mercredi 2 décembre 2020

Si DARMANIN baisse les bras devant les obstacles de la rue ambivalente, mais sans garde-fou pour n'importe quels fait divers qui devient dangereux, même criminels !?

 

Gérald Darmanin, arrête-moi si tu peux...

Comment le ministre de l'Intérieur compte tirer avantage de la tourmente actuelle liée aux violences policières et la loi sécurité globale.

«Quand on est en haut de la montagne, c'est normal que le vent souffle ! » Au beau milieu de la bourrasque, Gérald Darmanin a reçu pour un petit déjeuner au ministère de l'Intérieur un lointain prédécesseur : Nicolas Sarkozy. « Quand j'étais à ta place ici, lui a glissé son mentor pour le réconforter, j'avais contre moi le président Chirac, le Premier ministre Villepin, on était en pleine affaire Clearstream et ma femme était en train de partir, alors ton petit truc, là… »« Ne t'en fais pas, petit », aurait pu souffler le chenu Sarkozy à son impatient ex-coordinateur de campagne, qui, sur la sellette, recevant Le Point, philosophe sur le temps, plus important que le pouvoir, l'argent ou l'amour (« Le temps, c'est la seule chose que vous ne pouvez pas maîtriser »), tout en multipliant les allusions à son âge (38 ans). Au cours de cet entretien, Gérald Darmanin témoigne de sa compassion… pour ses troupes. « Il faut bien que les policiers aient un avocat, clame-t-il. L'autre jour, à la Bastille, il y a eu 98 blessés parmi les forces de l'ordre, une commissaire a été rouée de coups et doit porter une broche dans l'avant-bras. Je n'ai pas lu de tweets de footballeurs vivant à Madrid ou en Italie pour s'en insurger. » Politique madré, « très joueur, opportuniste au sens footballistique du terme », selon un pilier de la macronie, le ministre fait montre d'agilité sémantique, usant de ces formules « tontons flingueurs » qu'il affectionne. Sérénité feinte.

« Honte ». Depuis qu'Emmanuel Macron a découvert la vidéo virale du tabassage de Michel Zecler, trois jours après l'évacuation indigne d'un camp de migrants en plein Paris, quelque chose s'est brisé. Le président a eu « honte ». Le voilà qui prête l'oreille aux élus et aux conseillers qui lui susurrent l'adage « Qui a trahi trahira ». « Amateurisme », « machiavélisme », les critiques pleuvent contre « Darmalin », soudain croqué en Iznogoud. « Il est remarquablement intelligent, c'est une machine de guerre très appréciée de l'opinion, mais il se trompe d'époque. On n'est plus à l'ère de Sarko et de la racaille. La violence est partout, et c'est une erreur de jouer les va-t-en-guerre. Les flics se disent : "On a un ministre génial qui est avec nous, on peut tout se permettre" », éreinte un cadre du parti présidentiel. Qu'on ne s'y méprenne guère, il y a derrière ces flèches décochées bien des règlements de comptes non avoués venant d'anciens sarkozystes et d'élus de l'aile gauche de LREM. À lui seul, Darmanin a déséquilibré le centre de gravité de la majorité. Ce n'est pas un hasard si les ministres issus du PS, réunis dans le groupe Territoires de progrès, sont sortis de leur torpeur, sous le regard bienveillant du pouvoir, réclamant opportunément une réforme de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).

