jeudi 18 novembre 2021

Cette assemblée n'est qu'une caisse de retraite d’ex élus à âges canoniques empêcheurs de tourner en rond ! (Qui justement nous coutent chers à nous français !)

 

Indemnité inflation : le Sénat retoque le projet de loi

L’indemnité de 100 euros a été remplacée par des mesures « mieux ciblées ». L’Assemblée nationale pourra toutefois rétablir le texte du gouvernement.

L'« indemnité inflation » de 100 euros du gouvernement a été supprimée, mercredi 17 novembre, par le Sénat, dominé par l’opposition de droite. La mesure phare du second projet de budget rectifié pour 2021 a été substituée par un renforcement « ponctuel » de dispositifs existants jugés « mieux ciblés ». La Haute Assemblée a adopté par 145 voix pour, 30 voix contre et 168 abstentions, en première lecture, ce projet de loi de finances rectificative (PLFR) dit « de fin de gestion » ainsi modifié. L’Assemblée nationale pourra rétablir le texte du gouvernement dans la suite de la navette.

Annoncée par le Premier ministre en octobre, en réaction à l’envolée des prix des carburants, « l’indemnité inflation » s’élève à 100 euros et sera versée à 38 millions de Français, « salariés, indépendants, retraités, chômeurs, allocataires des minima sociaux, étudiants boursiers, percevant moins de 2 000 euros par mois », si elle est rétablie par l’Assemblée nationale telle que le gouvernement l’a conçue. Son coût pour les finances publiques est estimé à 3,8 milliards d’euros.

Un dispositif « mieux ciblé »

« Nous avons fait un choix de méthode, c’est la simplicité et la rapidité », a affirmé le ministre chargé des Comptes publics, Olivier Dussopt, soulignant aussi l’attachement du gouvernement « à un périmètre large » de bénéficiaires. Pour le rapporteur général de la commission des Finances du Sénat, Jean-François Husson (LR), cette « mesure électoraliste […] cumule les inconvénients » : outre son coût « très élevé » pour l’État, des « effets de seuil massifs » et « d’importants effets d’aubaine imputables à son défaut de ciblage ».

« Indemnité inflation » : l’État grand ordonnateur du pouvoir d’achat

En lieu et place, le Sénat a voté à main levée, avec les seules voix du groupe Les Républicains, une majoration exceptionnelle de 150 euros de la prime d’activité, une allocation exceptionnelle de 150 euros pour les bénéficiaires de minima sociaux et de prestations sociales, ainsi qu’une dotation supplémentaire destinée aux aides à la mobilité versées au cas par cas aux chômeurs et jeunes en parcours d’insertion. Jean-François Husson a vanté un dispositif « mieux ciblé », avec un coût pour l’État ramené à 1,5 milliard d’euros.

« C’est la distribution des miettes »

Le groupe centriste a choisi de s’abstenir, Vincent Capo-Canellas disant son « scepticisme » face à un dispositif qui « laisse beaucoup de trous dans la raquette », travailleurs indépendants et retraités notamment. Abstention aussi à gauche. Pour marquer, selon Rémi Féraud (PS), que les deux dispositifs, celui du gouvernement comme celui du rapporteur, « sont insatisfaisants, mais qu’on peut continuer encore à chercher ensemble de meilleures solutions ».

« Tout le monde y va de son cadeau de Noël », a lancé Sophie Taillé-Polian pour le groupe écologiste. « Ces aides qui ne sont que ponctuelles ne peuvent suffire à un problème de pouvoir d’achat qui s’inscrit dans la durée », a-t-elle ajouté. Pour Pascal Savoldelli (CRCE à majorité communiste), « c’est la distribution des miettes ».

La politique fiscale de Macron défavorable aux 5 % les plus modestes

Le PLFR transcrit les nouvelles prévisions économiques de sortie de crise, avec un déficit public ramené à 8,2 % du PIB et une dette publique de 115,3 % du PIB fin 2021.

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Non content de ne servir à rien, car sans pouvoir ou à peu près, ses sénateurs repus qui eux on une retraite confortable pour pas dire plus, sont opposés par principe aux gouvernements en place !

Avec ces pauvres 100 euros qui semblent les gêner, mais qui pourtant bien que se ne soit qu’une mesure provisoire (ou même électorale) seront acceptés par ces français « gens de peu » qui n’ont rien et comptent les euros qui leurs restent quand ils en ont encore en fin de moi pour survivre et même avoir moins froid l’hiver !

Si on prenait ces 100 euros sur leurs indemnités de sénateurs là, ils feraient preuve de fraternité à défaut d’égalité ou solidarité en ces périodes de crises sanitaire et économiques en faisant prendre aux français gogos qui s’y laissent prendre des vessies pour des lanternes !

Non comptent de l’inutilité de cette chambre haute (mais bas de plafond pour certains, on pourrait citer des exemple) qui ne sait que dire non par contradiction débiles, est dans le même moule que les ex élus ou dirigeants de nos septennats ou quinquennats passés !

De Gaulle dont certains élus se recommande, (alors qu’ils ne l’ont même pas connu) voulait supprimer cette assemblée par référendum, il s’est trompé, car ils croyaient dans les français et à leur bon sens et bien ils ont voté NON, car il voulait changer de président, fameux changement qu’ils rabâchent en courant après depuis des décennies sans l’avoir en fait car les étiquettes de tous de nos partis de tous bords ringards sont médiocres et notre classe politique sclérosée !

Notre liberté, égalité, fraternité, voire solidarité n’existe plus seul le chacun pour soi prime dans notre société devenue violente et dure à vivre !

Jdeclef 18/11/2021 10h10LP


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