mardi 9 novembre 2021

Je n'ai pas regardé ce débat trop long comme d'habitude dans ce genre d’exercice !? Souvent camelots de foire harangueurs pour vanter ou vendre leurs marchandises avec promesses fumeuses habituelles !

 

Congrès LR : ce qu'il faut retenir du premier débat

Pendant plus de trois heures, dans un débat parfois confus et souvent lisse, les cinq candidats ont tenté sur LCI de convaincre les militants LR.

L'essentiel : 

- Michel Barnier, Xavier Bertrand, Éric Ciotti, Philippe Juvin et Valérie Pécresse ont débattu pendant plus de 3 heures sur LCI. Le débat a été plutôt courtois, malgré quelques passes d'armes, notamment entre Michel Barnier et Valérie Pécresse.

- Contrairement à Nicolas Sarkozy, François Hollande ou Emmanuel Macron, le premier déplacement du président LR ne sera pas pour Berlin. Tous ont choisi un déplacement national. Mais Philippe Juvin veut poser sur la table, dès son premier jour en tant que président, un nouveau traité européen.

- Référendum contre la suprématie des traités européens, message aux armées et forces de l'ordre, un « jour des héros » célébré dans les écoles, ou encore 10 nouvelles centrales nucléaires : les cinq candidats à l'investiture LR ont expliqué lundi la première mesure qu'ils appliqueraient s'ils étaient élus à la présidence. 

- Éric Zemmour et Emmanuel Macron ont été très présents dans les échanges.   

00 h 07 - La fin d'un débat

      Ce débat est maintenant terminé, merci de l'avoir suivi avec nous. Trois autres débats sont encore prévus d'ici au congrès de décembre : dimanche 14 novembre sur BFMTV, dimanche 21 novembre sur CNews et mardi 30 novembre sur France 2.      

23 h 37 - Macron s'invite dans le débat

      
À la question d'un possible ralliement à Emmanuel Macron, les candidats ont tous clamé haut et fort qu'ils ne seraient, en aucun cas, des alliés objectifs du président de la République en cas de réélection. "La réponse est non", a tranché Michel Barnier, un temps pressenti pour la présidence de la Commission européenne. "Mais c'est une plaisanterie ?" s'est interrogée Valérie Pécresse, faisant valoir que la majorité actuelle avait mis face à elle cinq ministres lors des régionales. La question a même poussé Éric Ciotti à la plaisanterie à l'endroit des journalistes : "Votre sourire prouve que la question ne se pose pas pour moi", avant d'ajouter : "Je suis le seul à ne pas avoir voté pour Emmanuel Macron au deuxième tour." Quant à Xavier Bertrand, il n'a pas fait mystère de son opposition au président de la République, rappelant ses manquements et fustigeant un "président de la repentance".

      

23 h 34 - La pique de Juvin à ses concurrents

      
Philippe Juvin pourrait-il être Premier ministre de Macron si le président le lui proposait ? Non, assure le candidat, qui en profite pour glisser une attaque envers Valérie Pécresse et Xavier Bertrand : "Moi, je n'ai jamais quitté ma famille politique, y compris quand les choses n'allaient pas très bien." Et "ce n'est pas maintenant" qu'il commencera.


      

23 h 27 - Zemmour s'invite dans le débat

      
Éric Zemmour "n'est pas un ennemi", assure Éric Ciotti, qui réaffirme qu'il voterait pour le polémiste en cas de deuxième tour entre lui et Emmanuel Macron. "Zemmour dresse un constat [...], je ne le nierai pas", poursuit Ciotti, qui assure toutefois que "les seuls qui peuvent redresser le pays, ils sont ici ce soir". Valérie Pécresse, elle, fustige le double discours du presque candidat : "On ne peut pas se réclamer du général de Gaulle et dire que le maréchal Pétain a protégé les Juifs de France." Et d'ajouter : "Je pense que, si Zemmour était quelqu'un d'autre, il ferait l'objet de poursuites judiciaires."


      

23 h 20 - Le caillou de Barnier

      
Pour illustrer sa position sur la place de la France dans le monde, Michel Barnier a apporté un caillou, qu'il a brandi devant les caméras. Ce caillou ramené d'Haïti où une coulée de boue avait dévasté un village "représente tous les enjeux de la diplomatie française" et de nos responsabilités. "La France est un grand pays", estime-t-il, mais "à force d'arrogance [...], nous nous isolons, et en particulier au sein de l'UE".      

23 h 12 - Juvin veut augmenter le budget de l'armée

      "Un pays puissant, c'est un pays qui a la maîtrise de son avenir", juge Philippe Juvin. Le médecin, qui a servi en Afghanistan, dénonce le “déclassement de l'armée française” à laquelle il veut redonner des moyens. Il veut arriver à ce que 2,5 % du PIB soit consacré au budget militaire à la fin de son mandat, contre environ 2 % aujourd'hui.      

23 h 06 - Les propositions de Philippe Juvin sur la sécurité

      

23 h 05 - Bertrand "en guerre" contre les islamistes

      
"Les islamistes nous ont déclaré la guerre, lance Xavier Bertrand. Ils veulent que nous changions notre mode de vie." Le président des Hauts-de-France ne veut "pas faire l'amalgame entre les musulmans et les islamistes", mais souhaite que les mosquées où est tenu un discours islamiste soient systématiquement fermées.      

