vendredi 29 juin 2018

Je n'aime pas particulièrement DEPARDIEU en tant qu'homme par ses attitudes déjantées, excessives et mal élevées !


Les journalistes, bêtes noires de Gérard Depardieu

En visite à Bruxelles pour le Festival international du film, l'acteur s'en est une nouvelle fois pris aux journalistes. Un recadrage en règle.

Nouvelle algarade entre Depardieu et des journalistes, venus couvrir sa remise de médaille d'honneur de la ville de Bruxelles. Attablé autour d'un verre de vin, l'acteur n'avait manifestement pas envie de répondre aux questions des médias qui papillonnaient autour de lui. Il s'est montré rapidement agacé lorsqu'une reporter de la chaîne RTL lui a demandé où il s'était installé dans la capitale, le temps du Festival international du film. « Je ne vais pas vous dire le quartier où je suis. Déjà que je peine à me déplacer et à sortir. Heureusement que je prends des scooters, que je suis en casque et que la police m'aide. Alors, vous n'allez pas vous y mettre. Vous allez me foutre la paix quand même, OK ? Même si vous êtes jolie. »
Le ton est monté crescendo quand on lui a demandé ce qu'il aimait dans Bruxelles. « Non, rien ! J'aime pas les journalistes, j'aime pas répondre aux questions, ça me gonfle, OK ? Merci, les gars, merci. » Et d'ajouter : « Je ne parle pas aux journalistes, bordel ! Mais c'est pas vrai ! Mais c'est quoi, cette maladie ? ! » Avant de voir les organisateurs écarter les importuns…

Foucades et excès

Gérard Depardieu n'a jamais porté les médias dans son cœur et leur a dit très souvent sa façon de penser, sans filtre, fidèle à lui-même, lançant parfois des insultes à ceux et celles qui lui déplaisent fortement – en 2013, il traitait de « salope » une journaliste russe dont les reportages l'avaient rendu furieux. Les rapports se sont franchement détériorés quand il a annoncé son exil fiscal sous François Hollande, accusant la presse d'avoir construit un personnage caricatural très loin de la vérité. Tout en en rajoutant parfois dans l'excès, par ses propos ou ses foucades dont il a le secret.
Je me méfie des journalistes comme je me méfie des flics.
« Ils sont à l'affût », écrit-il dans son livre très personnel Monstre, édité l'an dernier au Cherche-Midi. « Ils attendent le dérapage, ils le provoquent s'il ne vient pas. [...] Comme je suis quelqu'un qui pense tout haut, que je n'ai pas de barrières et que je n'aime pas me méfier, il m'arrive parfois de raconter des conneries. Qui ensuite s'étalent sur Internet. Qui font vendre du papier. Je n'en veux plus de cette hypocrisie. Alors, arrêtez d'écouter tous ces cons qui prétendent raconter mon histoire. »
Dans Le Journal du dimanche, il précisait encore sa pensée, quitte à entretenir lui-même ce buzz qu'il déteste tant. « Je refuse de faire des pipes aux journalistes, commentait-il avec son style fleuri. Ils devraient se contenter de retranscrire ce que je dis mot pour mot. Je me méfie des journalistes comme je me méfie des flics. [...] Les journalistes ne sont plus des gens qui informent, mais des gens qui dénoncent. On est en garde à vue, avec eux. À l'heure des réseaux sociaux, un mot, une virgule suffit à vous faire condam­ner. »
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Mais en ce qui concerne les journalistes et les médias en général et certains particulièrement odieux et irrespectueux, il a raison, ils ne respectent rien ni personne !

Pour autant est-ce à G.DEPARDIEUX de donner des leçons on peut vraiment en douter, c'est un peu « l'hôpital qui se fout de la charité » !

Jdeclef 29/06/2018 09h38LP

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