mardi 12 juin 2018

Bon tant pis, on ne va pas le plaindre tout de même ?!


Attentat de Nice : un détenu soupçonné d'être impliqué dans l'attaque se suicide

Aleksander H., soupçonné d'avoir apporté une aide logistique à Mohamed Lahouaiej Bouhlel, s'est pendu dans sa cellule, révèle « Libération » ce mardi 12 juin.

Un détenu mis en examen dans l'enquête sur l'attentat de Nice s'est donné la mort vendredi 8 juin à Fleury-Mérogis, révèlent nos confrères de Libération. Aleksander H., 38 ans, a été retrouvé pendu avec un lacet dans la cellule qu'il occupait seul. Incarcéré depuis décembre 2016, Aleksander Hasalla était seul en cellule mais pas à l'isolement. Il devait répondre du chef d'association de malfaiteurs terroriste criminelle.
Aleksander H., dont la détention provisoire venait d'être prolongée le 5 juin, était soupçonné d'être l'un des maillons de la chaîne d'approvisionnement en armes du terroriste Mohamed Lahouaiej Bouhlel. Mais son rôle dans l'organisation de l'attaque au camion-bélier semblait périphérique, indique le quotidien. Selon l'AFP qui cite des sources proches du dossier, Aleksander Hassala, un Albanais vivant entre la France et l'Italie, était accusé d'avoir fourni un pistolet automatique et une kalachnikov à un couple d'Albanais, qui les avaient eux-mêmes vendus à un proche du tueur. Des liens avec la mouvance islamiste n'avaient pu être établis et la qualification terroriste de son dossier était sur le point d'être abandonnée.

Une enquête toujours en cours

Il s'agit du deuxième détenu incarcéré pour des faits de terrorisme qui se suicide en détention. En 2015, Yassin Salhi, lui aussi incarcéré à Fleury-Mérogis après avoir décapité son patron et attaqué un site gazier en Isère, s'était suicidé.
Le 14 juillet 2016, le Tunisien Mohamed Lahouaiej Bouhlel lançait son camion à pleine vitesse sur la foule réunie sur la Promenade des Anglais pour assister au feu d'artifice tiré à l'occasion de la Fête nationale. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique le 16 juillet, avait fait 86 morts et blessé 458 personnes. Deux ans après, l'enquête est toujours en cours.
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Et puis cela va arranger tout le monde, il aurait peut-être pu dire des choses désagréables ou sa cellule n'était pas assez confortable ?!

Au moins, celui-là ne ressortira pas de prison !

Jdeclef 12/06/2018 12h12 LP

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