mardi 16 novembre 2021

MACRON est perdu et dépassé depuis le début pourquoi changerait-il ?!

 

Coignard – Épidémie de Covid : Macron doit « prendre son risque »

CHRONIQUE. Avec l’arrivée de la cinquième vague de Covid en France, le danger est aussi politique pour un président (presque) candidat. À moins que…

Le suivisme dans la panique ou le risque de la différence ? À l’heure où plusieurs pays prennent des mesures de restriction face à la cinquième vague, l’exécutif devra choisir entre deux attitudes radicalement opposées.

En décembre dernier, le gouvernement avait semblé vétilleux lors de l’arrivée, pourtant inespérée, du vaccin. Quand certains pays, tel le Royaume-Uni, injectaient à tour de bras, la France les regardait de haut, et le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, s’en allait répétant qu’on ne « mégote pas » avec la sécurité sanitaire. Puis, en mars, Paris avait emboîté le pas à d’autres capitales pour « suspendre par précaution » le vaccin AstraZeneca avant de le réautoriser quelques jours plus tard à destination des plus de 55 ans.

Vaccin AstraZeneca : pourquoi le suspendre ?

À l’inverse, fin janvier, quand la quasi-totalité des experts et une bonne partie du gouvernement plaidaient pour un nouveau confinement, Emmanuel Macron leur avait tenu tête pour ne pas infliger cette nouvelle punition au pays. L’heure des choix se rapproche à nouveau. Pour la première fois depuis deux mois, le taux d’incidence est repassé au-dessus de 100 nouveaux cas pour 100 000 habitants dans le pays. Et au nord comme à l’est de l’Europe, l’épidémie flambe à nouveau, parfois comme jamais. L’Autriche a mis en œuvre en ce début de semaine une mesure inédite et controversée, le confinement des non-vaccinés. La Saxe, dans l’est de l’Allemagne, a de facto instauré un pass vaccinal. Les Pays-Bas réinstaurent des mesures que l’on croyait derrière nous : fermeture des magasins dès 18 heures, des bars et des restaurants dès 20 heures.

Évoquer le reconfinement… pour mieux l’écarter

Les « antivax » ne cachent pas leur joie : le vaccin, donc, ne protégerait pas contre de nouvelles restrictions de liberté ! Une désinformation grossière, puisque les entrées en réanimation ne suivent pas le même rythme que l’augmentation du nombre de cas.

Une petite phrase du porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a toutefois relancé la machine à fantasmes : « L’un des enseignements que je tire en tant que porte-parole du gouvernement après 18 mois de crise, c’est qu’il ne faut jamais rien exclure par principe », a-t-il répondu, sur France 2, à une question sur un éventuel reconfinement, avant d’ajouter qu’« aujourd’hui, il n’en est absolument pas question ».

Un message soigneusement calibré et pourtant mal compris. À plusieurs reprises, l’exécutif s’est fait prendre au piège de ses propres déclarations. Celles sur la prétendue inutilité des masques restent dans tous les esprits. Olivier Véran, le ministre de la Santé, avait aussi écarté l’hypothèse de la vaccination obligatoire des soignants avant de s’y rallier cet été. Même volte-face sur l’extension du pass sanitaire aux bars et aux restaurants.

À cinq mois de la présidentielle, il n’est plus question de paraître se déjuger. D’où la déclaration du porte-parole. Mais Emmanuel Macron doit récolter les fruits de sa résistance face aux « enfermistes ». Cette moisson exclut toute idée de reconfinement, même édulcoré. Quitte à marquer une différence plus grande, demain, entre les vaccinés et les autres.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Si cette pandémie lui fait perdre sa réélection, tant pis pour lui, car il l'a mal gérée depuis le début par ses tergiversations !

Car il n’a pas su séparer la mauvaise politique politicienne de la santé prioritaire des Français avant tout ou en tant que président, ce n’est pas un vrai chef d’état qui ose prendre ses responsabilités, car il fallait prendre des décisions fermes et rapides depuis le début et surtout ne pas baisser sa garde contre ces virus, quand il y a eu des améliorations de baisses des contaminations et il a lâché du lest trop tôt et plusieurs fois en 2020/21 !

Et s’il avait été ferme pour cette lutte contre cette covid et après avec la vaccination bâclée inachevée avec ce rappel pour ne pas dire 3 eme dose changeant de mot hypocritement pour encore se moquer des Français qu’il dédaigne se croyant au-dessus d’eux qui l’ont élu !?

S’il n’est pas réélu ce qui importe peu en fait, il l’aura mérité, car ce qui compte c’est la santé de nos concitoyens et notre systeme de santé et hospitalier qui bat de l’aile dont on a pu se rendre compte des lacunes !

Et ça ce n’est pas nouveau cela remonte bien avant la Covid et les quinquennats passés de nos dirigeants médiocres de cette classe politique française sclérosée (exemple on s’en ai déjà rendu compte avec la canicule de 2003 et la mauvaise gestion du gouvernement de l’époque !)

Les Français ont la tête dure et votent toujours aussi mal depuis des décennies en ayant perdu leur bon sens, car assistés trop gâtés (plutôt mal assistés par des politiciens de tous bords !)

Jdeclef 16/11/2021 13h31LP


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire