Le
Collectif contre l'islamophobie en France officiellement dissous
Le conseil
des ministres a prononcé la dissolution, ce mercredi matin, du CCIF, accusé de
faire de la « propagande islamiste », selon Darmanin.
« Conformément aux instructions du président de la
République, le CCIF [Collectif contre l'islamophobie en France, NDLR] a
été dissous en conseil des ministres », annonce sur Twitter le
ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, mercredi 2 décembre.
« Depuis plusieurs années, le CCIF conduit avec constance une action de
propagande islamiste », estime le ministre.
Vendredi dernier, le collectif avait décidé de prendre les devants
en annonçant s'être « autodissous ». Il avait déjà redéployé peu
auparavant ses activités et son siège à l'étranger. « Nous ne pouvons
accepter une dissolution de façade et nous devons donc mettre un point final à
cette action », a déclaré le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal au
sujet de l'autodissolution du CCIF.
« Sa propagande et son action pouvaient continuer et certains
persistaient à s'en réclamer », a-t-il ajouté, fustigeant une association
qui a « dévoyé un combat noble et nécessaire » et « prêté le
flanc à toutes sortes de dérives et d'idéologies antirépublicaines ». La
dissolution du CCIF avait été annoncée par le gouvernement dans la foulée de la
décapitation, le 16 octobre, de Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie
dans un collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).
Thibault de Montbrial : « Ne pas mourir entravés par nos
valeurs »
Depuis plusieurs années, le CCIF conduit avec constance une action de propagande islamiste, comme le détaille le décret que j’ai présenté en conseil des ministres. ��
Lors de la notification du projet de dissolution, le CCIF avait
reproché au ministre de l'Intérieur d'avoir « cédé aux appels de l'extrême
droite » et assuré qu'il continuerait « à apporter son assistance
juridique aux personnes victimes d'islamophobie et informera[it] les
instances internationales de l'état d'avancement de la lutte contre les
discriminations et pour l'égalité en France ». « Une mission sera
confiée par le ministre de l'Intérieur à un parlementaire sur le renforcement
de la lutte contre les discriminations du fait de la religion », a aussi
indiqué Gabriel Attal.
BarakaCity et le collectif Cheik Yassine
Depuis octobre, deux structures ont déjà fait l'objet de
dissolution en conseil des ministres pour des motifs semblables. Il s'agit de
BarakaCity, accusée de « propager des idées prônant l'islam
radical », et du collectif Cheik Yassine, dont le président
Abdelhakim Sefrioui a été mis en examen dans l'attentat de Conflans pour
« complicité d'attentat terroriste ». Le gouvernement a également
ordonné la fermeture administrative pour six mois de la mosquée de Pantin, au
motif qu'elle avait relayé une vidéo dénonçant le cours de Samuel Paty sur la
liberté d'expression au cours duquel le professeur d'histoire avait montré des
caricatures de Mahomet.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Qui n'est pas capable de
mettre en forme rapidement une politique ferme contre ce séparatisme (plus
simplement cet islam extrémiste) qui prend trop de place dans notre société
française !
En érodant nos valeurs
républicaines et cultures ancestrales de notre pays de plus de deux millénaires
judeo/chrétienne !
Le ministre de l'Intérieur
et « des cultes », ne l'oublions pas, ne fait que son travail que
d'autres avant lui n'ont pas fait et nous ont amené depuis trente ans aux
problèmes graves que nous subissons actuellement et qui ne sont pas terminés !
Car la veulerie des
précédents gouvernements et ses dirigeants qui n'ont pas voulu assainir une
situation qui pourrit la vie des Français surtout en plus avec les guerres
moyen orientales le fameux printemps arabe fiasco européen et occidentaux, la
venue de DAESH EI et l'immigration liée à celles-ci vers l'Europe n'ont bien sûr
pas arrangées les choses en matière de religions importées indirectement qui ne
s'est pas tarie !
Il n'est jamais trop tard
pour bien faire à condition que notre président monarque ne coupe pas l'herbe
sous les pieds de son ministre de l'Intérieur (en décidant comme il l'a fait
avec cet article 24 de le censurer) pour le faire soi-disant réécrire !?
Pour montrer son pouvoir
presque absolu par son orgueil démesuré commun à nos derniers présidents !?
Dans cette Veme république
pseudo monarchique dont on n’arrive pas à se débarrasser des pratiques de l’ancien
régime !?
Jdeclef 03/12/2020 10h37
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire