Les vérités de François Fillon
VIDÉOS. Le candidat s'est défendu face aux soupçons. Il a
également rendu un hommage appuyé à François Baroin qui serait un "très
bon" Premier ministre.
Évidemment, François Fillon persiste et signe :
le candidat LR à l'Élysée
récuse l'ensemble des faits dont on l'accuse. Sur BFM TV, ce matin, il renvoie
au « pouvoir », aux journalistes ou à d'autres responsables mal
identifiés la responsabilité des affaires qui l'accablent. « J'ai commis
une erreur : j'ai offert au pouvoir la possibilité de m'éliminer en me
mettant en examen », explique François Fillon.
Car, dit-il, rien ne justifie les
accusations qui se multiplient à son encontre, notamment dans le Penelopegate.
« Mon épouse ne sera pas condamnée [...] Le dossier est vide »,
assure-t-il avec certitude.
Et
dénonce toujours une « manipulation » qui a conduit à ces deux mises
en examen (la sienne et celle de son épouse) qui ont, dit-il, battu un
record : « La mise en examen la plus rapide de l'histoire de la Ve
République. » D'ailleurs, s'il est élu en mai, il demandera la création
d'une « commission d'enquête parlementaire » sur l'existence d'un
cabinet noir à l'Élysée, dont l'hypothèse est avancée dans le livre Bienvenue Place Beauvau. LIRE aussi « Cabinet noir » : des poids lourds de la droite réclament une enquête
François Fillon l'assure : « S'il y avait le moindre doute sur ma culpabilité, je ne serais pas candidat. » Or, poursuit l'ex-Premier ministre, renforcé par la démonstration de force au Trocadéro, début mars, et par la fin de non-recevoir d'Alain Juppé, possible plan B : « S'il y avait eu peu de monde ou une alternative portant mon projet, je me serais retiré. »
En revanche, il a un peu avancé sur un futur gouvernement : François Baroin, confie-t-il, « serait un très bon choix de Premier ministre ».
Sur le fond, le candidat a notamment
expliqué qu'il augmenterait de 300 euros toutes les retraites
inférieures à 1 000 euros. Il s'est aussi montré très inquiet quant à
la situation des finances publiques. « On va vers une crise financière.
Quand on est à 96-97 %, qu'on va passer à 100 % [de déficit,
NDLR], on est dans la zone rouge. La crise financière, elle est forcément
devant nous. »
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Ce bon BAROUIN
bouche trou sans amour propre joker bon élève de cette droite 1er de
la classe Chirac qui se plie aux choix de celui possible pour remporter cette
finale déplorable d’un plan B avorté !
Et de cette
clique de vieux politiciens chevaux de retour usés et ringards loin du
changement que veulent beaucoup de français !
Mais tout cela
ne s’appelle pas une alternance, simplement revoir les mêmes déjà trop vu de la
clique sarkozienne !
Alors certains
se demandent pourquoi voter car les extrêmes c’est pareil donc, il faut
seulement qu’ils aient le courage de vouloir vraiment changer, car ils ont d’autres
choix (et ne pas venir se plaindre
après… !)
Jdeclef 03/04/2017
13h27 LP
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire