jeudi 21 juin 2018

Pourrir les départs en vacances des français lambda un nouvelle lâcheté de ses leaders syndicalistes CGT et SUD RAIL qui ne savent que faire la grève depuis des décennies à la SNCF !


SNCF : des appels à la grève réguliers pendant les vacances

La CGT-Cheminots a fait savoir, mercredi soir, que les dates de ses jours de grève en juillet et en août ne seraient pas dévoilées en avance.


Il ne faudra pas compter sur un calendrier de grève précis. Mercredi, en fin d'après-midi, la CGT-Cheminots a fait savoir qu'elle appellerait « régulièrement à la grève » sur les mois de juillet et d'août, soit en pleine période de vacances d'été. L'organisation syndicale a précisé que les dates de ces jours d'appel à la grève « seront dévoilées au fur et à mesure, en fonction de l'avancée ou non de négociations » qui doivent avoir lieu sur les suites de la réforme ferroviaire. Réforme qui a été votée le 14 juin par les parlementaires.
Les journées de grève « pourront être calées sur les départs en vacances, mais ne le seront pas exclusivement et majoritairement », car « ce n'est pas notre cible principale », a expliqué Laurent Brun, secrétaire général de la CGT-Cheminots, à l'issue de la réunion de la commission exécutive fédérale de son syndicat. Il y aura « beaucoup d'autres dates », comme celles « de réunions de l'entreprise » qui, « pour l'instant, ne sont pas confirmées », a-t-il ajouté. « Les premières dates de grève concerneront la première semaine de juillet et seront annoncées fin juin de façon à permettre une mobilisation la plus unitaire possible » avec les autres syndicats de la SNCF, a souligné le syndicaliste.

Pas de réaction de la direction

La première date pourrait être le mercredi 4 juillet puisque la CGT-Cheminots a déposé ce mercredi « une alerte sociale » (demande de concertation immédiate), lançant le processus qui conduit au dépôt d'un préavis de grève, a-t-il précisé. « On continue à défendre la SNCF. On touchera à des départs en vacances, ça ne nous interdira pas de faire grève », a-t-il prévenu. La CGT-Cheminots demande notamment au gouvernement de « geler le nouveau plan de baisse du fret ferroviaire » que prévoit la direction de la SNCF, écrit-elle dans un communiqué. Le syndicat souhaite aussi que le patronat de la branche ferroviaire « identifie les contraintes spécifiques aux métiers ferroviaires et ouvre une négociation sur les contreparties apportées aux cheminots ».
La CGT demande également à la direction de la SNCF de « changer d'orientation sur plusieurs points de sa politique afin de gommer 15 ans de dérives ». Interrogée par l'AFP, la direction de la SNCF n'a pas souhaité réagir. Le calendrier de la grève par épisodes lancée le 3 avril s'achèvera le jeudi 28 juin, 36e jour du mouvement contre la réforme ferroviaire. Mardi, l'Unsa-Ferroviaire a décidé de ne pas poursuivre la grève après le 28 juin. « Notre stratégie, c'est de peser sur les négociations » dans la branche et l'entreprise, pas sur « les grands départs en vacances », avait expliqué son secrétaire général Roger Dillenseger.

Réunion chez SUD-Rail le 26 juin

La CFDT-Cheminots a aussi décidé, mardi, de poursuivre la grève jusqu'au 28 juin pour peser sur les négociations avec la direction de la SNCF, mais elle a réservé à plus tard sa décision sur une poursuite du mouvement au-delà. La date de prise de cette décision « n'est pas définitivement fixée. Cela pourrait avoir lieu avant » le 28 juin, a indiqué à l'AFP Sébastien Mariani, secrétaire général adjoint de la CFDT-Cheminots. Mercredi matin, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a « souhaité » que son syndicat ne prolonge pas la grève après le 28 juin, prenant acte des « avancées concrètes » obtenues pour les cheminots, même si la réforme ferroviaire ne lui « convient pas », et aussi parce que les grandes vacances, c'est un « moment un peu “sacré” ».
SUD-Rail, qui a lancé depuis le 3 avril une grève illimitée, veut, comme la CGT, poursuivre le mouvement cet été. Le syndicat « réunira ses structures le 26 juin afin de prendre une décision collective » sur la suite du mouvement, a indiqué à l'AFP Erik Meyer, secrétaire fédéral et porte-parole de SUD-Rail.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Alors ils prennent en otage tout le monde, car ils ne savent faire que cela pour emmerder (excuser ma trivialité) les clients qui paient leurs billets et le gouvernement impuissant qui ne fait rien pour les forcer à travailler, c’est une honte bien française !

Il n'y a pas de quoi être fier !

Cela devient l'anarchie petit à petit !

Jdeclef 21/05/2018 09h55 LP

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire