F.FILLON (fait comme d’autres) changer d’avis au gré des réactions des électeurs pour essayer de récolter le maximum de voix !

(ou un vol pour la France?)

Fillon : la sensibilité de Sens commun n'est pas la sienne, mais... (Pourquoi pas les faire entrer au gouvernement a –t’il dit ?!)

Mercredi soir, François Fillon a affirmé sur TF1 qu'il ne fallait "pas jeter le discrédit" sur ce mouvement, émanation politique de la Manif pour tous.

On lui reproche d'être trop proche du mouvement. Ce mercredi, François Fillon a mis les points sur les « i ». Le candidat a affirmé que la sensibilité de Sens commun n'était pas la sienne mais qu'il ne fallait « pas jeter le discrédit » sur ce mouvement, émanation politique de la Manif pour tous. « Ma majorité ira de Sens commun à Nathalie Kosciusko-Morizet », a réaffirmé l'ancien Premier ministre sur TF1, rappelant que, dans le premier gouvernement qu'il avait constitué avec Nicolas Sarkozy, « il y avait Alain Juppé, il y avait Christine Boutin, ça ne posait de problème à personne ».

« On a des désaccords sur beaucoup de sujets »

Selon lui, « il y a trop de sectarisme dans la vie politique française. On ne peut pas comme ça jeter le discrédit sur telle personnalité qui s'inscrit dans le cadre républicain ». « Tant qu'on s'inscrit dans le cadre républicain, on a vocation à participer, en tout cas à droite et au centre, à une majorité », a-t-il ajouté. « J'ai un projet politique que je présente aux Français - ce n'est pas le projet de Sens commun -, c'est celui-là qui serait mis en oeuvre par les membres du gouvernement, qui devraient faire preuve de loyauté et de discipline », a fait valoir le candidat. « Pour rassembler les Français, il ne faut pas jeter le discrédit sur telle ou telle catégorie », a insisté François Fillon. « Les gens de Sens commun représentent une filiation politique, une idéologie, une sensibilité. Ce n'est pas la mienne. Ils le savent très bien. On a des désaccords sur beaucoup de sujets, mais ils me soutiennent et ils soutiennent mon projet », a-t-il enchaîné. « Ils ont été assez loyaux et fidèles dans des moments difficiles », a également affirmé ce député LR de Paris, dans une allusion à ses ennuis judiciaires.
Interrogé ce week-end sur la possibilité de faire entrer dans son gouvernement des personnalités de Sens commun, François Fillon avait répondu « pourquoi pas ? », ce qui lui a valu des critiques à droite, notamment de la part de l'ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin et du député Dominique Bussereau, anciens soutiens d'Alain Juppé à la primaire.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Mais là, avec "sens commun «ce mouvement à consonance religieuse, comme il a dit F.FILLON par son orientation personnelle religieuse (jésuite) il se trompe et fait une erreur de plus !

D'ailleurs cela a déclenché un certain tollé de vouloir mélanger religion et politique dans cette campagne électorale déjà houleuse et déplorable car les religions sujet sensible divisent les français (surtout avec l’émergence du terrorisme que l'on amalgame souvent à tort à l'islamiste et aux musulmans de France)

Parallèlement à cela s'attaquer au mariage pour tous ou d'autres mesures de société entérinée par la loi (qu'il veut d'ailleurs modifier) ne peut que semer le trouble et raviver des rancœurs que l'on a subit lors de la promulgation de ces nouveaux faits de sociétés !

Et le fait surtout de peut-être pourquoi pas faire entrer au gouvernement ce groupuscule extrémiste à tendance religieuse marquée n’est pas sérieux et sujet à problèmes, il y en a assez comme cela, et bien d'autres plus importants à régler !

D'ailleurs, même ses soutiens dans son camp ne sont pas d'accord avec lui exemple A.JUPPE !

Si pour Mr FILLON réformer c'est démolir certaines lois innovantes (qui peuvent ne pas plaire à tout le monde comme beaucoup d'autres) on fait ça depuis trente ans entre gauche/droite et la France n'avance pas et fait du sur place !

Cet ex 1^er ministre sarkozien veut nous resservir les vieilles méthodes de réformes déjà vu et subi avec les même équipes en les recouvrant d’un vernis de soit disant nouveauté qui éclatera par la dureté avec laquelle, elles seront menées !

Lui faire confiance serait une grande erreur, car « il est franc comme un âne qui recule » et ne veut le pouvoir que pour en jouir lui et sa caste de nantis, il l’a déjà prouvé par son attitude de faux jeton !

Que les français lambda plus nombreux qui peuvent éviter cela et avoir le changement fassent preuves de bon sens en allant voter sans se laisser avoir une fois de plus par veulerie comme des moutons de Panurge !


Jdeclef 20/04/2017 10h03LP