samedi 31 août 2013

F.HOLLANDE PERSISTE ET SIGNE, DE PEUR DE DIRE QU’IL CHANGE D’AVIS APRÈS AVOIR RÉFLÉCHI POUR NE PAS PERDRE LA FACE EN SE CACHANT DERRIÈRE LA DÉCISION US?!


François Hollande s'est exprimé sur la Syrie le 27 août 2013.

La crise syrienne accouche d'un duo franco-américain inattendu

SYRIE - La France et les États-Unis entretiennent pourtant une histoire tumultueuse...

Le refus des Britanniques de participer à d'éventuelles frappes aériennes contre le régime syrien a accouché d'une situation inattendue: un duo États-Unis/France, deux pays aux relations fortes mais à l'histoire souvent tumultueuse

Vendredi en fin d'après-midi, François Hollande s'est entretenu pendant 45 minutes avec Barack Obama de la crise syrienne. Selon la présidence française, ils ont dit partager, avant même le rapport des inspecteurs de l'ONU, «la même certitude sur la nature chimique de l'attaque» du 21 août près de Damas «et la responsabilité indubitable du régime». Et semblent tous deux déterminés à lancer des frappes aériennes. Cette nouvelle donne comporte plusieurs paradoxes.
Le premier: deux hommes qui ont toujours juré d'agir par le canal unique de l'ONU pourraient se lancer dans une intervention sans feu vert des Nations unies. La France a toujours déclaré qu'elle agirait sous résolution du Conseil de sécurité et le président Barack Obama s'était fait remarquer dès 2003 par son opposition à la guerre en Irak. Second paradoxe: le principal allié des Américains est un président socialiste. La réflexion pourrait faire sourire mais elle a son importance aux États-Unis où les Français sont globalement pris de haut et où Barack Obama a dû répondre à de nombreuses reprises à des accusations de «socialisme» venant des Républicains américains.
Après l'annonce de Londres, le chef de l'État français a déclaré que la position de la France restait inchangée. «Chaque pays est souverain pour participer ou non à une opération. Cela vaut pour le Royaume-Uni comme pour la France», a-t-il déclaré.
Reste à savoir quel sera l'engagement concret de la France et quels moyens elle mettra à disposition des États-Unis. Paris a la capacité de tirer des missiles de croisière avec des avions de chasse ou des sous-marins.
François Hollande n'a pas exclu une action militaire alliée avant une réunion sans vote du Parlement français mercredi pour débattre de la crise.

F.Hollande droit dans ses bottes comme on a connu son prédécesseur!? 

Ce n'est pas innovant et souligne en fait la même politique interventionniste dans ces affaires arabo musulmanes que l'on devrait éviter! 

1° Sauf que là, le problème n'est pas le même à la différence de la Lybie (ou le coté religieux n'était pas flagrant même, si après les islamistes ont repris la main et d'ailleurs le pays va mal maintenant, plus qu'avant sous Kadhafi!)

Et surtout le peuple français soutenait cette action militaire majoritairement associé aux anglais avec le soutien US en sous main!

2° Maintenant pour la Syrie c'est différent et F.Hollande fait une erreur!

Plus de partenariat avec les anglais et surtout une majorité du peuple français contre cette intervention, ajouter à cela une lutte contre Bachar el Hassad , mais aussi bien sur, une guerre civile à consonance nettement religieuse!

Le fait de passer outre l'opinion des français risque de couter cher à F.Hollande dans l'avenir, surtout si cette action militaire dite ciblée est un fiasco et n'affaiblisse pas assez Bachar el Hassad et son régime!

Mais peut être que notre président à la différence de quelques uns ne pense pas à sa réélection (comme d'autre) car il n'y croit déjà plus ou qu'il ait un optimiste béat à toute épreuve?

Dans les deux cas c'est grave car des décisions épidermiques pour gloriole personnelle ne sont pas dignes d'un président de la république et préjudiciable pour notre pays qui n'a pas les moyens de ce lancer dans de telles aventures guerrières!

JD194731.08.2013 -

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire