lundi 22 novembre 2021

Si vraiment ils ne veulent pas suivre les directives de la France et rester dans leurs ignorances moyenâgeuses en matière de santé !? Ce n'est que du chantage à la métropole qu'on paie bien cher à cause de cette soi-disante épidémie !?


 

Guadeloupe : le déblocage des barrages commence, toujours des violences

Des renforts ont été envoyés sur place par le ministère de l’Intérieur, tandis que les écoles, collèges et lycées resteront fermés lundi.

Le démantèlement des barrages bloquants a commencé dimanche en Guadeloupe où sont arrivés les renforts de forces de l’ordre partis de la métropole, mais les violences se poursuivaient contraignant le rectorat à suspendre lundi l’accueil des élèves dans les écoles, collèges et lycées.

« Une première partie de nettoyage » a pu avoir lieu dimanche « et ça va se poursuivre demain », a indiqué à l’Agence France-Presse Éric Dethelot, cadre d’astreinte de Route de Guadeloupe. « Grâce aux forces de l’ordre présentes et aux réquisitions de la préfecture, nous avons pu dégager les axes avec des moyens plus importants comme des camions grappins, des camions-bennes avec plus de tonnage », a expliqué Éric Dethelot. « Le tout était aussi de pouvoir stocker quelque part ce qu’on ramassait, pour que cela ne se retrouve pas de nouveau sur la route juste après. »

Des barrages tenaces

Les renforts de policiers et de gendarmes envoyés de métropole, notamment 50 membres des unités du GIGN et du Raid, sont arrivés samedi soir dans l’île. Certains axes ont été dégagés, comme « la route des Mamelles », qui traverse le Parc national au centre de la Basse-Terre. Mais une dizaine de barrages « renforcés dans l’après-midi » restaient en place, en plusieurs points stratégiques de l’archipel. Ces barricades faites d’objets hétéroclites, comme des tôles, des conteneurs de poubelles, ou d’arbres, sont tenues par « 15 à 50 personnes », souligne le colonel Jean Pierre, du commandement de la gendarmerie de Pointe-à-Pitre. Des groupes qui peuvent « se reformer » quelques heures après avoir été dispersés, selon la même source.

Demorand – Covid-19 : alerte maximale sur la cinquième vague

La poursuite « des violences urbaines, exactions et autres entraves à la circulation » a conduit le rectorat à suspendre lundi l’accueil des élèves « dans les écoles, collèges et lycées » de la Guadeloupe continentale. « La situation reste incertaine concernant le trafic routier et la possibilité pour les personnels et les élèves de se déplacer sans encombre et en toute sécurité semble compromise à ce stade », indique-t-il dans un communiqué.

30 personnes jugées ce lundi

Trente personnes seront jugées lundi en comparution immédiate à Pointe-à-Pitre, soupçonnées d’avoir participé aux violences urbaines qui agitent l’île depuis une semaine, a indiqué dimanche soir le procureur de la République, Patrick Desjardins. La nuit de samedi à dimanche est restée agitée dans les rues et sur les routes de l’île, entre barrages routiers, incendies et pillages qui ont débouché sur 38 interpellations dans la nuit et fait 2 blessés chez les forces de sécurité. Ces incidents ont eu lieu malgré le couvre-feu qui court jusqu’à mardi matin, chaque nuit de 18 heures à 5 heures.

Dans plusieurs communes de l’île, des magasins alimentaires ont été pillés, mais aussi des pharmacies. « À chaque fois, une barricade placée en amont nous empêchait d’avancer », selon les gendarmes qui témoignent aussi de soupçons de « faux appels pour nous attirer ailleurs, tout comme les pompiers ». Dans la commune de Morne-à-l’Eau, un poste de police a été incendié. Selon la préfecture, quatre pharmacies ont été ainsi fracturées.

Une situation « intolérable et inacceptable »

La réponse de l’État se veut d’abord celle de « la fermeté », a affirmé dimanche le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, en qualifiant la situation d'« intolérable et inacceptable » en Guadeloupe. « Cette petite minorité qui bloquait par les mots, par les paroles [la vaccination], aujourd’hui elle s’est radicalisée et elle essaie de les bloquer, de les intimider par la violence », a-t-il dénoncé, évoquant des « soignants menacés », « des pharmacies empêchées d’ouvrir » et « les ambulances bloquées sur les barrages ».

Covid : le vaccin Valneva va-t-il convaincre les antivax ?

Depuis l’été, le taux de vaccination a progressé en Guadeloupe, avec désormais un taux de près de 90 % des soignants vaccinés, et approchant 50 % dans la population générale. Le Premier ministre Jean Castex, accompagné du ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu et du ministre de la Santé Olivier Véran, doit parallèlement recevoir lundi soir des élus de l’île afin, a déclaré Matignon à l’Agence France-Presse dimanche, de leur permettre « d’exposer leur analyse de la situation sur place ». La réunion doit aussi permettre « un dialogue sur les conséquences de l’obligation de vaccination pour les soignants et les pompiers. » Un appel à la grève générale en Martinique, l’île voisine des Antilles, a été lancé pour lundi.

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Ou culturelle et préfère mourir en masse à cause de ces virus, alors qu’il n’y a pour l’instant que la vaccination qui réduit les contaminations !?

En obligeant la France qu’ils tiennent responsables bien sûr à utiliser des forces de police anti-émeutes pour stopper leur vandalisme de leurs magasins même d’alimentation en les détruisant et les pillant comme des sauvages !?

Il faut sévir avec rigueur pour les protéger d’eux-mêmes, car même si ce n’est qu’une minorité qui fait ces troubles !

Car quand on interroge la population raisonnable qui reste, ceux -ci disent car fatalistes car quand ils manifestent, ce n’est que comme çà qu’ils le font pour protester ?!

Croyant que la métropole va leur trouver la solution ou leur faire une meilleure vie utopique, car là il s’agit d’une pandémie que l’on ne peut pas imputer bêtement à la métropole et qui se propage dans le monde, mais eux ne veulent pas se faire soigner par vaccination !?

Mais ces gens ont un pays avec un potentiel important notamment par exemple le tourisme, mais ils sont semble-t-il d’incurables assistés, c’est malheureux dont certains voudraient l’indépendance très à la mode ces temps-ci dans le monde, mais cette ile loin de la France avec ses 395 700 habitants ne peut vivre seule comme la Corse chez nous avec à peu près le même nombre d’iliens !

L’état français pourrait leur donner en faisant un référendum d’auto-détermination comme en nouvelle Calédonie pour la nième fois ou les autochtones originaires ne l’ile ne veulent pas aller voter !?

La France métropolitaine par son état de bienpensant donneur de leçon est une fois de plus dépassée !

Jdeclef 22/11/2021 13h08 

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