samedi 1 avril 2017

F.FILLON poursuit sa fuite en avant à tombeau ouvert, car il n’a plus rien à perdre !

Présidentielle : Fillon se donne "20 jours pour casser la baraque" ?!

Le candidat de la droite s'est montré combatif comme jamais en meeting à Toulon. Il s'est donné "20 jours pour casser la baraque et stupéfier le système".

Loin de baisser les bras, les fillonistes sont remontés comme jamais à bientôt trois semaines du premier tour de la présidentielle. François Fillon a lancé un tonitruant « encore vingt jours pour casser la baraque et stupéfier le système », vendredi lors d'un meeting à Toulon, dans le Var. Devant un zénith comble, les soutiens se sont multipliés au pupitre pour inviter les partisans à décupler leurs efforts.
« Maintenant, c'est à vous de jouer ! » s'est exclamé l'ex-Premier ministre, devant nombreux élus, dont le sénateur-maire de Toulon Hubert Falco, celui de Marseille Jean-Claude Gaudin ou les députés Julien Aubert (Vaucluse), Éric Ciotti, Jean Leonetti et Georges Ginesta (Paca) ou Valérie Boyer (Bouches-du-Rhône). Également présent et invité à s'exprimer avant le candidat, le président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Christian Estrosi, qui avait demandé à Fillon, empêtré dans ses ennuis judiciaires, de renoncer à la candidature, s'est fait siffler, le public scandant « Fillon, Fillon » pendant qu'il parlait.
 « Si vous partagez cette espérance d'une France conquérante, alors engagez-vous, mobilisez-vous, foncez sans complexe ; il nous reste 20 jours pour casser la baraque, 20 jours pour stupéfier le système qui se croit installé dans son décor », a lancé Fillon. Les sondages le donnent toujours nettement distancé au soir du premier tour par Marine Le Pen et Emmanuel Macron.

« François Macron », dans le viseur

Mais ses flèches, l'ancien chef de gouvernement les a décochées contre l'ex-ministre, choisissant d'ignorer la présidente du Front national. »Désormais, c'est officiel : le Parti socialiste a un nouveau candidat qui a l'appui d'un ex-Premier ministre. Surprise, ce n'est pas celui de la primaire, mais des tractations du printemps. C'est Emmanuel Macron, le protégé de François Hollande", a raillé le candidat de la droite, à propos du ralliement de Manuel Valls à son ancien ministre de l'Économie et non au gagnant de la primaire du PS Benoît Hamon.
Macron, « c'est celui qui a pensé et défini » le programme de Hollande, « qui l'a ensuite appliqué et qui veut le poursuivre avec l'aide de ses anciens collègues », a-t-il insisté. « Emmanuel Hollande, c'est le prince de l'ambiguïté, c'est le même flou artistique », a ajouté le député de Paris. « Le choix est entre le déclin et le sursaut, moi, je propose le sursaut » et « je suis le seul à dire les problèmes et à formuler des solutions à la hauteur », a-t-il assuré.
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Mr « l’arrogant » veut « casser la baraque » une expression déjà employée par d’autres !

Il risque surtout de ce « casser la figure », car beaucoup d’électeurs sont déjà focalisés sur un duel peut être entre M.LE PEN et E.MACRON !

Et en plus, il y a même J.L.MELENCHON qui le marque à la culotte logique, quand on voit son programme drastique de hobereau sarthois qui veut étriller les français lambda d’en bas (hormis ses affaires déplorables !)

Car ils seront nombreux les français touchés par son programme très dur (hormis pour sa caste de nantis qui eux ne seront pas touchés par cette cure d’amaigrissement et qui s’engraisseront un peu plus !)

Et il fera ce qu’il a dit, ne serait-ce que par revanche, s’il gagne cette élection, ce qui correspondra à reprendre les mêmes profiteurs issus de leur couple SARKOZY/FILLON qui ont gouvernés pendant 5 ans !

Et en fait de changement et d’alternance, ce sera un pétard mouillé habituel qui fera pschitt et un coup de plus pour rien !

Les français ont la possibilité de ne pas subir cela, mais changer autrement, plutôt que de ne rien faire comme d’habitude, alors qu’ils le fassent, cela ne nécessite pas un grand courage, seulement ne pas être encore « des moutons de Panurge » (ou des veaux comme disait de Gaulle !)

Vivement le 23 avril qu’on en finisse, car cette campagne présidentielle est d’une bassesse infinie !


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