et les pays émergents non plus, car ils veulent rattraper leur retard économique et industriel sur les plus riches!

On parle de mondialisation? 
Mais celle-ci va toujours dans le même sens, toujours plus, sans vraiment se soucier des autres!
Et bien sur aussi en rejetant la faute sur les autres!

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