« Invirable ». Voilà l'enfant adoptif de la macronie placé sous surveillance au sommet de l'État. Le 26 novembre en fin de matinée, il se retrouve dans le bureau d'Emmanuel Macron - à sa demande, jure le trublion. Consigne lui est donnée de désavouer au journal télévisé les brebis galeuses qui ont roué de coups le producteur de rap et d'esquisser, si possible, un sage mea culpa. Le soir venu, Darmanin s'exécute. Mollement. Pas un mot pour la victime. L'Élysée fera appeler Michel Zecler le lendemain pour s'enquérir de sa santé et publiera sur Facebook un message du président en appelant à des « forces de l'ordre exemplaires ». Cinglante et rare remise au pas, après que les recadrages répétés de Jean Castex ont tous échoué. À plusieurs reprises, le Premier ministre a tenté de calmer le jeu, annonçant une saisine du Conseil constitutionnel sur l'article 24 et rapatriant à Matignon plusieurs réunions pilotées depuis Beauvau. Castex a beau répéter en petit comité qu'il n'a « aucun problème » avec son subordonné, la tempête déclenchée par Darmanin au Parlement l'a emporté sur son passage. Comme si le ministre, censé servir de fusible aux deux têtes de l'exécutif, les avait mises à découvert. En ces heures d'intense fébrilité, tout a été envisagé : le retrait de l'article incriminé ; le limogeage de Didier Lallement, préfet de police de Paris ; et, pourquoi pas, celui du « premier flic de France ». « Il pèse quoi s'il n'est plus à l'Intérieur ? » lance un macroniste. Un fantasme, tant le risque serait grand d'en faire le directeur de campagne d'un adversaire du président. « Il est invirable », riposte un proche en rappelant qu'il est le troisième titulaire du job depuis 2017. « Il met son capital politique au service du président. C'est un affectif qui fait de la politique avec ses tripes. On mouille tous les deux le maillot de 6 heures à 23 heures, on sait prendre des risques politiques », loue sa ministre déléguée à la Citoyenneté, Marlène Schiappa, qui a été son assurance #MeToo quand les féministes ont réclamé sa tête. Darmanin, lui, se targue de répondre au « besoin de l'opinion majoritaire : l'autorité », et de ne faire que son devoir : « Protéger des forces de l'ordre très attaquées, en prenant les coups à leur place. » Et le premier flic de France de ramener les « dysfonctionnements » du ministère de l'Intérieur au « délicat exercice du maintien de l'ordre » et à « une formation continue qui ne représente que douze heures par an et n'est suivie que par 15 % des effectifs ». 

Cuir épais. Heureusement, les copains sont là, qui défilent Place Beauvau dans la tourmente, du complice Thierry Solère, devenu conseiller à l'Élysée, au ministre des Outre-Mer, Sébastien Lecornu. « Sous Castaner, je vous rappelle que les flics posaient les menottes et casques à terre ! » défend l'un. « Aux échecs, on dirait que Gérald est une tour. Une pièce maîtresse. Une tour, c'est droit et raide », plaide Charles Hufnagel, ancien chef de la com' d'Édouard Philippe. L'ex-Premier ministre aussi est à ses côtés. Il est venu le voir le 25 novembre. Un soutien discret mais clair pour le maire du Havre, qui s'astreint au silence. « Le muet n'est pas sourd », philosophe un philippiste. Et il y a tous ces élus qui le considèrent comme l'un des leurs. Tel Frédéric Leturque, maire centriste d'Arras (Pas-de-Calais) : « C'est un ministre de l'Intérieur courageux qui est revenu au terrain, qui ose, qui est devant ses hommes, pas dans un poste de commandement protégé dans un sous-marin nucléaire. » Ou le judoka chiraquien David Douillet, conseiller régional francilien, qui l'a vu démarrer : « Si je dois partir à la guerre, je le prends tout de suite dans mon équipe ! »

Avis à ceux qui jurent sa perte : s'il a encaissé un coup, le trentenaire a le cuir épais. « Il est un peu surfait, mais c'est un animal politique pour le meilleur et pour le pire, observe un poids lourd de la majorité. Il est agile, il a de l'instinct, de la culture. Il met très bien en pratique cette phrase d'Édouard Herriot : "La politique, c'est comme l'andouillette. Pour que ce soit bon, il faut que ça sente un peu la merde, mais pas trop." »

Lynchage. À Paris, le 28 novembre, des manifestants s’en prennent à un policier lors du rassemblement contre l’article 24 de la loi « sécurité globale », qui visait initialement à pénaliser la diffusion malveillante d’images des forces de l’ordre.

