mercredi 22 décembre 2021

Beaucoup de français non inféodés à un parti politique mais aussi d'électeurs non encartés à un mouvement politique mais encore prudents préférons voter pour cette politicienne connue s’ils veulent vraiment un changement !

 

Coignard – À gauche, la tentation du « vote révolutionnaire »

CHRONIQUE. Face à la foire aux egos et aux propositions surréalistes, des électeurs de gauche sont tentés de voter Pécresse au premier tour.

Alors Messieurs si ont passait la main à une femme elles sont 34 millions et nous 32 millions en FRANCE cela serait vraiment le changement ?!

C’était il y a plus de quarante ans. À l’occasion d’une élection présidentielle, déjà. En 1981. Alors que le Parti communiste français, par une résolution de son comité central, appelait officiellement à voter pour François Mitterrand, le secrétaire général Georges Marchais et quelques apparatchiks qui étaient ses obligés passaient en douce la consigne contraire : voter pour Valéry Giscard d’Estaing afin de faire obstacle au candidat socialiste.

Une initiative pour le moins paradoxale, baptisée « vote révolutionnaire ». Il s’agissait de maintenir la droite au pouvoir pour éviter d’affaiblir un peu plus le parti, déjà sur le déclin. Les formules d’encouragement au « vote révolutionnaire » ne manquaient pas de créativité : « Il n’y a pas de fouet dans l’isoloir. » Ou encore : « Camarades, on se désiste, mais le succès socialiste qui suivra déséquilibrera dangereusement la gauche. Chacun, en votant, doit réfléchir à cette contradiction. » Preuve que la dialectique marxiste peut être cuisinée à toutes les sauces.

Rien de tel aujourd’hui. Le candidat communiste fait de la figuration avec environ 2 % des intentions de vote. La chute vertigineuse, depuis 1981, du mouvement incarné successivement par Maurice Thorez, Jacques Duclos et Georges Marchais montre, par parenthèse, que l’arrivée à l’Élysée de François Mitterrand était, en effet, terriblement dangereuse pour les communistes.

Jean-François Kahn – Présidentielle : un festival de tête-à-queue

Des citoyens ordinaires

Mais à l’approche d’une nouvelle présidentielle, ce n’est pas un appareil ni même certains de ses rouages ou de ses militants qui encouragent en sous-main au « vote révolutionnaire ». Ce sont des citoyens ordinaires qui sont tentés. Ils ont toujours voté à gauche, mais les palinodies de quelques-uns des candidats déclarés, et non des moindres, les désespèrent ou les scandalisent.

Certains, républicains convaincus, sont atterrés par les complaisances des prétendantes et prétendants face au communautarisme. D’autres ont pris le soin de lire le programme de la Primaire populaire et n’ont été convaincus ni par la proposition de rembourser le chamanisme ni par l’idée organiser un référendum sur l’écriture inclusive. Mais, surtout, les uns et les autres ont d’ores et déjà acté qu’aucun des sept candidats et demi (Christiane Taubira est en campagne, mais n’a pas confirmé sa participation au scrutin) ne sera en mesure de figurer au second tour.

C'est ce qui

S'appelle prendre ses désirs pour des réalités ; -)
Les électeurs de la gauche modérée se reporteront beaucoup plus probablement sur E. Macron.
Ne serait-ce que parce que le programme de V. Pécresse est (en tous cas présenté comme tel) un copié/collé de celui de F. Fillon. Programme qui rappelons-le prévoyait une quasi suppression de la sécurité sociale en la réservant aux ALD et renvoyant les assurés/patients aux assurances privées ! Même si cette proposition avait été vite mise au placard devant le tollé qu'elle avait soulevé, cela a laissé des traces !
Et je ne parle même pas du "soutient" d'E. Ciotti qui fait office de repoussoir à gauche !
Enfin, soyons clairs les électeurs de gauche (majoritairement des "cocos") qui ont changé de bord l'ont déjà fait et depuis longtemps en passant avec armes et bagages chez les Le Pen.
Donc les électeurs de gauche comme réservoir de voix pour V. Pécresse, c'est de la (mauvaise) science fiction.

