SNCF : le taux de grévistes tombe à son plus bas
Lundi matin, il atteignait 13,97 %. Cela représente son
plus bas niveau en semaine depuis le lancement début avril de la grève par
épisodes.
Le taux de grévistes à la SNCF atteignait lundi 28 mai au matin 13,97 %, son plus bas niveau en semaine depuis le lancement début avril de la grève par épisodes contre la réforme ferroviaire, selon les chiffres publiés par la direction. Pour la deuxième fois, le taux des conducteurs en grève tombe sous la barre des 50 %, s'élevant à 49,8 % lundi, précise la direction dans un communiqué. En ce 23e jour de grève, 40,9 % des contrôleurs et 20,4 % des aiguilleurs sont en grève. Le précédent taux global de grévistes le plus bas, en milieu de matinée et en semaine, avait été enregistré mercredi, à 14,22 %.
Les cheminots ont entamé ce lundi 28 mai leur douzième séquence de grève depuis le début du mouvement en avril. Invité sur RTL ce lundi 28 mai, le patron de la SNCF Guillaume Pepy a expliqué qu'il était « inimaginable » que la grève se poursuive cet été. « Personne parmi les Français ne supporterait que la grève morde sur les grandes vacances et je pense que les cheminots eux-mêmes, qui sont des gens responsables, n'ont pas du tout envie de gâcher les vacances des Français », a-t-il déclaré.
22,3 % de grévistes au sein des
personnels d'exécution
Lundi, à la veille de l'arrivée du projet de
loi de réforme ferroviaire en discussion au Sénat pour trois jours de débats,
il y avait 22,3 % de grévistes au sein des personnels d'exécution,
12,6 % chez les agents de maîtrise et 3,9 % parmi l'encadrement. La
SNCF avait annoncé pour lundi des prévisions de trafic perturbé, avec deux TGV
sur trois, un TER sur deux, trois Transilien sur cinq et deux Intercités sur
cinq. Cet épisode de grève s'achèvera mercredi à 7 h 55.Après le vote « très au-delà de la seule majorité » à l'Assemblée, les trois jours de débats au Sénat vont « permettre d'aboutir à un texte conforme à la volonté que porte le gouvernement », avec notamment la reprise de « certains apports demandés par l'Unsa et la CFDT », soulignait Édouard Philippe dans un entretien au Journal du dimanche . Le président du Sénat, Gérard Larcher, (LR) estime, lui, que la chambre haute dans sa majorité votera la loi « sur les grands principes », mais dans une version « améliorée ».
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Car qui souffre de cette grève organisée par quelques poignées de pseudo syndicalistes bornés qui veulent faire tomber le gouvernement et encore plus le président, ce qui est totalement utopique, car il est élu pour 5 ans ?!
Car les usagers clients de la Cie ferroviaire qui paient leurs billets et dont beaucoup sont obligés de se servir de ce service public qui n'appartient pas à ses employés mais aux français pour se déplacer et travailler en tant que transport en commun public !
Il faut que cela cesse, la loi est votée avec sa réforme acceptée à une large majorité par nos députés représentants du peuple et de toute façon maintenant ces trublions de certains cheminots n’ont fait que rabaisser encore plus l’opinion qu’ont les voyageurs, car les incidents qui n’ont pas manqué en 2017 ont confirmé cela !
La SNCF est une société d’état corporatiste anachronique dont la culture est la grève à outrance qu’elle utilise depuis des décennies, c’est inconcevable !
Jdeclef 03/06/10h11
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