Covid-19 en boîte de
nuit : une étude très attendue « plutôt rassurante »
Les premiers résultats de
l’étude ITOC, réalisée en boîte de nuit et dont « Le Monde » a
pu prendre connaissance, « seraient plutôt rassurants ».
(C’est le mot étude qui n’est pas
si rassurant que çà car ce n’est toujours qu’une hypothèse…)
Un
peu partout dans le monde, les portes des boîtes de nuit ont, à nouveau, été
fermées pour faire face à l’augmentation rapide du nombre de cas de Covid-19,
notamment engendrée par le très contagieux variant
Omicron. Pourtant, selon une étude réalisée en octobre dernier, dont Le Monde a pu prendre connaissance,
les premiers résultats « seraient plutôt rassurants ».
L’étude ITOC (Indoor Clubbing Transmission of Covid-19) a été
réalisée le 17 octobre à La Machine du Moulin-Rouge, à Paris, dans le
cadre de la soirée Reviens la nuit par
l’ANRS-Maladies infectieuses émergentes. Deux groupes – un se rendant à la
soirée, l’autre non – ont remis un échantillon de leur salive le
17 octobre, puis sept jours plus tard, afin d’être comparé. Tous les
participants possédaient un schéma vaccinal complet et certains avaient même
été testés positifs au Covid-19 avant la soirée – bien que les résultats
aient été connus ultérieurement.
Selon les premiers enseignements de cette étude dite
interventionnelle, aucun cluster ou élément de surcontamination des
participants n’a été révélé. Pourtant, les participants ne portaient pas
de masque, ne devaient respecter aucune distance physique et
aucune jauge n’avait été mise en place. L’espace était néanmoins correctement
ventilé.
À LIRE AUSSICovid-19 : moins d’hospitalisations avec Omicron
qu’avec Delta
« On ne peut absolument pas conclure que les résultats
seraient les mêmes avec un taux d’incidence plus important », a toutefois
nuancé Jérémy Zeggagh, médecin au service des maladies infectieuses
de l’hôpital Saint-Louis, à nos confrères. En effet, le contexte du mois
d’octobre n’est plus du tout le même que celui que l’on connaît en cette fin
d’année 2021, avec l’émergence du variant Omicron. Cette étude, qui est l’une
des rares réalisées depuis le début de la crise sanitaire en raison de la
fermeture des boîtes de nuit, devrait toutefois être scrutée par
l’exécutif.
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De toute façon nos duettistes tristes sires président/1er
ministre vont s’exprimer de concert tous les deux après leur conseil dit de défense,
fumeux habituel !
Car ces lieux pour faire la fête clos souvent exigus sont forcément
des bouillons de culture de jeunes nombreux dans des espaces restreint
d'ailleurs qui les fréquente collés les uns aux autres sont les plus touchés
maintenant par ces virus, mais est-ce prudent et indispensable au niveau santé
?!
Même si les contrôles sont effectués à l’entrée il en
passera toujours entre les mailles du filet !
À part peut-être pour les tenanciers de ces lieux vendeurs
d'alcool qui perdent de l'argent roi facile seule chose qui les intéresse qui
seront surement indemnisés (mais aussi quelque fois avec des risques de
circulation de substances illicites qui rendent malades au mieux voire pire nos
jeunes comme ont été constaté dans diverses affaires policières récentes ?)
En plus dans cette crise sanitaire ou la contamination à
ces virus est en augmentation exponentielle pour cette catégorie de population
!
Qui bien sur peuvent importer ces virus dans leur famille!?
Mais le bon sens des Français semble perdu hélas…
Alors que Mr MACRON se méfie, bien que ces certains de ces
jeunes ne votent pas ou peu mais leurs parents eux le font, alors qu’il agisse
fermement, car c’est une priorité de santé publique !
Car si des contaminations et hospitalisations sont dues à
de tels endroits les plaignants seraient enclins à se retourner sur nos dirigeants
si elles restent ouvertes ces discothèques pour reprendre un ancien mot !?
Jdeclef 27/12/2021 16h22
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