C’était il y a plus de quarante ans. À l’occasion d’une élection présidentielle, déjà. En 1981. Alors que le Parti communiste français, par une résolution de son comité central, appelait officiellement à voter pour François Mitterrand, le secrétaire général Georges Marchais et quelques apparatchiks qui étaient ses obligés passaient en douce la consigne contraire : voter pour Valéry Giscard d’Estaing afin de faire obstacle au candidat socialiste.

Une initiative pour le moins paradoxale, baptisée « vote révolutionnaire ». Il s’agissait de maintenir la droite au pouvoir pour éviter d’affaiblir un peu plus le parti, déjà sur le déclin. Les formules d’encouragement au « vote révolutionnaire » ne manquaient pas de créativité : « Il n’y a pas de fouet dans l’isoloir. » Ou encore : « Camarades, on se désiste, mais le succès socialiste qui suivra déséquilibrera dangereusement la gauche. Chacun, en votant, doit réfléchir à cette contradiction. » Preuve que la dialectique marxiste peut être cuisinée à toutes les sauces.

Rien de tel aujourd’hui. Le candidat communiste fait de la figuration avec environ 2 % des intentions de vote. La chute vertigineuse, depuis 1981, du mouvement incarné successivement par Maurice Thorez, Jacques Duclos et Georges Marchais montre, par parenthèse, que l’arrivée à l’Élysée de François Mitterrand était, en effet, terriblement dangereuse pour les communistes.

Coignard – Le merveilleux Noël de Christiane Taubira

Comment, dès lors, satisfaire l’un des – rares – impératifs communs à la gauche plurielle, le barrage à l’extrême droite ? En votant Valérie Pécresse au premier tour, pour éliminer tout risque de voir Marine Le Pen ou Éric Zemmour se qualifier pour le second. Si cette inclination se généralisait, la candidate LR et le président sortant devraient trouver les moyens de séduire ces électeurs plutôt décidés à ne pas les départager et à s’abstenir, une fois écarté le danger. Ce ne serait simple ni pour l’un ni pour l’autre !

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Surtout pour les Français d'IDF dont elle est présidente de cette région peuplée de FRANCE de 12 millions d'habitants !

Qui concentre tous les défauts et qualités de nos français lambda de toutes conditions de France qu’elle connait du fait d’un brassage de flux venu de partout !

Et si bien sûr si les électeurs ont un minimum de courage pour battre E.MACRON ce président sortant et son quinquennat médiocre comme d'autres avant lui pour enfin essayer de changer !?

Cette dame à un CV très bien construit et une culture aussi correcte que celle de notre monarque sans couronne !

Alors certains machistes d’un autre âge à culture patriarcale désuète diront que c’est une femme !?

Eh bien alors oui !?

Quand soi-disant on est dans un pays qui se vante de l’égalité des femmes et leur protection ce changement de chef d’état féminin serait logique dans notre république dite démocratique et libre !

D’ailleurs selon les dernières statistiques nationales en 2021 il y a :

67 422 241 millions d’habitants en France et DOM/TOM se répartissant entre :

34.85 millions de femmes et 32,56 millions d’hommes rien que pour cela elles peuvent diriger notre pays car on souvent la meilleure qualité intellectuelle professionnelle scientifique le prouvant sans cesse dans la vie quotidienne des habitants de notre pays et elles ne sont pas en minorité !

Pour Mme PECRESSE elle a raison de s’accrocher sans baisser les bras car l’opposition envers elle des hommes ou femmes ces politicien(nes) de tous bords usés car connus sont lamentables dans cette campagne électorale insipide de marchand de tapis !

Jdeclef 22/12/2021 10h46LP


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