mercredi 17 novembre 2021

Rappel à la loi ou avertissement pénal probatoire bla-bla habituel tout ça n'est que des mots juridiques sans intérêt !? (Pour un théâtreux bavard ex avocat une réforme de la justice en petit filigrane ..!?)

 

Confiance dans la justice : les députés adoptent le projet de loi

Les députés ont adopté mardi soir le projet de loi avec à la clef un amendement de dernière minute concernant le secret professionnel des avocats.

Avant l’ultime vote du Parlement jeudi au Sénat, les députés ont adopté mardi 16 novembre le projet de loi « pour la confiance dans l’institution judiciaire ». Audiences filmées, encadrement de la durée des enquêtes préliminaires, encouragement du bracelet électronique, généralisation en 2023 des cours criminelles départementales, création d’un pôle national pour les crimes en série, le texte d’Éric Dupond-Moretti qui a fait l’objet d’un accord entre députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire (CMP) a été adopté par 66 voix pour, 11 contre et 11 abstentions au Palais-Bourbon.

Il prévoit également une suppression des crédits de réduction de peines automatiques, une réforme du travail des détenus et remplace les rappels à la loi par un « avertissement pénal probatoire ». Mais ce sont les dispositions relatives au secret professionnel des avocats qui ont animé les derniers jours et heures avant le vote avec une levée de boucliers de la profession.

Des dispositions qui ont soulevé la grogne des robes noires

Le texte de compromis auquel sont parvenus députés et sénateurs consacre le secret professionnel de l’avocat dans son activité de défense mais prévoit de l’encadrer dans son activité de conseil. Sont ainsi prévues des exceptions en matière de fraude fiscale et de corruption. Terrorisme également. Ces dispositions ont soulevé la grogne des robes noires et une ultime tentative du Garde des Sceaux pour aplanir les incompréhensions s’est soldée par la demande du Conseil national des barreaux (CNB) de supprimer purement et simplement l’article controversé.

Dans un amendement adopté par l’Assemblée, le gouvernement a choisi de retoucher marginalement une partie du dispositif sans revenir sur ses grands équilibres. Il confirme la présence du bâtonnier en perquisitions et supprime l’exception visant celle où l’avocat a fait « l’objet de manœuvres ou actions aux fins de permettre, de façon non intentionnelle, la commission, la poursuite ou la dissimulation d’une infraction ».

IEXCLUSIF – Dupond-Moretti dévoile sa réforme de la justice

« Je prends acte de la position du CNB, mais en conscience et en responsabilité, je veux consacrer avec les parlementaires les avancées majeures » du texte, a affirmé Éric Dupond-Moretti. Le rapporteur LREM du projet de loi Stéphane Mazars a regretté une « posture partisane corporatiste » des avocats. « Supprimer cet article aurait été une erreur grave », a taclé Antoine Savignat (LR).

Le communiste André Chassaigne a regretté le dépôt de cet amendement de dernière minute contraire aux « habitudes de notre vie parlementaire » quand Ugo Bernalicis (LFI) a déposé sans succès une motion de rejet en s’attaquant avec férocité au ministre de la Justice dont il a fustigé la mise en examen pour « prise illégale d’intérêts ».

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Quant à la réforme de la justice en profondeur ainsi que celle de la pénitentiaire qui devrait gérée à part étant donné qu'en France on ne veut pas mettre des moyens puissants, car couteux bien sûr, car ayant pris trop de retard !?

Et que ce ministère est mal doté financièrement et en fonctionnaires avec cette justice poussiéreuse et laxiste dont se plaigne tous les Français de peu lambda par le manque de rigueur des peines peu importantes ou l’on utilise trop le sursit et quand elles sont faites, car pas toujours, avec des réductions automatiques pour les justiciables avec un code pénal inadapté aux crimes et délits divers dans notre société ou la violence et délinquance au quotidien augmente exponentiellement, jusqu’à s’en prendre s’en vergogne par des voyous aux forces de l’ordre leurs nouvelles cibles  !

Alors mettre un ex-avocat de renom spécialiste des vices des formes et acquittements de présumés coupables par des arguties juridiques était une erreur de plus de notre président bourgeois qui protègent indirectement les élus de tous bords y compris le chef de l’état, qui ont maille à partir avec celle-ci (avec en plus des avantages et immunités diverses pendant leurs mandats !)

Mais tout cela est répété sous chaque mandat et élections présidentielles depuis des décennies, quinquennats et même avant depuis au moins 40 ans dans cette V eme république monarchique dirigé par un pseudo monarque sans couronne aujourd’hui, mais cela passe toujours au-dessus de la tête de nos dirigeants qui versent des larmes de crocodile de compassion quand des drames trop importants se produisent pour se donner bonne conscience !?

J.declef 17/11/2021 12h59


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