jeudi 4 novembre 2021

Résumons pour faire plus court cela se réduira si l'on connait bien les français: à une mascarade habituelle de politiciens qui ne se remuent que quand se sont des élections et surtout la présidentielle !

 

Qui sont les cinq candidats au congrès des Républicains ?

LR a confirmé jeudi 4 novembre la liste des cinq prétendants à la présidentielle que les adhérents devront départager lors du congrès début décembre.

Qui sera le candidat des Républicains à la présidentielle ? Après un long débat sur le mode de désignation de son candidat pour 2022, la droite a finalement opté pour le vote des seuls adhérents réunis en congrès du 1er au 4 décembre. Les prétendants avaient jusqu’au 2 novembre pour déposer au moins 250 parrainages et valider leur candidature. Ce jeudi 4 novembre, l’instance de contrôle a confirmé la liste finale des concurrents : Michel Barnier, Xavier Bertrand, Éric Ciotti, Philippe Juvin et Valérie Pécresse. Seul l’entrepreneur lyonnais Denis Payre, issu de la société civile, n’a pas réussi à se qualifier – il n’a réuni qu’une trentaine de parrainages.

Les cinq candidats s’affronteront lors de quatre débats, dont le premier le 8 novembre – à suivre sur le site du Point. Le candidat de la droite, investi le 4 décembre à l’issue du congrès, aura quatre mois pour déjouer les sondages encore très mauvais pour Les Républicains. Quel que soit le candidat testé, la droite n’arrive pour l’instant pas à se qualifier pour le second tour, systématiquement devancée par Emmanuel Macron et Marine Le Pen, voire, dans certains cas, par le polémiste Éric Zemmour.

Influences, idée de la France, passions… Le grand oral des candidats LR

Michel Barnier

À 71 ans, c’est le doyen des candidats. Originaire de Savoie, l’ancien négociateur en chef du Brexit pour l’Union européenne mise tout sur sa solide expérience construite avec ses mandats parlementaires (il a été député, sénateur et eurodéputé) et ses passages au gouvernement, notamment sous Sarkozy et Chirac. « Je suis candidat pour être un président qui respecte les Français et qui fait respecter la France », assurait-il dans Le Figaro fin août, faisant le constat que « notre pays va mal » et que seule une alternance politique pourrait « réconcilier, remettre ensemble et agir vraiment ».

Si Michel Barnier fait partie des favoris en interne – il est celui qui a réuni le plus de parrainages, environ 700 –, il souffre d’un déficit de notoriété auprès des électeurs. Trop discret ? « Les Français ont envie et besoin d’un président qui fait ce qu’il dit et qui agit », pense-t-il. Il leur fait déjà une promesse : lui président, il ne fera qu’un seul et unique mandat.

Chez Les Républicains, la fièvre de la « Barnier mania »

Xavier Bertrand

Il voulait y aller seul, coûte que coûte. Quand Xavier Bertrand annonce sa candidature au Point en mars dernier, il l’assure : pas de primaire pour lui. La présidentielle, « c’est la rencontre d’un homme ou d’une femme avec les Français, autour d’une vision et d’un projet, assure-t-il. C’est pourquoi je ne souhaite plus m’inscrire dans la logique d’un seul parti. » Mis sous pression par son ancienne famille politique, le président des Hauts-de-France a fini par consentir à soumettre sa candidature au choix des militants et repris la carte du parti qu’il avait quitté en 2017.

L’ancien agent d’assurances, s’il a été ministre, joue la carte de l’élu proche du peuple. « Je veille pour ma part à toujours rester “à portée de baffes, d’engueulades”. » Il dispose dans son jeu d’un atout majeur : des trois favoris – Barnier, Pécresse et lui –, il est celui qui a le plus d’avance dans les sondages s’il venait à être le candidat de la droite. Pas encore suffisant, toutefois, pour s’assurer une place au second tour.

Xavier Bertrand lance l’opération séduction auprès des militants LR

Éric Ciotti

Le député des Alpes-Maritimes a annoncé sa candidature fin août sur BFMTV, pour, dit-il, « sortir notre pays de la pente du déclin ». « Mon cap est à droite et mon objectif est simple : que la France reste la France. » Éric Ciotti incarne l’aile droite des Républicains. Trop à droite au goût de certains de ses camarades, comme le président de la région Sud Renaud Muselier, qui fustige « ses propos [qui] ne correspondent en rien à l’héritage de notre famille politique » et assure que s’il était désigné candidat à l’issue du congrès, il quittera « immédiatement LR ». Quant au principal intéressé, il assume sa ligne très droitière, jusqu’à affirmer qu’en cas de second tour Macron-Zemmour, il voterait pour le polémiste.

Congrès de LR : quand Éric Ciotti surfe sur la vague Zemmour

Philippe Juvin

Le maire de La Garenne-Colombes, en banlieue parisienne, n’a jamais abandonné son activité de médecin, et continue de diriger, en parallèle de son mandat, le service des urgences de l’Hôpital européen Georges-Pompidou à Paris. La pandémie de Covid-19 a offert un tremplin médiatique à Philippe Juvin, qui a fait le tour des plateaux de télévision depuis mars 2020 pour commenter tant la situation sanitaire que les choix politiques du gouvernement. Une double casquette qu’il voit comme un atout pour mieux saisir les attentes des Français. En annonçant sa candidature dans Le Figaro, il assurait : « Avec ma trajectoire originale, ma liberté de ton et d’action, je suis une alternative pour ceux qui savent que les recettes traditionnelles ne suffisent plus. »

Philippe Juvin : de l’hôpital à la présidentielle

Valérie Pécresse

« Je ne supporte plus qu’on parle au lieu d’agir. » La présidente de la région Île-de-France a déclaré sa candidature dès juillet dans Le Figaro, « pour restaurer la fierté française » dit-elle, promettant de « faire plutôt que chercher à plaire ». Énarque, ancienne haute fonctionnaire, patronne de la région capitale… Valérie Pécresse a, sur le papier, tout de l’élite parisienne honnie par ses rivaux. Une image qu’elle tente d’adoucir en rappelant ses racines corréziennes.

Première à avoir déposé ses parrainages – dès la mi-octobre –, l’ancienne ministre et porte-parole du gouvernement Fillon a repris, à l’occasion du congrès, sa carte d’adhérente au parti Les Républicains, qu’elle avait quitté en 2019. Celle qui se définit comme « une femme d’ordre et une réformatrice », « gaulliste de toujours », affirme sa conviction pour 2022 : « Il faut tout changer pour que la France reste elle-même. »

Valérie Pécresse : « Je suis 2/3 Merkel et 1/3 Thatcher

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Par ordre alphabétique entre BARNIER BERTRAND CIOTTI PECRESSE et un accessit à JUVIN car moins connu pour LR !?

Cela étant ils ont le choix tous contre MACRON qui est encore là !

Car pour les candidats nombreux qui restent et dans le cas qu'ils récoltent leurs signatures de parrainages cela se résumera entre les extrêmes gauche ou droite RN et les écolos EELV empêcheurs de tourner en rond illuminés extrémistes inclassables et bien sur les partis moribonds de l'ancienne gauche PS/PC sans oublier le polémiste télévisuel ZEMMOUR épouvantail trublion mouche dans le lait !

C'est la droite classique LR et si ces adhérents votent bien qui pourraient remporter l'élection pour un de ses candidats à conditions que les électeurs français choisissent le bon et çà ce n'est pas gagné, tant ils sont versatiles et incurables mauvais votants depuis des décennies !

Jdeclef 04/11/2021 17h30LP


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