Couscous. Cela lui a plutôt réussi depuis qu'il a conquis, à 29 ans, sa circonscription du Nord, puis la mairie de Tourcoing, terres de gauche. « Mon ENA à moi », clame ce produit de la méritocratie qui abhorre, comme Nicolas Sarkozy, les « bac +18 » coupés des réalités. Il y a chez lui, qui sculpte sa légende d'enfant de la balle, quelque chose de la revanche sociale. On connaît l'histoire, maintes fois répétée : une mère, Annie, femme de ménage, et un père, Gérard, tenancier de bar ; un grand-père maltais, Rocco, un autre tirailleur algérien, Moussa. Son deuxième prénom. Chez lui, « on préparait le couscous et on avait le drapeau français ». 

« Il y a une marque Darmanin, l'élu du Nord qui parle aux gens et se préoccupe de leurs soucis, qui n'a pas peur des mots comme "déconné" ou "ensauvagement". Mais son truc, c'est l'action. Il veut des lois et des réformes à son nom », décrypte un proche. Il a été aux écoles Sarkozy et Bertrand, où on laisse son empreinte dans les Codes civil et pénal. Après le prélèvement à la source, brillamment exécuté lors de son passage au Budget, il entend marquer de sa patte le projet de loi contre l'islam radical.

« Vista ». L'homme a du flair. Dans une autre vie, il eut même été cartomancien. Fin juin, il livrait à Édouard Philippe ce présage : « Je ne vois pas comment Macron peut te remplacer après ta réélection au Havre, mais, s'il le fait, ce sera par un maire de droite, une sorte de Jean Castex. » Lui seul, avec son incroyable vista, a vu venir l'édile de Prades. Gérald Darmanin a tout juste 30 ans quand on fait sa connaissance au printemps 2013, la bouille ronde, le sourire canaille et la moitié de sa vie dévouée au RPR et à l'UMP. Nouveau député prometteur, il lit dans la carte électorale comme d'autres sondent le marc de café. Quatre ans avant le sacre d'Emmanuel Macron, il prédit devant nous, avec un sens truculent de la formule, une présidentielle épique : François Hollande ne sera pas reconduit et la droite n'en bénéficiera pas, minée par ses querelles internes. « Hollande est beaucoup trop bas pour qu'on gagne. C'est comme France-Liechtenstein ou, si vous aimez le rugby, Nouvelle-Zélande-Fidji. C'est trop facile ! Il est devenu président avec 3 % dans les sondages, ça a développé les ego à l'UMP. Ça me fait penser à Robert Mitchum, qui disait : "Si Rintintin est devenu acteur de cinéma, pourquoi pas moi ?" » Il ne croit pas alors aux chances du « monstre sacré » Nicolas Sarkozy, ce père de substitution, de reconquérir la France, malgré ses tentatives de retour. La romance est terminée. « C'est comme s'il avait rencontré une très jolie fille et que l'amour était impossible. Il sait qu'il ne doit pas être trop collant, pas trop la draguer, mais il ne peut pas s'en empêcher, et après il s'en veut. Sarkozy, ses cartes postales aux Français, je pense qu'il les regrette. » Quant à François Fillon, « hors circuit dès le premier tour d'Indianapolis ! »... Bluffant. Une telle intuition est une invite à la prudence pour les macronistes. Lesquels se demandent, depuis qu'a éclaté l'affaire des violences policières, à quoi joue l'homme pressé de la majorité.

