lundi 15 novembre 2021

Il vaut mieux qu'ils aient été courtois que de s'être invectivés comme des voyous de zones sensibles !? (Ca volent déjà assez bas chez nos politiciens de tous bords alors inutiles d'ajouter des insultes..!)

 

Coignard – Débats LR : télé-courtoisie

CHRONIQUE. Ils étaient encore cinq « amis » lors du deuxième débat du congrès LR. Et si, au-delà d’un exercice soporifique, ils avaient raison d’être ennuyeux ?

Le Club des cinq, vieux classique de la Bibliothèque rose (ou verte, c’est selon !), a désormais sa version télévisuelle. Cinq « amis » unis comme les doigts de la main. Prêts à combattre l’adversité, qui dimanche soir avait un nom, un seul, Emmanuel Macron. À les entendre, depuis cinq ans, à cause de ce président, le pays serait au bord du chaos, au seuil de la banqueroute, à l’orée du déclassement.

Commenter le second débat des prétendants à l’investiture Les Républicains, dans ces circonstances, est assez vain, si ce n’est pour constater qu’Éric Ciotti compense quelques faiblesses sur les chiffres par une clarté dans le discours, que Michel Barnier ressemble au favori qui déçoit par son manque de tonus, que Valérie Pécresse étonne par sa combativité, que Philippe Juvin évite le rôle de figurant, que Xavier Bertrand fait… du Xavier Bertrand.

Deuxième débat LR : tensions sur la ligne

Leur adversaire, donc, c’est Emmanuel Macron. Oubliés les extrêmes, d’ordinaire farouchement combattus, au moins en paroles, sus au chef de l’État ! Un pour tous, tous contre un ! Cette animosité commune a au moins, pour eux, un avantage : éviter le pugilat, la division et les cicatrices qu’ils laissent une fois un vainqueur désigné. L’un des mots les plus prononcés lors de ce long débat, le deuxième du genre, est inattendu dans une arène où il est d’usage de tenter de briller en ferraillant avec les autres. C’est le mot « amis », utilisé par chacun à tour de rôle pour désigner les quatre autres. Pas d’adversaires, pas de compétiteurs, ni même de concurrents. On aurait pu oublier, en les regardant, qu’un scrutin va les départager dans à peine plus de quinze jours. Et qu’il fera quatre vaincus.

Voyage au bout de l’ennui

En guise de conclusion, il est demandé à chacun d’entre eux pourquoi les adhérents LR devraient voter pour lui (ou elle). Michel Barnier observe un long – trop long – silence avant d’exciper de ses états de service. Éric Ciotti se présente comme l’authentique produit de la droite, le seul qui n’a pas voté pour Emmanuel Macron au second tour en 2017, comme s’il s’agissait d’un exploit républicain… Chez les autres, pas une aspérité, pas l’once d’une tentative de publicité comparative. Quoi de plus normal entre « amis » ?

Congrès de LR : Michel Barnier croit en sa victoire

À ce moment, au terme de trois heures d’échanges courtois, il est difficile de réprimer un bâillement. Et pourtant !

On a tout dit sur les primaires. Le mal qu’il fallait en penser. La prime donnée au plus extrême, qui n’a pas forcément les faveurs des Français. Le déchirement inguérissable provoqué par les accrochages verbaux entre les débatteurs. L’impossibilité de présenter aux Français une équipe soudée pour mener la vraie campagne, celle de la présidentielle.

Au bout de l’ennui provoqué par ces interminables monologues, on se dit alors que le « club des cinq » a peut-être choisi la moins mauvaise des solutions pour ne pas aller droit à l’échec : celle de l’amitié surjouée, comme dans la Bibliothèque rose.

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Pour le reste, ils ont déballé leurs marchandises comme des camelots au concours LEPINE avec soi-disant la meilleure invention pour remporter le concours final !

C’est un concours d’hypocrisie politicienne que ces messieurs et dames pratiquent au quotidien, car ce ne sont pas des novices !

Pour certains les promesses, plus elles sont grosses plus c’est mieux car les Français aiment cela (d’ailleurs l’épouvantail zemmour qui gêne tout le monde politique français utilise et en abuse) car cela plait aux médias et gogos qui prennent çà comme un jeu, mais qui finalement ne prouve pas qu’ils voteront pour lui !?

Le seul problème pour ces candidats LR c’est ce piège de cette primaire réservée aux adhérents d’ailleurs BERTRAND l’avait bien compris raison pour laquelle il voulait faire cavalier seul (peut être plus hypocrite que les autres !?)

En fait celui ou celle qui en dira le moins chez les cinq a peut-être plus de chance que les autres, car ce n’est pas ceux qui crient le plus fort avec un programme très rigoriste car trop beau (comme CIOTTI pour l’immigration et la sécurité par exemple !)

Reste V. PECRESSE c’est une femme de tête, mais qui n’as pas l’envergure de MERKEL ou TATCHER bonne pour diriger la région IDF mais cela ne suffit pas pour être présidente !

Le dernier nouvel arrivant mais très chevronné par son expérience passée c’est M. BARNIER et lui il a une qualité de plus il ne bavarde pas pour ne rien dire ou promettre, ce qu’il ne pourrait tenir et ce n’est pas un jeune parvenu sorti de nulle part, opportuniste qui a profité de la déconfiture de F. HOLLANDE !

Et pour les adhérents encartés LR il peut sauver cette droite classique seule valable pour reprendre le pouvoir en France !

Jdeclef 15/11/2021 14h49LP


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