Elections
VIDEO. «L'Emission
Politique»: Ce qu'il faut retenir du passage d'Emmanuel Macron
CAMPAGNE
Le candidat d’En Marche ! à la présidentielle
était l’invité de France 2, ce jeudi…
Emmanuel Macron s’est fait titiller par les questions de David Pujadas et Léa Salamé pendant deux heures et demie lors de « L’Emission politique », ce jeudi sur France 2. Que faut-il retenir du passage du candidat à la présidentielle ?.
« Ménager
la chèvre et le chou »
David
Pujadas a estimé que le candidat d’En Marche ! Essayait parfois de
« ménager la chèvre et le chou ». Une séquence de l’émission était
même consacrée à l’un des tics de langage de l’ancien ministre, « et en
même temps ». De fait, Emmanuel Macron est resté très nuancé, voire flou,
sur plusieurs sujets.- Sur l’énergie, il a jugé que « le nucléaire en France a
un avenir » tout en défendant sa proposition d’en réduire la part.
« Je suis pour une transition », a-t-il affirmé.
- Au sujet de Notre-Dame-des-Landes, il s’est dit favorable à
la construction de l’aéroport, mais après une période de médiation de six
mois pour faire évacuer la ZAD (zone à défendre).
- Quant au casting de son éventuel futur gouvernement, il a
indiqué qu’il n’y aura « pas d’anciens ministres » mais qu’il se
réserve le droit de faire des exceptions pour « une, deux
individualités ».
La carte d’Amiens et les chèques de François Ruffin
Dans
le rôle de l’invité mystère, François Ruffin, réalisateur du documentaire Merci patron et candidat aux législatives, a
reproché à l’ancien ministre son « silence » concernant l’usine
Whirlpool d’Amiens, que le géant de l’électroménager compte fermer en
juin 2018.Le rédacteur en chef de Fakir a offert une carte d’Amiens et trois chèques pour dénoncer les milliards versés aux entreprises au titre du CICE, les millions d’euros d’aides versées à Whirlpool par l’Etat, et les « cadeaux » qu’il accuse Emmanuel Macron de vouloir faire au CAC 40.
Macron égratigne sans le nommer Hollande
François
Hollande a pris quelques tacles de la part de son ancien protégé. Interrogé sur
la façon dont il envisage la présidence, Emmanuel Macron
répond : « J’aurais cette distance avec la vie médiatique […] En
particulier quand on préside, on n’est pas le copain des journalistes »,
faisant référence aux nombreux livres d’entretien paru durant le quinquennat.Acte II, lorsque l’ancien ministre est interrogé sur le sort de l’usine Whirlpool d’Amiens. Il renvoie cette fois le chef de l’Etat à ses promesses non tenues à Florange. « Je vais faire quoi ? Aller sur un camion et dire qu’avec moi, ça ne fermera pas ? On sait que c’est pas vrai ».
Fillon, Macron, qui est le plus rebelle ?
Lors
du dernier débat avec le bras droit de Fillon, on a assisté à une étrange passe
d’armes sur les brevets en « rebelle attitude » de Macron. Cela a
donné à peu près ça :- Bruno Retailleau : « Vous vous présentez comme
un antisystème… Avouez que votre parcours n’est pas vraiment celui d’un
rebelle ! »
- Emmanuel Macron : « Le rebelle du système, le balafré, c’est l’ancien Premier ministre… La victime du complot du cabinet noir, on connaît, il le fait à chaque fois… Moi, j’ai jamais dit que j’étais un rebelle, mon parcours je l’ai fait. Je suis le fruit de mon travail, je ne suis pas de la noblesse d’Etat ».
Des invités de la société civile… engagés ?
Barbara
Lefebvre, l’historienne
invitée à débattre avec Emmanuel Macron a été accusée sur Twitter de faire
partie du comité de la société civile de François Fillon. L’intéressée a nié
sur le plateau soutenir le candidat LR. Et pourtant, plusieurs internautes
ont relevé qu’elle apparaissait bien sur le site de François Fillon et devait
même intervenir demain lors d’une réunion publique vendredi à Angers.Interrogation également sur Sayah Baaroun. Des soutiens d’Emmanuel Macron ont affirmé sur les réseaux sociaux que ce chauffeur de VTC en région parisienne, et secrétaire général de SCP VTC UNSA, était un soutien de Jean-Luc Mélenchon.
Seul cas repéré : Sayah Baaroun était invité mercredi à la soirée de présentation du livret « Alternatives à l’ubérisation » de la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon.
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Il lui reste à tenir 16 jours et à continuer de convaincre les indécis ou les pleutres qui ont peur d’une nouveauté ou d’une jeunesse dont le pays a besoin !
Et puis, soyons un peu sérieux il n’est ni à gauche, ni à droite, il est MACRON qui s’est fait tout seul, sans l’aide des politicards et partis ringards qui sont loin d’être vertueux que nous subissons depuis des décennies !
Bien sûr il a été engagé par F.HOLLANDE et l’a quitté à deux reprises pour désaccord politique, ce qui est moins pire et surtout plus logique et franc qu’un HAMON frondeur ministre éphémère borné et médiocre qui a essayé de faire capoter le gouvernement VALLS (sans avoir eu avec ses amis le courage d’aller jusqu’au bout) et qui a été démissionné par le président !
Et puis surtout il fera surement un président correct avec des défauts surement, car qui n’en n’a pas, mais loin d’être pire que les autres que l’on connait pour les avoir trop vu et il a une expérience de gestion économique non négligeable et a travaillé lui, avant d’être politicien à vie comme d’autres qui ne savent même pas ce sait et pour cause, complètement déconnecté des réalités du peuple !
Et éviter surtout un FILLON rigide pas net qui veut étriller les français lambda qu’il déteste qui déjà souffrent déjà trop pour bien d’entre eux de plus en plus nombreux !
Pour les autres utopiques illuminés ou irresponsables, les renvoyer à leurs idées partisanes désuètes telles que MELENCHON le vieux tribun, M.LE PEN digne fille de son père, HAMON arrivé là par accident de primaire et solder ces vieux partis ringards !
Oui le changement, c’est peut être maintenant pour faire du neuf, et pas à gros risque, surtout bien moins pire que de reprendre un ou une des autres médiocres et usés par cette politique sclérosée de cette V eme république obsolète !
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