Coignard – À gauche, la
tentation du « vote révolutionnaire »
CHRONIQUE. Face à la foire aux
egos et aux propositions surréalistes, des électeurs de gauche sont tentés de
voter Pécresse au premier tour.
Alors Messieurs si ont passait
la main à une femme elles sont 34 millions et nous 32 millions en FRANCE cela
serait vraiment le changement ?!
C’était
il y a plus de quarante ans. À l’occasion d’une élection présidentielle, déjà.
En 1981. Alors que le Parti communiste français, par une résolution de son
comité central, appelait officiellement à voter pour François Mitterrand, le
secrétaire général Georges Marchais et quelques apparatchiks qui étaient ses
obligés passaient en douce la consigne contraire : voter pour Valéry
Giscard d’Estaing afin de faire obstacle au candidat socialiste.
Une initiative pour le moins paradoxale, baptisée « vote
révolutionnaire ». Il s’agissait de maintenir la droite au pouvoir pour
éviter d’affaiblir un peu plus le parti, déjà sur le déclin. Les formules
d’encouragement au « vote révolutionnaire » ne manquaient pas de
créativité : « Il n’y a pas de fouet dans l’isoloir. » Ou
encore : « Camarades, on se désiste, mais le succès socialiste qui
suivra déséquilibrera dangereusement la gauche. Chacun, en votant, doit
réfléchir à cette contradiction. » Preuve que la dialectique marxiste
peut être cuisinée à toutes les sauces.
Rien de tel aujourd’hui. Le candidat communiste fait de la figuration avec environ 2 % des intentions de vote. La chute vertigineuse, depuis 1981, du mouvement incarné successivement par Maurice Thorez, Jacques Duclos et Georges Marchais montre, par parenthèse, que l’arrivée à l’Élysée de François Mitterrand était, en effet, terriblement dangereuse pour les communistes.
Jean-François Kahn
– Présidentielle : un festival de tête-à-queue
Des citoyens ordinaires
Mais à l’approche d’une nouvelle présidentielle, ce n’est pas un
appareil ni même certains de ses rouages ou de ses militants qui
encouragent en sous-main au « vote révolutionnaire ». Ce sont des
citoyens ordinaires qui sont tentés. Ils ont toujours voté à gauche, mais les
palinodies de quelques-uns des candidats déclarés, et non des moindres, les
désespèrent ou les scandalisent.
Certains, républicains convaincus, sont atterrés par les
complaisances des prétendantes et prétendants face au communautarisme. D’autres
ont pris le soin de lire le programme de la Primaire populaire et n’ont
été convaincus ni par la proposition de rembourser le chamanisme ni par l’idée
organiser un référendum sur l’écriture inclusive. Mais, surtout, les uns et les
autres ont d’ores et déjà acté qu’aucun des sept candidats et demi (Christiane
Taubira est en campagne, mais n’a pas confirmé sa participation au scrutin) ne
sera en mesure de figurer au second tour.
C'est ce qui
S'appelle prendre ses désirs pour des réalités ; -)
Les électeurs de la gauche modérée se reporteront beaucoup plus probablement
sur E. Macron.
Ne serait-ce que parce que le programme de V. Pécresse est (en tous cas
présenté comme tel) un copié/collé de celui de F. Fillon. Programme qui
rappelons-le prévoyait une quasi suppression de la sécurité sociale en la
réservant aux ALD et renvoyant les assurés/patients aux assurances privées !
Même si cette proposition avait été vite mise au placard devant le tollé
qu'elle avait soulevé, cela a laissé des traces !
Et je ne parle même pas du "soutient" d'E. Ciotti qui fait office de
repoussoir à gauche !
Enfin, soyons clairs les électeurs de gauche (majoritairement des
"cocos") qui ont changé de bord l'ont déjà fait et depuis longtemps
en passant avec armes et bagages chez les Le Pen.
Donc les électeurs de gauche comme réservoir de voix pour V. Pécresse, c'est de
la (mauvaise) science fiction.
C’était
il y a plus de quarante ans. À l’occasion d’une élection présidentielle, déjà.
En 1981. Alors que le Parti communiste français, par une résolution de son
comité central, appelait officiellement à voter pour François Mitterrand, le
secrétaire général Georges Marchais et quelques apparatchiks qui étaient ses
obligés passaient en douce la consigne contraire : voter pour Valéry
Giscard d’Estaing afin de faire obstacle au candidat socialiste.
Une initiative pour le moins paradoxale, baptisée « vote
révolutionnaire ». Il s’agissait de maintenir la droite au pouvoir pour
éviter d’affaiblir un peu plus le parti, déjà sur le déclin. Les formules
d’encouragement au « vote révolutionnaire » ne manquaient pas de
créativité : « Il n’y a pas de fouet dans l’isoloir. » Ou
encore : « Camarades, on se désiste, mais le succès socialiste qui
suivra déséquilibrera dangereusement la gauche. Chacun, en votant, doit
réfléchir à cette contradiction. » Preuve que la dialectique marxiste
peut être cuisinée à toutes les sauces.
Coignard
– Le merveilleux Noël de Christiane Taubira
Comment, dès lors, satisfaire l’un des – rares – impératifs
communs à la gauche plurielle, le barrage à l’extrême droite ? En votant
Valérie Pécresse au premier tour, pour éliminer tout risque de voir Marine Le
Pen ou Éric Zemmour se qualifier pour le second. Si cette inclination se
généralisait, la candidate LR et le président sortant devraient trouver les
moyens de séduire ces électeurs plutôt décidés à ne pas les départager et à
s’abstenir, une fois écarté le danger. Ce ne serait simple ni pour l’un ni
pour l’autre !
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Surtout pour les Français d'IDF dont
elle est présidente de cette région peuplée de FRANCE de 12 millions
d'habitants !
Qui concentre tous les défauts et
qualités de nos français lambda de toutes conditions de France qu’elle connait du
fait d’un brassage de flux venu de partout !
Et si bien sûr si les électeurs ont un
minimum de courage pour battre E.MACRON ce président sortant et son quinquennat
médiocre comme d'autres avant lui pour enfin essayer de changer !?
Cette dame à un CV très bien construit
et une culture aussi correcte que celle de notre monarque sans couronne !
Alors certains machistes d’un autre âge
à culture patriarcale désuète diront que c’est une femme !?
Eh bien alors oui !?
Quand soi-disant on est dans un pays qui
se vante de l’égalité des femmes et leur protection ce changement de chef d’état
féminin serait logique dans notre république dite démocratique et libre !
D’ailleurs selon les dernières
statistiques nationales en 2021 il y a :
67 422 241 millions d’habitants
en France et DOM/TOM se répartissant entre :
34.85 millions de femmes et 32,56 millions
d’hommes rien que pour cela elles peuvent diriger notre pays car on souvent la meilleure
qualité intellectuelle professionnelle scientifique le prouvant sans cesse dans
la vie quotidienne des habitants de notre pays et elles ne sont pas en minorité !
Pour Mme PECRESSE elle a raison de s’accrocher
sans baisser les bras car l’opposition envers elle des hommes ou femmes ces
politicien(nes) de tous bords usés car connus sont lamentables dans cette
campagne électorale insipide de marchand de tapis !
Jdeclef 22/12/2021 10h46LP
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