mercredi 20 juin 2018

Ces "machins" ne servaient peut-être pas à grand-chose mais permettaient :


Les États-Unis se retirent du Conseil des droits de l'homme de l'ONU

VIDÉO. Le pays refuse de « faire partie d'une organisation hypocrite et servant ses propres intérêts », selon l'ambassadrice américaine auprès de l'ONU, Nikki Haley.


Nouveau coup de tonnerre de la diplomatie américaine. Les États-Unis se sont retirés du Conseil des droits de l'homme des Nations unies, a annoncé mardi 19 juin l'ambassadrice américaine auprès de l'organisation, Nikki Haley, en qualifiant cette institution de « cloaque de partis pris politiques ». « Nous prenons cette mesure parce que notre engagement ne nous permet pas de continuer à faire partie d'une organisation hypocrite et servant ses propres intérêts, qui fait des droits de l'homme un sujet de moquerie », a poursuivi Mme Haley. Depuis l'arrivée début 2017 du républicain Donald Trump à la Maison-Blanche, les États-Unis se sont retirés de l'Unesco, ont coupé plusieurs financements à des organes de l'ONU et ont annoncé notamment leur retrait de l'accord de Paris sur le climat et de l'accord nucléaire avec l'Iran endossé par les Nations unies.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres « aurait préféré que les États-Unis restent au Conseil des droits de l'homme », a aussitôt réagi son porte-parole. Ce dernier « joue un rôle très important dans la promotion et la protection des droits de l'homme dans le monde », a ajouté Stéphane Dujarric dans un communiqué. L'ONG Human Rights Watch a également déploré cette décision qui « va mettre le pays en marge des initiatives mondiales cruciales pour défendre les droits de l'homme ». Ce retrait américain de l'institution basée à Genève a longtemps été brandi comme une menace par Washington. Mi-2017, Nikki Haley avait appelé à une profonde réforme de l'organe principal du système onusien en matière de droits de l'homme. Depuis l'arrivée début 2017 du républicain Donald Trump à la Maison-Blanche, les États-Unis se sont retirés de l'Unesco, ont coupé plusieurs financements à des organes de l'ONU et ont annoncé notamment leur retrait de l'accord de Paris sur le climat et de l'accord nucléaire avec l'Iran endossé par les Nations unies.

Critique contre la politique des séparation d'enfants

Cette annonce intervient au lendemain de vives critiques du Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Zeid Ra'ad Al Hussein contre la politique « inadmissible et cruelle » des autorités américaines de séparation d'enfants de leurs parents sans-papiers à la frontière mexicaine. Mais Nikki Haley et Mike Pompeo ont assuré que la décision était liée à l'échec des tentatives de réforme du CDH. « Malheureusement, il est maintenant clair que notre appel à la réforme n'a pas été entendu », a dit Mme Haley.
Le CDH a été créé en 2006 pour promouvoir et protéger les droits humains à travers le monde mais ses rapports ont souvent contredit les priorités américaines. En particulier, le fait qu'Israël soit le seul pays au monde ayant un point fixe (appelé point 7) à l'ordre du jour de chaque session, soit trois fois par an, provoque la colère des États-Unis. Washington, dont le mandat au Conseil s'achevait en principe en 2019, avait aussi réclamé que l'exclusion des États membres commettant de graves violations des droits de l'homme soit votée à la majorité simple et non aux deux tiers, et que le processus de sélection des États membres soit renforcé. « Les pays (membres) se sont entendus pour saper la méthode actuelle de sélection des membres », a déclaré M. Pompeo. « Et le biais continu et bien documenté du Conseil contre Israël est inadmissible. Depuis sa création, le Conseil a adopté plus de résolutions condamnant Israël que contre le reste du monde », a-t-il ajouté.
L'ambassadeur d'Israël à l'ONU Danny Danon s'est réjoui de ce retrait et a remercié les États-Unis pour leur refus « de la haine aveugle à l'égard d'Israël dans les institutions internationales ». Quant à l'organisation de défense des droits de l'homme Human Rights Watch (HRW), elle a vivement critiqué ce nouveau repli. Le CDH a « joué un rôle important dans des pays comme la Corée du Nord, la Syrie, la Birmanie et le Soudan du Sud », a dit le patron de l'ONG Kenneth Roth. « Mais Donald Trump n'est intéressé que par la défense d'Israël », a-t-il dénoncé. Le Conseil « est loin d'être parfait, mais il est une force importante pour la reddition de comptes et la justice. En se retirant, les États-Unis sapent délibérément les droits de l'homme de tous les peuples partout dans le monde et leurs luttes pour la justice », a de son côté critiqué Salil Shetty, secrétaire général d'Amnesty International.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Indirectement de donner bonne conscience à certains grands pays notamment occidentaux libres et démocratiques ?!

Que ce soit l’ONU les droits de l’homme, l’UNESCO etc. :

Les USA à l’image de leur président jouent personnel et simplement pour leur pays rien d’autre en privilégiant les avantages qu’ils peuvent en tirer !

On le voit nettement en ce qui concerne l’immigration par exemple ou sa politique économique protectionnistes que c’est la politique de D.TRUMP qu’il n’avait caché à personne lors de sa campagne présidentielle !

Et sur le fond malgré que ce soit excessif pour ces associations mondiales humanitaires peu efficaces, cela n’a jamais empêché les guerres de tout ordre de perdurer dont souvent hypocrites pilotés par des bien-pensants donneurs de leçons !

Toutefois cela permettait des gardes fous existants qu’une fois de plus le président US et son administration ont balayé d’un revers de main ou de twitte rageur !

Ceci étant cela fait penser indirectement à notre président en moins excessif à dire je fais ce que je dis, c’est peut-être une nouvelle façon de gouverner plus durement ce qui semble plaire à leurs peuples ?!

A noter ne les citons pas mais tout le monde comprendra certains dirigeants totalitaires plébiscités par leur peuple que se soit des démocratures ou dictatures appliquent déjà cette méthode de gouvernance !

Cela devient très préoccupant dans notre monde déjà instable avec par exemple nos jeux footballistiques ou J.O. jeux du cirque moderne pour endormir le bon peuple !

En fait au niveau des idées on régresse car on n’oublie le passé, pas si loin par trop de confort dans nos pays occidentaux riches !

Jdeclef 20/06/2018 11h53

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire