dimanche 30 avril 2017

Ce que peut faire l’ambition et l’orgueil d’un politicien dans cette classe politique sclérosée, un exemple de plus !

Elections

Présidentielle: Après le soutien de Dupont-Aignan à Marine Le Pen, plusieurs cadres de Debout la France démissionnent

POLEMIQUE Si certains ont décidé de quitter le navire, d'autres saluent la décision de leur chef...
Eric Anceau, responsable du projet, a lui aussi annoncé son départ. «Je renonce ce jour à toutes mes fonctions», a-t-il écrit sur Twitter.
Ca tangue chez Debout la France. L'annonce vendredi soir par Nicolas Dupont-Aignan qu'il soutenait Marine Le Pen pour le second tour de la présidentielle face à Emmanuel Macron a entraîné plusieurs démissions du parti. 
En désaccord avec ce ralliement, Dominique Jamet, vice-président de DLF et principale figure du parti hormis Nicolas Dupont-Aignan, a indiqué qu'il quittait le parti fondé en 2008, et renommé Debout la France fin 2014.
Eric Anceau, responsable du projet, a lui aussi annoncé son départ. «Je renonce ce jour à toutes mes fonctions», a-t-il écrit sur Twitter.
«Présidentielle 2e tour : à titre personnel, je ne me reconnais ni dans Madame Le Pen ni dans Monsieur Macron. Je ne voterai pour aucun d'eux» a commenté pour sa part le proche collaborateur à Yerres de Nicolas Dupont-Aignan, Olivier Clodong, conseiller départemental de l'Essonne, premier maire-adjoint de Yerres.

«Un choix très courageux» pour certains

C'est «un choix très courageux, mais pas un chèque en blanc. Un choix contre des garanties programmatiques solides qu'il détaillera sûrement dès demain. Notamment sur le volet humaniste de notre projet présidentiel», a commenté à l'AFP Damien Lempereur, délégué national de DLF. Le secrétaire général adjoint de Debout la France, Laurent Jacobelli, a lui approuvé le «courage» du député de l'Essonne «qui prend ses responsabilité».
«Nicolas Dupont-Aignan est un homme honnête et droit. J'ai confiance en lui et je continue bien évidemment à le soutenir», a indiqué à l'AFP Nicolas Calbrix, délégué national du parti. Alexandre Loubet, président de «Debout les Jeunes», a aussi approuvé le choix de son patron, qui «brise le barrage». «Malheureusement, face à Emmanuel Macron, il fallait choisir», a commenté un proche de Nicolas Dupont-Aignan, interrogé par l'AFP.

L'orientation visiblement approuvée

Un autre responsable de DLF a expliqué à l'AFP que «ce qui est en question, c'est la nomination de Nicolas Dupont-Aignan comme Premier ministre» si Marine Le Pen gagne au second tour. Elle a dit vendredi soir qu'elle annoncerait le choix de son Premier ministre avant le deuxième tour, le 7 mai. Ce même responsable a expliqué qu'un très long conseil national de DLF vendredi avait «très largement» approuvé l'orientation prise par Nicolas Dupont-Aignan «par loyalisme - mais un certain nombre de gens qui s'y opposent n'étaient pas là.» «Il va y avoir un gros déchet parmi les électeurs qui ont choisi de voter Dupont-Aignan justement pour ne pas voter Marine Le Pen, de même que parmi les militants et les cadres du parti», selon cette source.
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Je connais bien cet homme politique, mon député, car habitant la ville voisine mitoyenne de Yerres la sienne et dont on le voit souvent venir aux manifestations festives communes aux deux villes, j’ai déjà parlé avec lui ce souverainiste gaulliste pourtant sympathique qui a redressé sa ville en déconfiture et en a fait une ville agréable à vivre !

A part cela, il est désolant bien que penchant un peu vers les idées extrêmes droite, qu’il est basculé radicalement en faveur de M.LE PEN après l’avoir dénigré vertement pendant des années d’ailleurs, une hypocrisie de plus, une partie de ses électeurs et administrés yerrois ont protesté et le quitteront !

Tout cela pour obtenir un poste (hypothétique) de 1er ministre, si M.LE PEN devient présidente de la république !?

Et on parle de probité ou d’honnêteté dans les paroles et actes de tous ces politiciens de tous bords de cette ancienne caste politique qui doit en effet disparaitre, car trop de menteurs ou magouilleurs pour obtenir pouvoir et avantages auquel ils courent tous après sans états d’âmes en se moquant des français qu’ils ne leur servent qu’à les élire comme des gogos !

Les français veulent du changement, il est temps, ils en ont la possibilité alors, il faut qu’ils la saisissent et le fassent, ils ont cette chance cette fois en 2017 de niveler ces partis politiques ringards obsolètes et éliminer leurs leaders ex politiciens professionnels qui en profitent trop roulant sans vergogne des français « moutons de panurges » gogos, qu’ils oublient après avoir été élus, depuis des décennies !

Car il faut absolument assainir en profondeur le paysage politique français, si l’on veut sortir la France du marasme !


Jdeclef 30/04/17 à 09h56

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