Présidentielle : Fillon se donne "20 jours pour
casser la baraque" ?!
Le candidat de la droite s'est montré combatif comme jamais
en meeting à Toulon. Il s'est donné "20 jours pour casser la baraque et
stupéfier le système".
Loin
de baisser les bras, les fillonistes sont remontés comme jamais à bientôt
trois semaines du premier tour de la présidentielle. François Fillon
a lancé un tonitruant « encore vingt jours pour casser la baraque et
stupéfier le système », vendredi lors d'un meeting à Toulon, dans
le Var. Devant un zénith comble, les soutiens se sont multipliés au pupitre
pour inviter les partisans à décupler leurs efforts.« Maintenant, c'est à vous de jouer ! » s'est exclamé l'ex-Premier ministre, devant nombreux élus, dont le sénateur-maire de Toulon Hubert Falco, celui de Marseille Jean-Claude Gaudin ou les députés Julien Aubert (Vaucluse), Éric Ciotti, Jean Leonetti et Georges Ginesta (Paca) ou Valérie Boyer (Bouches-du-Rhône). Également présent et invité à s'exprimer avant le candidat, le président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Christian Estrosi, qui avait demandé à Fillon, empêtré dans ses ennuis judiciaires, de renoncer à la candidature, s'est fait siffler, le public scandant « Fillon, Fillon » pendant qu'il parlait.
« Si vous partagez cette espérance d'une France conquérante, alors engagez-vous, mobilisez-vous, foncez sans complexe ; il nous reste 20 jours pour casser la baraque, 20 jours pour stupéfier le système qui se croit installé dans son décor », a lancé Fillon. Les sondages le donnent toujours nettement distancé au soir du premier tour par Marine Le Pen et Emmanuel Macron.
« François Macron »,
dans le viseur
Mais
ses flèches, l'ancien chef de gouvernement les a décochées contre
l'ex-ministre, choisissant d'ignorer la présidente du Front
national. »Désormais, c'est officiel : le Parti socialiste a un
nouveau candidat qui a l'appui d'un ex-Premier ministre. Surprise, ce n'est pas
celui de la primaire, mais des tractations du printemps. C'est Emmanuel Macron,
le protégé de François Hollande", a raillé le candidat de la droite, à
propos du ralliement de Manuel Valls à son ancien ministre de l'Économie et non
au gagnant de la primaire du PS Benoît Hamon.Macron, « c'est celui qui a pensé et défini » le programme de Hollande, « qui l'a ensuite appliqué et qui veut le poursuivre avec l'aide de ses anciens collègues », a-t-il insisté. « Emmanuel Hollande, c'est le prince de l'ambiguïté, c'est le même flou artistique », a ajouté le député de Paris. « Le choix est entre le déclin et le sursaut, moi, je propose le sursaut » et « je suis le seul à dire les problèmes et à formuler des solutions à la hauteur », a-t-il assuré.
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Mr « l’arrogant » veut « casser
la baraque » une expression déjà employée par d’autres !
Il risque
surtout de ce « casser la figure »,
car beaucoup d’électeurs sont déjà focalisés sur un duel peut être entre M.LE
PEN et E.MACRON !
Et en plus, il
y a même J.L.MELENCHON qui le marque à la culotte logique, quand on voit son
programme drastique de hobereau sarthois qui veut étriller les français lambda
d’en bas (hormis ses affaires déplorables !)
Car ils seront
nombreux les français touchés par son programme très dur (hormis pour sa caste de nantis qui eux ne seront pas touchés par cette
cure d’amaigrissement et qui s’engraisseront un peu plus !)
Et il fera ce
qu’il a dit, ne serait-ce que par revanche, s’il gagne cette élection, ce qui
correspondra à reprendre les mêmes profiteurs issus de leur couple
SARKOZY/FILLON qui ont gouvernés pendant 5 ans !
Et en fait de changement
et d’alternance, ce sera un pétard mouillé habituel qui fera pschitt et un coup
de plus pour rien !
Les français
ont la possibilité de ne pas subir cela, mais changer autrement, plutôt que de
ne rien faire comme d’habitude, alors qu’ils le fassent, cela ne nécessite pas
un grand courage, seulement ne pas être encore « des moutons de Panurge » (ou des veaux comme disait de Gaulle !)
Vivement le 23
avril qu’on en finisse, car cette campagne présidentielle est d’une bassesse
infinie !
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