mercredi 17 novembre 2021

Dans la sphère de la politique française et de ses politiciens élus plus que médiocres il fait parti du peloton de tête ! (Vieux politiciens incapables de prendre leur retraite et il n'y a pas que lui !?)

 

Coignard – Mélenchon, le tout mignon

CHRONIQUE. À la radio, il confie aimer les chats. Aux étudiants, il raconte sa vie intérieure. Campagne oblige, le révolutionnaire fait patte de velours.

Juste avant le beaujolais, le Jean-Luc nouveau est arrivé. Il ne veut laisser aucune impression d’âpreté, mais au contraire séduire par son velouté inattendu. Sans pudeurs de gazelle, l’intraitable tribun soulève donc quelques pans de son intimité. La semaine dernière sur RTL, Jean-Luc Mélenchon évoque son amour des félins : « Je suis un punk à chats. Vous savez, il y a les punks à chiens, et moi, je suis un punk à chats », dit-il.

Vit-il entouré de matous ronronnants ? Que nenni ! Mélenchon est un punk contrarié : « Je ne peux pas avoir de chat parce que ma vie ne me permet pas de m’en occuper assez régulièrement. Disons que la présence d’un compagnon de cette nature me manque beaucoup. Alors, j’ai adopté un cactus, figurez-vous. Parce que j’en avais vu au Mexique et ils m’ont plu… »

Cette semaine, il est parti conquérir le cœur des étudiants. À l’université de Lille lundi soir, à l’Essec mardi soir. À Lille, il donne d’emblée ce conseil à son auditoire : « Empêchez-les d’entrer dans votre tête. » « Eux », on suppose que ce sont les puissants, les partisans du marché, les ennemis de la révolution. À cause de sa gestuelle et de son parler haut méditerranéen, il se dit sans cesse tourné à son désavantage, notamment par les photographes qui se mettent à plat ventre pour prendre de lui le cliché le plus caricatural : « Pas une photo de moi qui n'essaie pas de me bestialiser », déplore-t-il. Mais il précise aussitôt – on ne se refait pas – qu’il est en bonne compagnie. « Tous les leaders de notre famille politique ont été présentés comme des énergumènes violents. Jean Jaurès a la bouche grande ouverte, la barbe comme un truc de hérisson, Louise Michel a l’air d’une folle… »

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Monsieur Bienveillance

Est-ce sa stagnation à moins de 10 % dans les sondages ? Jean-Luc Mélenchon semble vouloir s’adoucir, rassurer, montrer que, derrière le coup de colère permanent, il y a un petit cœur qui bat. Même privé de ronronthérapie, l’ami des chats fait preuve d’indulgence, presque de gentillesse, en toutes circonstances désormais. Envers les élèves de l’Essec qui dressent de lui, en début de conférence, un portrait qui se veut ironique, il n’est que bienveillance et trouve « sympathique » de se voir ainsi dans les yeux d’autrui. Il s’essaie même à quelques petites blagues – « chez les capitalistes, on ne parle jamais d’argent ni de politique » – qui tombent à plat dans une salle peu réactive.

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Vient alors le ton de la confidence pour raconter comment, lors de la dernière présidentielle, il a ressenti « une sorte de brûlure ». Une campagne pour l’Élysée, « c’est une épreuve personnelle, c’est le grand oral permanent. Il faut avoir un avis sur tout… » Il refait l’histoire de la gauche, regrette son affaiblissement, mais prévient qu’il « reste l’homme de la rupture » : « Certains pensent que je suis une erreur de la nature et un accident provisoire », s’afflige-t-il. Son seul regret, au terme de sa prestation : ne pas avoir convaincu les futurs manageurs présents dans la salle. Même l’humilité était presque au rendez-vous, c’est déjà presque une révolution !

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Dans ce tour de France de coureur après la tête, mais inutile à notre pays déjà pas en bonne place dans le monde difficile que nous subissons :

On se demande pourquoi on parle encore de ce député élu par défaut en 2017 et son parti ringard LFI parmi d’autres extrémistes car là, c’est la gauche moribonde avec ce type de personnage qui fait de la politique par distraction pour lui-même, car nanti qui pérore en bon aboyeur de foire, trop vieux et ex socialiste ex ministre du temps ou la gauche existait encore et qui change d’avis souvent fumeux ou fil de l’évolution de la politique française ou il y a forcément des illuminés de tous poils, car étant encore dans un pays libre !

Il serait enfin temps que les Français arrivent à choisir un président valable sérieux et un vrai homme d’état qui pense à la France et accessoirement aux français, il existe surement, car sans quoi, cela devient fort préoccupant, on est presque arrivé au point de non-retour, car les Français sont comme une cocotte-minute qui risque d’exploser en risquant de vouloir faire leurs lois, comme certains qui dérapent déjà !

Et surtout que les Français lambda ne prennent pas cette élection présidentielle pour un jeu car, c’est leur avenir et il leur appartient (encore…)

Jdeclef 17/11/2021 11h03


1 commentaire:

  1. Là les modérateurs du point sont incurables car censurer des commentaires qui critique JL MELENCHON est pourtant normal étant leader d'un parti de gauche extrémiste ne l'oublions pas car les extrêmes de tous bords sont pernicieux voire excessifs et déséquilibrés c'est un fait prouvé par contre empêcher la liberté d'expression encore libre en France doit être sanctionné avec rigueur car c'est la seule vraie liberté qui reste au peuple et qu'il faut défendre avant tout : Rappelons nous ce professeur de collège qui a été assassiné avec une barbarie sans nom parce qu'il l'enseignait que la rédaction des divers médias en prennent actes avant de faire des censures moyenâgeuses bornées de bien pensants hypocrites donneuses de leçons SVP !

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