22 h 42 - Ciotti veut "rétablir l'ordre dans la République"

      
"Macron et Hollande, en matière de sécurité, c'est la même politique", fustige Éric Ciotti, avant d'égrener les statistiques, en hausse, des agressions. "Il faut rétablir l'ordre dans la République", martèle le candidat, qui souhaite que toutes les peines prononcées soient exécutées et appelle à une tolérance zéro sur les agressions envers les forces de l'ordre. "On doit passer un message clair : tu touches à un uniforme, le soir même, tu dors en prison."      

22 h 39 - L'agacement de Barnier

      Barnier à l'adresse des autres candidats : "Vous faites semblant de ne pas comprendre ce que je dis." Sur son moratoire proposé pour mettre fin au phénomène migratoire, l'ancien commissaire européen a rappelé que Nicolas Sarkozy, alors en campagne pour les primaires, avait adhéré à ce principe. Face à Valérie Pécresse, Michel Barnier a pu se révéler agacé quant à ses propositions sur l'immigration : "Ce que j'avais probablement formulé avant toi." Et l'ex-commissaire européen d'ironiser : "Tu as toujours raison."      

22 h 28 - France-Algérie : guerres secrètes

      Contrats bloqués, "French bashing", visas… Au-delà des enjeux mémoriels, les vraies raisons de la brouille entre les deux pays. Notre grande enquête.


      

22 h 11 - " Zemmour est là parce que c'est l'échec de Macron"

      
Valérie Pécresse "déteste" l'expression de "grand remplacement" utilisée par Éric Ciotti, "parce qu'elle donne l'impression que tout est foutu". Elle fait toutefois le constat d'une "immigration incontrôlée [et d'une] intégration ratée", qui "disloquent une nation". Elle souhaite des quotas d'immigration pour "choisir les étrangers qu'on accueille". "Monsieur Zemmour est là parce que c'est l'échec de monsieur Macron" sur la politique migratoire, fustige Xavier Bertrand, qui souhaite que "l'immigration s'adapte aux besoins de la France".


      

22 h 09 - Éric Ciotti à l'offensive sur le thème de l'immigration

      Premier à intervenir sur le thème de l'immigration, le député des Alpes-Maritimes, Éric Ciotti, a tenté de marquer les esprits en reprenant à son compte le terme de "grand remplacement". À la question de David Pujadas pour savoir si l'emploi de ce terme était approprié dans le débat public : "S'il faut parler de grand remplacement, je parle de remplacement, mais ce sont les commentateurs qui ont empêché de dire la vérité." Autrement dit le "politiquement correct" est à l'œuvre depuis des années, selon le candidat au congrès des Républicains. "La France est à un carrefour de son histoire", a-t-il rappelé, avant de fixer son agenda : "Moi, dans cette campagne, je veux abattre le politiquement correct."

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Pour moi mon choix était fait chez ces candidats LR même avant le début de cette pseudo campagne présidentielle médiocre de politiciens usés et connus, car on les a vu à l’œuvre dans diverses fonctions qu’ils ont occupées gouvernementales ou autres !

Les français passent leur temps à demander des changements dans ces classes politiques de ces partis médiocres voire plus largement dans cette Vème république obsolète et institutions mais sont incapables d’en désigner un directement, car versatiles devenus un peuple divisé par une population qui a changé creusant une facture ouverte entre les riches qui s’agrandit et ceux de la basse classe moyenne et même pauvre !

Le pouvoir d’achat en est le thermomètre qui baisse voire stagne au mieux un des plus bas d’Europe occidentale des pays démocratiques (qu’on disaient riches, mais c’était bien avant, il y a longtemps car pour la France elle est surendettée ?!)

Je ne suis pas là pour faire de la propagande pour un(e) des candidat(e) mais dans cet aréopage de politiciens de cette droite classique, il y en a un qui ferait l’affaire, mais comme ce sont les adhérents LR qui le désigneront, donc pas tous les Français de tous bords alors ..!?

Notamment ceux qui ne veulent plus de Macron en fait, alors qu’ils choisissent bien car sans quoi cela se terminera si leur choix est médiocre au mieux par un président élu par défaut qui ne fera pas de miracles ou simplement à la réélection du président en place !

Avec une augmentation de l’abstention si le choix ne convient pas à la majorité des Français qui votent encore car les partis politiques ringards ne représentent plus les Français !

Macron va mardi nous enfumer avec ses discours habituels pour la Covid qui lui sert indirectement pourtant qu’il gère mal depuis le début par ces indécisions et atermoiements en profitant pour peaufiner sa campagne électorale hypocrite car soi-disant candidat, mais non déclaré pour se faire désirer ce qui est puérile à moins qu’il le fasse en se disant messie sauveur de la nation d’autres l’ont fait avant lui !

Cette mascarade de campagne électorale pour la présidentielle n’est pourtant pas un jeu, bien que pervers comme un piège à électeurs gogos qui se font avoir à chaque élection, mais c’est leur faute car incurables !

Jdeclef 09/11/2021 11h07


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