mardi 5 juin 2018

Déradicaliser ces individus c'est un vœu pieux ? Plutôt mission impossible !


Terrorisme : une cellule spécialisée pour les condamnés libérés

Alors que de nombreux détenus radicalisés devraient retrouver la liberté, RTL révèle qu'une cellule dédiée à leur surveillance sera bientôt effective.


Le gouvernement veut répondre à l'inquiétude de la radicalisation en prison. Une cellule spécialisée surveillera bientôt les condamnés pour terrorisme libérés de prison, révèle RTL. Une cinquantaine d'individus seront remis en liberté cette année ou l'an prochain et le ministère de l'Intérieur entend bien garder un oeil sur eux. Une décision qui intervient alors que François Molins, procureur de la République de Paris, a évoqué il y a peu de temps un « risque majeur » lié à la sortie de ces détenus. Il réclamait alors une meilleure communication entre les différents services pénitentiaires et de renseignements afin de prévenir tout risque d'attentat.
RTL précise que cette cellule, qui sera mise en place dans quelques semaines, sera hébergée au sein de l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste, l'Uclat. Elle aura pour objectif de suivre, sur le long terme et dès leur libération, les personnes condamnées pour terrorisme. Elle fera travailler en étroite collaboration les différents services de renseignements, avec, au premier plan, les membres du renseignement pénitentiaire. Ce sont eux qui préviendront la cellule de chaque sortie et qui lui fourniront des informations sur le profil d'un ancien détenu. Ils délivreront aussi une évaluation de sa dangerosité, basée sur les observations qui auront pu être faites pendant sa détention et sur son comportement derrière les barreaux.
 « Plus ça va, plus je me rends compte que c'est impossible de déradicaliser un détenu »
Le degré de radicalisation d'un détenu évalué, sa surveillance sera affectée à un service de renseignements, explique RTL. La DGSI s'occupera ainsi des détenus à risque et le renseignement territorial assurera la surveillance des autres. Une étroite surveillance qui, espère le gouvernement, permettra de ne pas perdre leur trace et de s'assurer de leur réinsertion dans la société.

Cellule pour prisonnier libéré ? Totalement utopique, comment faut-il comprendre cela ? !

Notre code pénal est inadapté, car les peines ne sont pas assez longues pour les garder assez longtemps pour qu’ils ne soient plus dangereux, çà c’est un fait !

Quant à surveiller des criminels radicalisés libérés on ne sait pas faire, car ils y en auraient trop comme les malades psychiatriques que l’on dit guéris et qui récidivent parce que par exemple comme pour les schizophrènes qui oublient de prendre leurs traitements !

C’est comme les truands et autres malfrats de tous poils de droit commun « qui a bu boira » ils récidivent et recommence leurs délits et crimes divers quand on les relâche trop tôt !

Mais pour vider les prisons que ne feront-on pas, mais avec des fanatiques fous de religions quel qu’elles soient aux cerveaux lavés, il n’y a pas d’autre solution que de les enfermer très longtemps jusqu’à ce qu’ils soient trop vieux pour être dangereux ?!

Une justice déjà trop laxiste cela ne s’arrange pas, mais au pays des bisounours peuplé de bienpensants hypocrites donneurs de leçons on ne s’étonne plus de telle méthode fumeuse pour ce type de criminels déjantés !

Puisqu’il est impossible de déradicaliser de tels individus, il faut faire simple ne pas les relâcher car incurables (car nos bienpensant, ils osent, c’est même à çà qu’on les reconnait hélas) tant pis pour les résultats déplorables après !

Jdeclef 05/06/2018 10h00 LP

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