Coignard – Mélenchon, le tout
mignon
CHRONIQUE. À la radio, il
confie aimer les chats. Aux étudiants, il raconte sa vie intérieure. Campagne
oblige, le révolutionnaire fait patte de velours.
Juste
avant le beaujolais, le Jean-Luc nouveau est arrivé. Il ne veut laisser aucune
impression d’âpreté, mais au contraire séduire par son velouté inattendu. Sans
pudeurs de gazelle, l’intraitable tribun soulève donc quelques pans de son
intimité. La semaine dernière sur RTL, Jean-Luc Mélenchon évoque son amour des
félins : « Je suis un punk à chats. Vous savez, il y a les punks à
chiens, et moi, je suis un punk à chats », dit-il.
Vit-il entouré de matous ronronnants ? Que nenni !
Mélenchon est un punk contrarié : « Je ne peux pas avoir de
chat parce que ma vie ne me permet pas de m’en occuper assez
régulièrement. Disons que la présence d’un compagnon de
cette nature me manque beaucoup. Alors, j’ai adopté un cactus,
figurez-vous. Parce que j’en avais vu au Mexique et ils m’ont plu… »
Cette semaine, il est parti conquérir le cœur des étudiants. À
l’université de Lille lundi soir, à l’Essec mardi soir. À Lille, il donne
d’emblée ce conseil à son auditoire : « Empêchez-les d’entrer dans
votre tête. » « Eux », on suppose que ce sont les
puissants, les partisans du marché, les ennemis de la révolution. À cause de sa
gestuelle et de son parler haut méditerranéen, il se dit sans cesse tourné à
son désavantage, notamment par les photographes qui se mettent à plat ventre
pour prendre de lui le cliché le plus caricatural : « Pas une photo
de moi qui n'essaie pas de me bestialiser », déplore-t-il. Mais il précise
aussitôt – on ne se refait pas – qu’il est en bonne compagnie. « Tous les
leaders de notre famille politique ont été présentés comme des énergumènes
violents. Jean Jaurès a la bouche grande ouverte, la barbe comme un truc de
hérisson, Louise Michel a l’air d’une folle… »
Comment donner aux jeunes l’envie de voter ?
Monsieur Bienveillance
Est-ce sa stagnation à moins de 10 % dans les sondages ?
Jean-Luc Mélenchon semble vouloir s’adoucir, rassurer, montrer que, derrière le
coup de colère permanent, il y a un petit cœur qui bat. Même privé de
ronronthérapie, l’ami des chats fait preuve d’indulgence, presque de
gentillesse, en toutes circonstances désormais. Envers les élèves de l’Essec
qui dressent de lui, en début de conférence, un portrait qui se veut ironique,
il n’est que bienveillance et trouve « sympathique » de se voir ainsi
dans les yeux d’autrui. Il s’essaie même à quelques petites blagues –
« chez les capitalistes, on ne parle jamais d’argent ni de
politique » – qui tombent à plat dans une salle peu réactive.
Yannick Jadot lance son OPA sur la gauche
(il n’y a plus rien à acheter !?)
Vient alors le ton de la confidence pour raconter comment, lors de
la dernière présidentielle, il a ressenti « une sorte de brûlure ».
Une campagne pour l’Élysée, « c’est une épreuve personnelle, c’est le grand
oral permanent. Il faut avoir un avis sur tout… » Il refait
l’histoire de la gauche, regrette son affaiblissement, mais prévient qu’il
« reste l’homme de la rupture » : « Certains pensent que je
suis une erreur de la nature et un accident provisoire », s’afflige-t-il.
Son seul regret, au terme de sa prestation : ne pas avoir convaincu les
futurs manageurs présents dans la salle. Même l’humilité était presque au
rendez-vous, c’est déjà presque une révolution !
Jean-Luc Mélenchon : « Internet, ça ne peut plus
être le Far West ! » ( mais lui n’en n’est pas le Sherif !?)
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Dans ce tour
de France de coureur après la tête, mais inutile à notre pays déjà pas en bonne
place dans le monde difficile que nous subissons :
On se
demande pourquoi on parle encore de ce député élu par défaut en 2017 et son
parti ringard LFI parmi d’autres extrémistes car là, c’est la gauche moribonde
avec ce type de personnage qui fait de la politique par distraction pour
lui-même, car nanti qui pérore en bon aboyeur de foire, trop vieux et ex
socialiste ex ministre du temps ou la gauche existait encore et qui change d’avis
souvent fumeux ou fil de l’évolution de la politique française ou il y a forcément
des illuminés de tous poils, car étant encore dans un pays libre !
Il serait
enfin temps que les Français arrivent à choisir un président valable sérieux et
un vrai homme d’état qui pense à la France et accessoirement aux français, il
existe surement, car sans quoi, cela devient fort préoccupant, on est presque
arrivé au point de non-retour, car les Français sont comme une cocotte-minute
qui risque d’exploser en risquant de vouloir faire leurs lois, comme certains
qui dérapent déjà !
Et
surtout que les Français lambda ne prennent pas cette élection présidentielle pour
un jeu car, c’est leur avenir et il leur appartient (encore…)
Jdeclef 17/11/2021
11h03
Là les modérateurs du point sont incurables car censurer des commentaires qui critique JL MELENCHON est pourtant normal étant leader d'un parti de gauche extrémiste ne l'oublions pas car les extrêmes de tous bords sont pernicieux voire excessifs et déséquilibrés c'est un fait prouvé par contre empêcher la liberté d'expression encore libre en France doit être sanctionné avec rigueur car c'est la seule vraie liberté qui reste au peuple et qu'il faut défendre avant tout : Rappelons nous ce professeur de collège qui a été assassiné avec une barbarie sans nom parce qu'il l'enseignait que la rédaction des divers médias en prennent actes avant de faire des censures moyenâgeuses bornées de bien pensants hypocrites donneuses de leçons SVP !
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