Pyromane. Au nom de cette redoutable prescience qui lui tient lieu de boussole politique, le ministre de l'Intérieur aurait-il enterré Emmanuel Macron à dix-sept mois de la présidentielle ? Cet homme aux fidélités successives, qui a poussé à l'ombre de Christian Vanneste, Jacques Toubon, David Douillet, Xavier Bertrand, avant Sarkozy et Macron, chercherait-il le clash pour changer d'écurie, comme le suspectent ses nombreux ennemis ? Ou flirte-t-il avec le burn-out, à force d'enchaîner les crises - dont trois attentats et une enquête pour viol - et de trop courtes nuits depuis sa nomination de juillet ? « Si vous voulez connaître la cote des uns et des autres, c'est simple, observez-le ! » éreinte Daniel Fasquelle, maire LR du Touquet, qui le dépeint en Rastignac prêt à toutes les compromissions. Comment l'élu le plus doué de sa génération s'est-il retrouvé paré du costume du pyromane, accusé de mettre le feu à la majorité, frappé d'une présomption de trahison pour avoir affaibli le Premier ministre et contraint le président à descendre de l'Olympe pour le rappeler à l'ordre ? « Le ministre qui contrôle les crises n'est pas là pour en créer ! » tonne un premier violon de la macronie, qui dresse le réquisitoire de ses fautes réelles ou supposées : tollé sur « l'ensauvagement », dérapage sur les rayons halal et casher des supermarchés, déclaration brutale contre les catholiques qui manifestent pour la reprise des offices religieux, propos ambigus sur le floutage obligatoire des forces de l'ordre dans les médias, menaces sur les conditions de travail des journalistes. Sans même évoquer cette tirade, au mieux maladroite après les morts de Cédric Chouviat et de George Floyd des suites d'une asphyxie lors de contrôles policiers : « Quand j'entends les mots violences policières, personnellement, je m'étouffe. » Le voilà suspecté d'asseoir sa popularité chez les policiers et les gendarmes, quitte à faire passer l'exécutif pour liberticide. « Le président est furieux », s'insurgent ses fidèles, qu'on a rarement vus si nerveux.

Sarko-boy. L'origine du mal ? Une disposition, introduite par Beauvau dans une proposition de loi parlementaire, pour pénaliser la diffusion malveillante d'images pouvant porter atteinte aux forces de l'ordre. Le maudit article 24, qui a mué l'un des meilleurs espoirs de LREM en problème à régler d'urgence. Qu'il est loin le temps où Emmanuel Macron vantait leurs conversations viriles « d'homme à homme » et le conviait à dîner avec sa compagne, Rose-Marie, fraîchement épousée… Le président avait fait fi des alertes des François Bayrou et consorts sur le danger de confier un poste si stratégique à un Sarko-boy. Le jeune homme s'est battu, tenant tête au président, quand il a découvert que l'Intérieur allait échoir à Jean-Michel Blanquer et qu'il n'aurait pas le grand ministère des Affaires sociales. Jean Castex a plaidé en sa faveur. Ils ont un point commun méconnu, Michel Bettan, éternel spin doctor de Xavier Bertrand. Il les a tous deux recrutés dans les années 2000, l'un comme directeur de cabinet à la Santé, l'autre pour piloter les affaires juridiques de l'UMP. Pour le président, l'occasion était trop belle d'affaiblir le patron de la région Hauts-de-France en bombardant son ancien lieutenant au sixième rang protocolaire du gouvernement. Prudent, il avait tout de même conservé un double des clés en imposant un proche, Pierre de Bousquet de Florian, ancien de la DST, à la tête du cabinet ministériel.

Très vite, Darmanin a obtenu son ticket d'entrée dans les dîners politiques de l'Élysée, le saint des saints. Il pouvait se targuer d'avoir contribué au virage régalien sur le séparatisme. Le secrétaire général de l'Élysée, Alexis Kohler, parfois Emmanuel Macron, l'appelait pour humer l'air du terrain. « Qu'entends-tu à Tourcoing ? » Longtemps cantonné à un rôle de doublure, il était devenu un affranchi, une République autonome, que la macronie regardait comme une utile digue pour bétonner l'électorat de droite et s'adresser aux catégories populaires. Et le jeune homme est tellement drôle, féroce à souhait. Macron adore, qu'on considère à tort comme un gendre idéal. En 2013, Darmanin brossait ce tableau désopilant de la guerre de succession à droite : « Tout le monde est sur la ligne de départ du 100-mètres-haies. Il y a Bruno Le Maire, qui décide d'écrire un livre pour savoir s'il doit y aller. Xavier Bertrand, qui veut perdre 30 kilos avant de se lancer. Laurent Wauquiez, qui dévisse les boulons des autres. François Baroin, qui fume sa clope avant le jogging. Et il y a Usain Bolt dans les vestiaires : Sarkozy… » Avant le remaniement, Édouard Philippe pleurait de rire en regardant ses ministres et amis Gérald Darmanin et Sébastien Lecornu singer Yves Montand agitant des écus pour éveiller Louis de Funès dans La Folie des grandeurs : « Il est l'or ! L'or de se réveiller ! Monsignor ! Il est huit or ! » Le réveil a sonné. Fini de rire§

Jean-Pierre Chevènement : « Gérald Darmanin est pris à contre-pied »

« Le problème est celui de l’autorité de l’État. Gérald Darmanin est un homme intelligent qui a su, en matière de maintien de l’ordre, donner les inflexions utiles, sages, à bas bruit. Il a annoncé des consignes astucieuses pour que l’utilisation des balles de défense soit désormais soumise à l’autorisation d’une autorité hiérarchique. Ce n’est pas parce que trois abrutis tabassent un citoyen que toute la police doit être discréditée. Tous les ministres de l’Intérieur sont exposés à des dérapages d’individus qui pètent les plombs. Le ministre doit défendre la réputation du corps en sanctionnant sévèrement les comportements qui l’entachent. Et Gérald Darmanin le fait. Souvenons-nous aussi de ces policiers brûlés dans leur voiture par des voyous, ou de ceux assassinés chez eux à Magnanville sous les yeux de leur enfant par un terroriste islamiste. On reproche au ministre de l’Intérieur sa jeunesse ? Ce n’est pas un défaut. Pour son âge, je trouve qu’il se défend assez bien dans un contexte difficile. N’attendez pas de moi que je l’accable ! Il est pris à contre-pied par rapport à une politique de fermeté républicaine qu’il a le devoir de faire prévaloir quand les politiques de l’État ne s’appliquent pas. Alors que l’État est en déliquescence, il se heurte à l’incompréhension d’une majorité parlementaire tiraillée entre des tendances diverses, l’hostilité de certains membres du gouvernement et les déclarations irresponsables de conseillers anonymes se couvrant courageusement de l’autorité de l’Élysée ou de Matignon. Et il doit faire face à une campagne de presse déchaînée contre ce que Le Monde appelle “le tournant sécuritaire du quinquennat”. L’enjeu de ce débat, ce n’est quand même pas le croche-pied donné lors d’un rassemblement illégal de migrants place de la République. Trop de citoyens sincères ne doivent pas se laisser instrumentaliser par des campagnes politiciennes à l’enseigne du “Tout est permis” ou du “Il est interdit d’interdire…” Soyons clairs : le gouvernement a aussi le devoir de protéger les policiers qui font leur travail contre les voyous. » 

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Car différents faits divers de tous ordres sont trop nombreux par des individus de tous poils délinquants criminels issus de cette voyoucratie que l'on voit partout sans compter les spécialistes de fauteurs de troubles qui se glissent dans chaque manifestation que l’on appelle black blocs, casseurs vandales cagoulés et qui deviennent une habitude !

Alors qu’il démissionne, il ne sert à rien comme ces prédécesseurs politiciens serviles à la botte du monarque président bobo qui fait le bien-pensant donneur de leçon, mais qui ne sait pas faire respecter les lois de la république dont il à la charge avec vigueur ce qui lui demande la majorité silencieuse dont il devrait tenir compte !?

Car l’ordre se désagrège depuis le début du quinquennat et ce troisième ministre de l’intérieur en est la preuve qu’il faille le soutenir, car la France et les français ont besoin d’avoir des libertés mieux encadrées, car beaucoup n’en font qu’à leur aise pour fouler au pied les lois de la république dont certains même veulent les remplacer par leurs propres lois, le plus sur chemin vers une anarchie rampante !

Les français sont laxistes, voire indisciplinés et versatiles, il faut qu’ils choisissent enfin, entre ordre ou désordre, car cela devient invivable, ce que l’on subit au quotidien et ce n’est pas de la faute de la police qui fait ce qu’elle peut car corsetée par une déontologie rigide et une hiérarchie aux ordres des bien-pensants qui nous gouvernent !

Jdeclef 02/12/2020 15h58


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