dimanche 7 novembre 2021

Vraiment si ces femmes politiciennes de ce PS HIDALGO, SEGOLENE ROYAL : Ah si les français voulaient simplement réfléchir sans s'occuper des médias et aboyeurs de foire politiciens médiocres !?

 

2022 : « J’irai jusqu’au bout ! », assure Hidalgo, en visite à Tulle

En visite dans le fief de l’ancien président François Hollande, Anne Hidalgo, qui peine dans les sondages, tente de relancer sa campagne présidentielle.

Direction Tulle. La candidate socialiste à l’élection présidentielle, Anne Hidalgo, est venue faire campagne samedi 6 novembre dans le fief corrézien de l’ancien président François Hollande. Toujours à la peine dans les sondages pour 2022, la maire de Paris est toutefois convaincue qu’elle peut encore redresser la barre. Déterminée, elle insiste : « Oui, j’irai jusqu’au bout ! »

« Venir ici, c’est déjà gagner », a lancé François Hollande à Anne Hidalgo. « C’est pour ça que je suis là », lui a répondu la maire de Paris. Sous le soleil, l’ancien chef de l’État tient à apporter son « soutien » à Anne Hidalgo, « un passage de témoin » au moment où elle tente de donner un énième coup d’accélérateur à une campagne présidentielle qui peine à décoller.

« Ça patine où ? La campagne n’a pas encore commencé ! »

La maire de Paris est mal placée dans les sondages, où elle végète autour des 5 % d’intentions de vote ? « C’est très bon signe », fait savoir François Hollande, lui-même loin d’être favori avant de finir à l’Élysée en 2017, lors d’une visite sur le marché de Tulle. Entre étals de fromages, viandes et autres vendeurs de primeurs, le duo s’affiche face à la presse pour une photo de famille, mais aussi, selon Anne Hidalgo, « pour entendre et s’enrichir » au contact des 15 000 habitants de la ville dont François Hollande fut le maire entre 2001 et 2008.

« Comment allez-vous ? », « Ça va ? », « Les enfants vont bien ? » : chez lui à Tulle, où il possède une maison, l’ancien président se montre très à l’aise dans des rues qu’il connaît par cœur. « Elles ont l’air bonnes, ces crêpes », dit Anne Hidalgo devant un comptoir, vite reprise par la gérante Françoise, 60 ans, qui lui explique : « Les crêpes, c’est le nom à Paris, ici, ce sont des tourtous. »

Présidentielle : comment Hidalgo veut remonter la pente

Interrogé au détour d’un étal de fromages sur la campagne balbutiante de la maire de la capitale, François Hollande insiste : « Ça patine où ? La campagne n’a pas encore commencé ! » Avant d’enchaîner : « Là, on se met en route, c’est l’objet de notre visite, la campagne commence véritablement, selon mon expérience, mi-janvier. Anne a encore le temps pour convaincre les Français. » Le duo s'affiche dans la matinée face à la presse pour une photo de famille, mais aussi, selon Anne Hidalgo, « pour entendre et s'enrichir » au contact des 15 000 habitants de la ville dont François Hollande fut le maire entre 2001 et 2008.

« Elle incarne plus que le PS, elle incarne toute la gauche »

La candidate, toujours accompagnée de l’ex-président, devait s’y employer dès samedi soir, lors de la fête de la Rose à Malemort, un village près de Brive-la-Gaillarde, après une séance de dédicaces dans l’après-midi à la Foire du livre de Brive. En attendant, François Hollande est là pour distiller des conseils. « Il y a des cycles. Ce n’est pas la même chose d’être dans l’espace médiatique plusieurs mois avant le scrutin et d’être candidat », juge-t-il, visant directement le candidat putatif d’extrême droite Éric Zemmour, très présent dans les médias.

Pour lui, « les Français ne sont pas encore dans le choix, mais dans le regard » de ce qu’il se passe, « suffisamment mûrs et conscients des enjeux pour ne pas se mettre dans la perspective » d’élire un candidat populiste en avril prochain. Mais il juge tout de même « inquiétants » les « thèmes utilisés, les phrases prononcées et les provocations faites » dans la campagne électorale.

 Anne Hidalgo : « Je ne ferai pas campagne sur le wokisme »

Pour réussir sa campagne, il conseille à Anne Hidalgo de créer « la force qui va permettre que les Français puissent se donner la perspective de l’alternance ». Aux côtés de François Hollande et Anne Hidalgo sur le marché de la Gare, l’actuel maire de Tulle Bernard Combes (DVG) salue lui aussi la candidature de la socialiste, « la plus sérieuse à gauche » avec « une vision de femme qui a l’expérience et les compétences ».

« Elle incarne plus que le PS, elle incarne toute la gauche », veut croire Bernard Combes, qui a pourtant claqué la porte du Parti socialiste en septembre. Anne Hidalgo l’assure : « On a connu des années difficiles : le PS s’est effondré après l’élection présidentielle en 2017, mais la grande idée que nous portons dans ma famille de pensée, la social-démocratie, est là. » « Et je sens que beaucoup de Français sont orphelins », conclut-elle.

Arthur Chevallier – Et si le PS osait être créatif

Samedi, en Corrèze, François Hollande a surtout pris le temps de distiller des messages. « Ce n'est pas l'accumulation des promesses qui attire les électeurs », analyse-t-il devant la presse. « Il y a des cycles. Ce n'est pas la même chose d'être dans l'espace médiatique plusieurs mois avant le scrutin et d'être candidat », juge-t-il, visant directement le candidat putatif d'extrême droite Éric Zemmour, très présent dans les médias.

Pour lui, « les Français ne sont encore pas dans le choix mais dans le regard » de ce qu'il se passe, « suffisamment mûrs et conscients des enjeux pour ne pas se mettre dans la perspective » d'élire un candidat populiste en avril. Mais il juge tout de même « inquiétants » les « thèmes utilisés, les phrases prononcées et les provocations faites ».

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N’ont eu que çà comme idée de s’en remette à F.HOLLANDE qui a mis par terre son parti le PS dont il a été secrétaire pendant longtemps !?

En plus qui n'a même pas eu le courage de terminer son quinquennat en se battant pour sa réélection une honte pour lui qui n'a aucun amour propre et pour la France !?

Là, on voit la qualité médiocre de cette ancienne classe politique et si la droite LR n'arrive pas désigner un candidat capable d’être déjà un chef d’état et bien E.MACRON sera réélu par des français gogos qui réclament le changement qu’ils n’arrivent pas à obtenir !

Ne croyons pas aux autres leaders de partis marginaux extrémistes y compris les vert d’EELV encore moins l’épouvantail polémiste, extrémiste médiato télévisuel ZEMMOUR car si cela arrivait se serait une catastrophe ou les Français seraient tombés sur la tête, plus court chemin vers l’anarchie, voire le totalitarisme borné !

Il faut espérer que la majorité silencieuse qui ne votent plus se réveillent pour éviter ce chaos de mauvaise politique de cette Vème république devenue obsolète ne correspondant plus à ce qu’attendent une majorité de français qui se rendent compte que l’élection à la présidence de notre pays n’est pas un jeu télévisé comme on voit sur les chaines télés en continu !

Jdeclef 07/11/2021 14h04


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